chapitre 34

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Stiles combattit le besoin de montrer son cou en signe de soumission. Il savait qu'il avait raison. « Je dois faire ça. Tu sais que ça marchera. Ça le fera sortir et ensuite ce sera fini. En regardant leur lien, il pulsait toujours d'amour, mais il y avait une faiblesse dans la couleur, ce n'était pas aussi vibrant et brillant. Stiles pouvait le sentir, comme s'il les suppliait d'arrêter de se battre. Mais il savait ce qu'il avait à faire.

"Non!" Derek n'arrivait pas à croire que son compagnon lui faisait ça. A eux .

« Regardez ce qu'il a fait à mon père, Derek. Je ne peux pas laisser cela se reproduire, je ne le ferai pas. Que se passe-t-il quand il commence à attaquer la meute ? Hein ? Peter?" Stiles savait qu'il était cruel, mais il le devait dans ce cas. Son père était toujours à l'hôpital et il aurait un long chemin devant lui.

« Stiles, c'est du suicide. Je ne peux pas te permettre de faire ça. » Derek fit les cent pas, faisant glisser sa main sur son visage.

« Derek, il est entré dans la maison de mon père au milieu de la nuit alors qu'il dormait et s'est cassé les deux jambes ! Maintenant, dis-moi pourquoi c'est une mauvaise idée. Tu as vu ce que je peux faire. arrête ça," dit Stiles, les larmes coulant sur son visage au souvenir d'avoir vu son père, ses jambes enflées et défigurées avant de se faire opérer pour les remettre ensemble.

"Te laisser partir seul et vulnérable pour que ce monstre vienne après ttoi n'est pas la chose intelligente à faire. Nous devons proposer une attaque coordonnée. Mon loup ne peut pas te laisser sortir là tout seul et je suis d'accord", a insisté Derek, commençant à se sentir impuissant.

« Tu sais qu'il viendra après moi, surtout s'il apprend que je t'ai quitté, » répondit Stiles. "C'est un bon plan. Tu sais que je peux l'abattre." Son téléphone sonna et il baissa les yeux. En lisant le texte, il grogna – un son humain, mais toujours menaçant – et soudain l'ampoule de la lampe à proximité se brisa.

Derek prit le téléphone et grogna longuement avant de jurer bruyamment.

Papa est à l'hôpital comme un triangle sans fin! C'était amusant. Voyons, qui est le prochain. Mélisse? Ce nouveau adjoint-shérif ? Peut-être votre émissaire bien-aimé ? Tu sais quoi faire pour éviter ça, ma douce.

"Fils de pute!" Derek grogna. « Boyd ! » Derek quitta la pièce et rassembla rapidement les membres de sa meute pour protéger les parties menacées. "Amenez-les tous les trois sous ce toit dans l'heure. Je me fiche de ce que vous avez à faire. La meute passe avant." Il ne pouvait pas imaginer qu'il arrive quoi que ce soit à ses camarades de meute. Et Peter venait d'avoir Jordan, ils devaient les protéger. Son oncle ne s'en remettrait pas s'il perdait un autre compagnon.

Il retourna dans la chambre avec son compagnon, détestant le fait qu'ils se battaient. Ils ne s'étaient jamais battus auparavant et il ne pouvait pas gérer la distance émotionnelle entre eux.

La pièce était vide, Stiles n'y était pas la. Il ferma les yeux pour savoir où se trouvait son compagnon à cause de son rythme cardiaque et se refroidit. Son compagnon n'était pas dans la maison. Derek n'était parti que quinze minutes. Où était-il? En regardant autour de lui, il vit un morceau de papier sur le lit.

Tu sais que je dois faire ça. Je suis désolé. Je ne peux laisser personne d'autre se blesser à cause de moi. Je reviendrai quand ce sera fini. N'essayez pas de me trouver. Je t'aime pour toujours, mon amour.

Amour,

Stiles Hale

Derek se mit à hurler, son cœur se serra de peur et de chagrin.

accouplementOù les histoires vivent. Découvrez maintenant