accouplement

chapitre 27

Derek était toujours très présent, même si son loup avait le contrôle. Il savait que Stiles avez éjaculer et s'était assuré d'incliner ses hanches pour toucher la prostate de son compagnon afin qu'il puisse éjaculer encore. Il savait que cela avait été un accouplement difficile et Stiles n'avait pas poussé un cri de douleur ou de protestation. Son compagnon était un guerrier autant que n'importe quel loup et il ne pouvait pas être plus fier. Il était également conscient de leur environnement, s'assurant qu'ils ne se faufileraient pas dessus, même s'il savait que sa meute surveillait également la zone. Il pouvait sentir leur public et l'excitation qu'ils ressentaient de cet accouplement. Cela lui a donné un moment de fierté suffisante, mais c'était tout. Son objectif principal était son compagnon.

A quelque distance de la sécurité des branches d'un arbre, Théo s'assit, observant l'accouplement presque violent. Voir la beauté du corps de Stiles illuminé par les lumières sur le terrain fit sortir ses griffes et durcir sa queue. Cela avait commencé comme rien de plus qu'une tentative de sans prendre à l'alpha, de voler ce qui lui appartenait, de le punir Pour l'avoir rejeté de sa meute. Mais après avoir poursuivi l'humain, il avait commencé à le vouloir vraiment pour le sien. C'était l'enfer, plus de douleur qu'il n'en avait jamais ressenti physiquement. Voir l'alpha s'enfoncer dans le cul parfait de l'homme qu'il en était venu à voir comme le sien le brûlait. Voir Stiles rejeter la tête en arrière et pleurer d'extase le fit grogner, le son résonnant autour de lui.

Il savait qu'il avait besoin de courir. Il serait découvert s'il continuait comme ça. Il n'était revenu que parce qu'il avait entendu des chuchotements de l'alpha ayant l'intention de réclamer Stiles et voulait s'assurer que cela n'arriverait pas. Voir Stiles se déshabiller devant la foule l'avait figé sur place et il n'avait rien pu faire. Il était trop tard maintenant, la Réclamation était presque terminée. Incapable de supporter l'étrange brûlure dans sa poitrine, il se fondit dans la semi-obscurité, se dirigeant vers la voiture cachée dans la forêt. Il est temps de passer au plan B.

« À moi, » gronda Derek à l'oreille de Stiles alors qu'il continuait à le frapper.

« À toi », vint la réponse faible et haletante.

Derek savait que son compagnon n'en pouvait plus. Le loup a insisté pour qu'ils fassent leur marque de Mate. Tirant ses griffes très légèrement dans le dos de son compagnon, il grogna de bonheur devant les marques rouges qui se dressaient sur leur chemin.

L'extase que lui et son loup ressentaient, l'ajustement serré de son compagnon, était écrasant. Sentant la fin approcher, il se pencha et commença à caresser le sexe de Stiles, faisant attention avec ses griffes. « Viens pour moi mon amour » demanda-t-il à l'oreille de Stiles.

« Oui, alpha, » haleta Stiles.

Derek augmenta ses poussées, visant sa prostate, sachant qu'il y était arrivé quand les grognements de Stiles se sont transformés en cris puissants. Serrant la bite de son compagnon alors qu'il le caressait, Derek sut qu'il l'avait quand le cul de Stiles le serra soudainement et il cria. Cette délicieuse pression ondulante massa sa bite et envoya immédiatement Derek par-dessus bord, l'homme et le loup ensemble, hurlant leur achèvement et leur victoire en réclamant leur compagnon. C'était fait.

Parmi les acclamations des tribunes, Stiles s'effondra au sol, le corps gluant de sueur et de sueur, respirant fort et tellement heureux, des larmes coulaient sur son visage.

L'alpha reprit le contrôle de son loup et se retira doucement de son compagnon avant de s'allonger à côté de lui. Il voulait que son compagnon ait de l'intimité, alors il tourna le dos au public et tira son compagnon contre lui, le laissant s'enfoncer dans sa poitrine. Il caressa le dos de Stiles d'une main pour masser son trou encore ouvert et bouffi. Son loup grogna de plaisir possessif à la sensation de sa jouissance s'échappant de son compagnon. Frottant la jante, il l'encouragea à reprendre sa taille normale. En regardant le visage de son précieux compagnon, il a vu des larmes et il a été bouleversé. "mon amour tu vas bien?"

Stiles sut immédiatement quel était le problème. "Des larmes de joie, mon compagnon. Tellement très heureux," sourit-il en tremblant. "C'est juste d'être submergé, rien de plus, je te le promets."

"Bien. Je détesterais penser que je t'ai blessé," murmura Derek. Regardant du coin de l'œil, il vit Boyd lui faire signe. Il vit que la meute les avait vaguement entourés, le dos tourné vers le couple, leur offrant une intimité par rapport à la foule quittant les gradins. Il reporta son attention sur Stiles et essuya les larmes de son visage.

"Tu ne m'as pas fait de mal. C'était rude et beau et absolument parfait," dit Stiles, ses yeux de whisky remplis d'amour.

Le loup de Derek était heureux. "Tu es parfait, mon incroyable compagnon."

"Je suppose que nous devrons juste être parfaits ensemble," dit Stiles avec un soupir dramatique.

"Je suppose que oui," approuva Derek avec un sourire et embrassa son compagnon. Tout était parfait.