chapitre 39

757 76 6
                                    

Souviens toi que le bonheur dépend non pas de ce que tu es où de ce que tu possèdes, mais uniquement de ta façon de penser.

Je suis dans la chambre de Amsatou entrain de chercher une quelconque preuve pour montré son vrai visage Binta était entrain de regarder la porte d'entrée pour me signaler une éventuelle arrivée de Amsatou, elle était sortie avec son frère pour faire je ne sais quoi et Binta et moi avions profiter pour chercher des preuves dans sa chambre il n'y avait rien dans ces tiroirs ni même dans son armoire je désespérai quand j'ai aperçu les restes de morphine que j'avais vu la dernière fois bingo me di-je en allant pour le prendre au même moment Binta m'interpella.

_Qu'es ce que tu fous Aïcha ils sont rentrés me dit elle en chuchotant.

_J'ai trouvé quelques choses ils faut que je le prenne di-je en mon tour très stressée.

_Ont n'a pas le temps là plus tard mais là on ce casse d'ici avant qu'ils ne nous attrape dit-elle en me tirant dehors nous sommes sortis sans rien récupérer.

_Aïcha non mais tu es malade ma parole une minute de plus là-bas ont nous aurait cramé me dit-elle là respiration cascader nous étions dans ma chambre et nous étions tous les deux soulager que personne ne nous est prises en flagrant délit.

_Tu as raison une autre fois une chose est sure je ne renoncerai pas temps que je n'ai pas dévoiler le vrai visage de Amsatou di-je déterminée.

_Moi aussi dit binta avec la même détermination que nous.nous sommes restés discuter quelques minutes avant qu'elle ne rejoigne sa chambre je suis allée prendre un bain avant de partir au salon ou grand-mère était assise entrain de discuter avec monsieur rachid.

_Malik tu ne crois pas qu'il est temps pour toi de te marier tu sais kadiatou grandie très vite et elle a besoin d'une figure maternelle et elle va à besoin surtout de frère et sœur dit grand-mère en regardant monsieur rachid avec sérieux sans savoir pourquoi mon cœur commençait à battre très vite.

_Incha'allah j'y pense d'accord alors s'il te plaît grand-mère ne recommence pas à me mettre la pression dit monsieur rachid ne voulant pas s'attendre sur le sujet

_Malik continue grand-mère tu es un soldat de surcroît un commandant chef même si je suis contre le fait que tu es fait l'armée le mal est déjà fait et je n'y peux rien je ne peux que me résoudre à supporté qu'à chaque fois que tu vas au front que l'on m'appeler pour m'informer que mon petit fils est mort...

_Grand-mère dit monsieur rachid avant d'être coupé par celle-ci.

_Non Malik il n'y a pas de grand-mère qui tiennent tu sais pertinemment que ce que je dit n'est que la stricte vérité c'est cette angoisse que vit tout famille de soldats qui ont leur fils au front nous redoutons tous cet appel même si nous ne pouvons faire grand-mère chose dit grand-mère alors la seule chose que je te demande c'est de te trouver une femme et au-moins pensées à kadiatou qui n'a rien demandé si se n'est une mère et des frères et sœurs dit grand-mère avant de se lever et tourner les talons, monsieur rachid à soupiré en fermant les yeux j'étais arrêté là en le regardant comme une conne d'une part grand-mère avait raison et d'autres part monsieur rachid avait le droit de prendre son temps après tout il est jeune il y a des personnes plus âgées que lui qui n'ont ni femme ni enfants mais qu'es ce que tout cela peut bien te faire As me dit ma connaissance je suis finalement allée à la cuisine pour aider madame Alia à faire la cuisine.

AMSATOU SOW.

Avec les achats que j'avais faites avec mon frère je suis directement allé dans ma chambre pour les rangers quand j'ai ouvert mon tiroir on aurait dit qu'une personne avait touché à mes affaires mais qui sa peut bien être me di-je intriguée j'ai haussé les épaules avant de commencer à sortir mes vêtements quand les restes de morphine qui était dans mes vêtements sont tombées merde me di-je je n'avais pas pensée à la jeté je l'ai es prise avant de les mettre en lieu sûr don j'étais là seule à connaître l'accès j'ai continué mon rangement avant de prendre un bon bain et allée dîné.
Nous étions tous à table entrain de dîné quand j'ai aperçu Aïcha me regardé d'une drôle de manière on aurait dit qu'elle était au courant de quelque chose et si c'était elle qui avait fouillé dans ma chambre en mon absence me soufle ma conscience j'ai continué à dîné sans prêté attention à elle j'ai relevé le visage et j'ai vu qu'elle me regardais toujours avec cet visage insistant je l'ai souris pour pour faire genre tout allait bien et elle m'a lancé un sourire qui m'a tout de suite mis la puce à l'oreille un sourire sarcastique aucun doute elle est au courant de quelque chose.

Diagné Où les histoires vivent. Découvrez maintenant