The chronicles of Nova Weasley and Freya Derdre

Chapitre 7 : Shops In Diagon Alley

NDA : J'ai oublié de le mentionner dans le chapitre précédent mais Freya Derdre et la majorité des éléments associés à elle appartiennent à ma super amie et partenaire Daraen D'Ylisse, elle joue le rôle de bêta lectrice et me donne son avis. J'étais ravi d'intégrer un de ses oc's à mon œuvre. Sur ce, bonne lecture :3

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Après cet incident avec la mère de famille, Fabian et Gideon l'avaient emmené en urgence chez des spécialistes en Irlande. La communauté sorcière Irlandaise avait au moins l'avantage de ne pas être sous l'influence de Dumbledore et c'est surtout pour cette raison que Molly Weasley y fut envoyé. Le diagnostique tomba, influence mentale et consigne magique. Mais les traces reliant au lanceur des sorts étaient très flou et quasi impossible à retracer pour la frustration des Lord Prewett.

Les relations entre la mère de famille et les enfants Weasley fut par la suite tendu. Les triplés restaient à bonne distance dès qu'ils la voyaient et Percy les protégeaient farouchement. Ron allait vers leur mère, trop petit pour comprendre quoi que ce soit. Gabriel lui pleurait dès que Molly essayait de le prendre et la magie instinctive l'envoyait dans les bras de ses frères. La mine triste de Molly ne changeaient rien, pas même ses excuses. Nova avait parfaitement compris que si il y avait eu des consignes qui marchaient aussi bien c'est que sa mère avait déjà à l'esprit les idées de mariage entre autre que les sorts avaient renforcés.

Les années ce suivirent plus paisiblement même si la tension restait. Nova avait été prise sous l'aile de Killua qui l'aidait à s'entraîner à la manipulation du Nen, partageant la même affinité. Fred et George eux suivaient un entraînement avec Gon et les 5 enfants avaient souvent comme public le petit Harry et Kalluto, l'un des petits frères de Killua du même âge que le jeune Potter. Ils étaient devenus le premier ami de l'autre et s'entendait extrêmement bien. Il y avait également le petit dernier des Zoldyck Alluka qui était comme Gabriel, bien qu'il ai juste un an de différence avec Kalluto,

(NDA : C'est pour les besoins de l'histoire vous en faites pas)

Et les deux plus petits jouaient ensemble régulièrement. Seul Ron ne semblait pas arriver à s'intégrer malgré les efforts de ses frères. Il fallait dire que s'émerveiller de la cicatrice de Harry n'avait pas aider à une possible amitié, et traiter Kalluto de fille avait envenimé la situation. Le temps passa et Percy fit son entrée à Poudlard.. A Serdaigle. Nova avait eu un temps de panique à cette divergence du canon, le placement a Gryffondor des Weasley semblaient pourtant systématique. Est ce que le fait d'avoir grandit épanouie et confiant avait permis au troisième fils de s'affirmer ? Sans doute. Si Arthur sembla fier de Percy, Molly fut un peu refroidit par cette répartition. Les triplés et Gabriel n'avaient pas beaucoup aimé que leur mère critique le placement de leur grand frère dans une maison qui lui correspondait. Au cours des années suivantes, Nova et ses frères devinrent bien plus fort avec Killua et Gon. Elle était d'ailleurs rassurée de voir Harry ayant un ami sur lequel compter, la petite fille avait bien compris que l'amitié d'un Zoldyck était sacré et qu'ils étaient très protecteur. Nova était une des rares à ne pas avoir peur des sourires de pur psychopathe de Killua quand quelqu'un osait dire un mot de travers sur Gon, elle, ses frères ou sur Harry, Gabriel et les deux cadets Zoldyck. Non vraiment, Poudlard allait s'en souvenirs du passage des générations de Nova à celle de Harry. Quoi que Kalluto et Gabriel risquaient bien aussi marquer l'école de sorcellerie.

Le début Juin 1989 vit l'arrivée de plusieurs hiboux portant de lourde lettres. Alors que Nova, Fred et George mangeaient au salon en prévoyant comment accueillir leur frère Percy à la gare de King Cross, trois hiboux passèrent la fenêtre ouverte pour leur déposer à chacun une enveloppe. A peine avaient ils vu le sceau de l'école que les triplés eurent d'immenses sourire en se levant d'un bond.