Diagné

chapitre 30

Il y a des blessures que te temps d'une vie ne peut pas effacer.

Cela fait deux jours depuis le concours mais je ne cesse d'y penser c'est kadiatou et moi qui avons finalement gagnée et nous étions trop contente les filles et kader n'arrêtait pas de me taquiner sur ma performance avec monsieur rachid jusqu'à présent je n'en reviens pas d'avoir dansé avec lui même dans mes rêves les plus fous je n'aurai pas imaginer cela en parlant de monsieur rachid je ne l'ai pas vu depuis qu'il avait quitté ma chambre la dernière fois et franchement je ne cherche pas à le croisé non plus je ne sais même pas si je serai capable de rester en sa compagnie sans rougir ou sans que les images de l'autre soirée ne me revienne.
Je suis revenu du centre il y a une heure et nous sommes dans les bandes de 20h maintenant c'est le chauffeur qui me dépose puisque monsieur rachid n'a plus trop le temps depuis mon arrivée il y a une atmosphère bizarre à la maison les jumelles et kadiatou ont l'air très attristé je ne comprends rien peut-être que monsieur rachid a finalement décider qu'ils allaient retourner en Belgique j'aimerais leur demander mais avoir leur tête vaut mieux les laisser seuls pensai-je il est bientôt l'heure du dîner madame Alia et moi avions tout préparer et binta est allé avertir les autres que le dîner était servi je m'étais déjà installés en silence parce que franchement j'avais une faim de loup grand-mère et kadi sont arrives et ce sont installés suivi de près par les jumelles et kader.

_Bonsoir as soufle kadi les yeux dans son assiette cela ce voyais qu'elle n'allait pas bien.

_Bonsoir ma puce ça va di-je inquiète mais pourquoi ils sont cette mine me demandai-je

_Oui je vais bien fit-elle avant de commencer à manger nous avons alors tous manger c'est bizarre d'habitude on attent toujours monsieur rachid mais aujourd'hui il n'ai pas là j'étais vraiment intriguée par cette ambiance à la maison après le repas je suis montée dans ma chambre la tête pleine de réflexions j'étais couchée sur mon lit perdu dans mes pensées quand j'ai entendu des cris dehors on dirait la voix de grand-mère et de monsieur rachid je me suis précipité au salon et j'ai vu grand-mère qui assise le visage attristée

_Mon fils parler de ses sentiments est le meilleur moyen d'aller mieux parle moi Malik je t'en pris exprime tes ressentis au moins une fois dans ta vie nous sommes là pour toi comme toi tu l'es pour nous à chaque instant dit-il les yeux presque larmoyantes.
Monsieur rachid avait les points séré et la mâchoire contracté mais bon sang qu'es qui ce passe les jumelles kader et kadiatou le suppliaient des yeux pour qu'il s'exprimer.

_Grand-mère je vais bien vous n'avez pas à vous inquiétez pour moi dit il en fermant les yeux avant de les réouvrir.

_Justement Malik ont ne peux ne pas s'inquiéter pour toi tu ne nous parler jamais de tes ressentis tu as beau être fort il y a des choses qui te blesse et qui te font mal comme la mort de tes parents dit grand-mère.
Monsieur rachid ainsi que les autres se sont figé un cours instant et j'ai vu monsieur rachid séré si fort ses points que ses phalanges ont commencé à blanchir.

_Malik s'il te plaît parle nous ont sais que tu ne vas pas bien et nous sommes ta famille nous serons toujours là pour toi dit saran.

_J'AI DIT QUE J'ALLAIS BIEN QU'ES QUE VOUS VOULEZ QUE JE VOUS DISE DE PLUS crit-il de colère ce qui a fait sursauter tout le monde la petite c'est directement mise à pleurer je le regardais choqué mais qu'es qui lui prend ne voit-il pas que sa famille s'inquiéter pour lui il devrait se montrer reconnaissant au lieu de ce mettre à crié comme ça pensai-je.

_Vous savez quoi laisser tomber dit-il avant de monter les escaliers et d'aller je ne sais où.
Grand-mère les filles et kader se sont assis toujours avec se même visage triste ça me fait de la peine de les voir comme ça ils s'inquiètent pour quelqu'un qui n'a rien n'a faire de leur inquiétude kader avait pris la petite et la emmené dehors pour la calmer elle ne faisait que réclame son père qui je pense dois être fou de rage pour je ne sais quoi.