chapitre 9 suite

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Accepte ton passé sans regret vie ton présent avec confiance et fait face à ton futur sans peur.

JE suis allée dans la chambre des filles mais elles n'étaient pas là-bas je suis donc allé au salon ils étaient tous assis entrain de discuter quand je suis arrivé ils se sont tous retourner et mon regarder j'étais d'un coup très mal à l'aise.

_Aïcha c'est toi me dit madame Doussou vient t'asseoir tu fais partie de la famille maintenant.
J'étais très gênée à vrai je n'aime pas trop de regard ça me gêne beaucoup.
Je suis donc allé m'asseoir à côté de saran qui grignotait comme toujours.

_Madame Doussou vous sentez mieux demandai-je en souriant timidement.

_Oui ma fille je me s'en beaucoup mieux par la grâce de Dieu, je t'ai dit d'arrêter de m'appeler madame Doussou n'est ce pas appelé moi grand mère dit moi s'il faut prendre le torchon pour que tu comprennes.
Kader et les filles ont commencé à rigoler même Malik avait un sourire en coin.

_Non pas la peine mad... Je veux dire grand-mère qu'elle idiote je fais me murmurai-je intérieurement.

_Bien alors dit moi ton mal de tête à diminuer ou sa te fait encore mal?

_Non sa diminuer il me fallait juste du repos di-je en riant gêné.
Je vous l'ai dit j'aime pas l'attention et aussi mon mensonge me gênait.

_Euh Aïcha pour quoi les employés de cette maison rentres chez eux tout les week-end et pas toi me demanda Kader mon cœur à raté un battement.

_Kader gronda grand-mère pour quoi tu ne ferme jamais ta bouche.

_Mais grand-mère je n'ai fait que posé une question dit-il pour se justifier.

_Une question qui ne te regarde pas rétorqua grand-mère.

_Non grand-mère ce n'est pas grave vous savez cette question je m'y attendais depuis longtemps même si j'ai tout fait pour la fuir aujourd'hui elle me rattrape.

Ils m'ont alors tous regarder pour entendre ma réponse. j'avais baissé la tête et me motivant cette femme m'a aidé sans connaître mon histoire je pourrais lui rendre un peu l'appareil un lui expliquant mon passé c'est le moins que je puisse faire.
Voyant que j'étais silencieuse madame Doussou dit.

_Tu sais ma fille tu n'es pas obligé de lui répondre à ce curieux dit-elle.
Ce qui nous a fait tous rire.

_Non grand-mère après tout ce que vous avez fait pour moi vous méritez au moins de connaître mon passé di-je.
Ils m'ont tous regarder avec incompréhension sauf madame Doussou.

_Ma fille tu n'es pas obligé dit-elle encore ton passé c'est ton passé personne dans cette maison va te forcer à la raconter tu sais tout le monde a son passé j'ai été heureuse de t'avoir aidé.

_Oui je sais mais je tiens à ce que vous sachiez di-je le coeur battant dans une minute je n'allais pas assumer.

_d'accord ma fille comme tu veux.
Allée Aicha tu peux le faire me di-je.

_J'ai été été trouvé par une SDF qui partait chercher de quoi manger elle passait près des ordures quand elle entend les pleurs d'un bébé cet bébé  elle m'a donc trouver parmi les ordures qui brûllaient le feu avait commencé à brûlé la couverture dans laquelle j'étais enveloppé mon épaule gauche n'a pas été épargné elle m'a donc prise et m'a envoyé à l'hôpital j'avais deux semaines d'après elle à arriver à l'hôpital le médecin qui inscrivait les patients à demander à la dame s'il avait de l'argent pour le carnet cette femme au grand coeur était tellement en panique qu'elle tremblait en répondant elle à alors dit qu'elle n'avait pas d'argent et qu'elle était sans abris et qu'elle m'avait ramassé près des ordures qui brûllaient, que mon épaule n'avais pas été épargné qu'il devait me consulter à tout prix le médecin lui a répondu que c'était pas son problème que la dame n'était pas la première à se faire passer pour une SDF pour échapper aux frais de l'hôpital il à dit que s'il n'avait pas d'argent pourquoi avoir un enfant elle lui a juré sur le nom du tout puissant qu'elle disait la vérité, il a refusé de là croire il disait même que je faisais beaucoup de bruit à cause de mes pleure et que je dérangeait les patients qui avait besoin de repos cette femme qui est devenu une mère pour moi par après lui a supplié les genoux à terre elle lui à dit qu'elle ferait tout pour trouver de l'argent il lui à répondu que où va t'elle prendre l'argent alors que c'était une SDF il a demandé à ma mère de partir de l'hôpital et comme elle tardait en les suppliant ils l'on mise à la porte.

J'ai relève la tête pour voir leur réaction madame Doussou et les jumelles pleuraient déjà alors que je venais à peine de commencer Kader me regardait avec tristesse et avait les yeux rouges et Malik regardait un point imaginaire et m' écoutait avec attention.

_Elle est donc retourné chez elle avec moi dans ces bras en pleure elle vivait dans l'un des bidons ville de madina.
Quand elle est rentrée dans sa maison riai-je tristement si on pouvait appelé sa une maison c'est plutôt une casse fait avec du bois recouvert par une pagne l'histoire d'avoir un chez soi ma mère était une personne forte elle avait la tête sur les épaules elle avait mis des économies pour quand elle tombera malade histoire de ne pas mourir cette économie n'atteignait même pas trente mille elle l'a alors prise sa même pensé à quand elle tombera malade et ma acheté une pommade pour ma blessure.elle m'a donné un bain et à appliquer de la pommade dans la nuit j'ai eu de la fièvre et je n'avais rien manger elle s'est réveillée et est allé chercher à manger et un médicament pas cher avec le reste de l'argent elle n'avait rien manger elle est restée comme cela jusqu'au lendemain grâce à Dieu ma fièvre avait diminué.
Elle s'est occupé de moi jusqu'à mes 16ans elle m'a appris ma religion et ma éduquer malgré sa pauvreté m'a appris qu'elle ne pouvait pas concevoir d'enfant que j'étais un cadeau tomber du ciel elle m'a appris à me contenter de ce que j'ai elle m'a appris tout ce qu'une mère apprend à sa fille, elle m'a aimé comme sa propre fille alors que ma génitrice m'avait jeté parceque j'étais un erreur.
elle m'a appris à vivre de mes propres moyens et de ne pas voler.
malgré sa pauvreté elle s'est occupé de moi et n'a jamais volé de son vivant elle m'a appris faire du tricot pour gagner ma vie je mandiais pour pouvoir acheter les accessoires pour le tricot.elle m'a appris les travaux domestique parfois nous travaillons pour les gens et elle s'agissait l'occasion pour m'apprendre à cuisiné et faire le ménage.
Je n'ai jamais eu la chance d'aller à l'école je suis analphabète.
Elle me répétait chaque jours. "tant qu'il y a la vie il y a de l'espoir ne l'oublie jamais et n'oublie jamais d'où tu viens".
à mes 16ans elle était tombée gravement malade je ne savais pas elle souffrait de qu'elle maladie je ne savais pas quoi faire les médecins au refuser de m'aider par manque de moyens et d'autres me disait de passe une nuit avec eux si je voulais qu'ils s'occupe de ma mère elle m'a dit de refusé que la chose plus importante dans la vie d'une jeune fille est son honneur.
Elle avait une amie qui était guérisseuse c'est elle qui me soignait quand je tombait malade bref c'est elle qui s'occupait de ma mère à la place de médecin l'effet de ses soins durait quelques jours puis la maladie revenait sa m'inquiètais. un jour ma mère m'a confié qu'elle était issue d'une famille qui avait une maladie qui se transmet de génération en génération qu'elle était atteint de cette maladie et que c'est jour sont compté cette maladie c'est la leucémie aiguë c'est une forme de cancer qui touche les moelles osseuse ou sont produits les globules rouges les plaquettes et les globules blancs c'est une maladie qui engendre rapidement le pronostic vital si elle n'est pas traité.
Je ne comprends rien tout ce que je savais c'est qu'elle était malade
J'ai fondu en larmes mais elle m'a consolé et ma dit que la vie est ainsi faite de haut et de bas qu'il faut l'accepter et dire Alhamdoulilah elle me parlait rarement de sa famille même si je posais des questions elle les refoulaient.
Sa maladie avait commencé à s'aggraver je ne voulais pas la laisser seule mais elle m'avait dit que je pouvais sortir pour avoir de quoi manger en mendiant.
Un jour je quittais mendié quand je l'ai vu étalé au sol incapable de respiré elle crachait du sang j'ai couru dans sa direction pour l'aider les passants qui me regardait courir ont refusé de m'aider il me regardait tous te haut je suis allée appelé l'amie de ma mère qui était guérisseuse quand nous sommes venu trop tard ma mère c'était déjà éteint. j'ai pleuré tout les larmes de mon corps elle ne m'avait certes pas mise au monde mais elle s'est occupé de moi comme une mère pour moi c'était et sa restera toujours ma mère après l'entraînement qui n'a pas été facile je suis restée dans la rue pendant des mois je vivais grâce au petit boulot que le faisais et en mendiant j'ai failli me faire violée plusieurs fois mais j'ai tenu bon jusqu'à ce vous me trouver grand-mère di-je en pleurant de plus belle.

_Ma fille dit grand-mère je ne savais pas que tu avais traversée tout ça je suis vraiment désolée.

_Ce n'est rien grand-mère excuser moi di-je en courant vers ma chambre pour menfermer j'ai tellement pleurer que j'ai dormi sans m'en rendre compte.

cette une réalité qui frappe notre Afrique les femmes abandonnes les enfants innocent qui n'ont rien demandé elles leurs transforme en erreur.
Que deviendront c'est enfants demain ne leurs intéresses pas elles ne pense qu'à leurs gueules en fin bref qu'Allah nous pardonne nos erreurs et qu'il ait pitié de nous.

Bisou à vous la suite après rien du tout.
je vous aime😘😘😘 partager commenter données vos avis merci.

Diagné Où les histoires vivent. Découvrez maintenant