Interdit (Pdv Dabi)

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Dabi : Put*** ma tête...

Me sentant mal à l'aise et engourdi j'ouvris les yeux, ce fût un effort monumental, surtout en réalisant la position dans laquelle j'étais fourré.

Dabi : Mais j'suis à poil ! Et accroché au plafond ! MAIS ! (T/p) !?

J'entendis un mouvement provenant de derrière la porte en face de moi, curieusement, les souvenirs remontèrent et je reconnut l'endroit où j'étais accroché.

Dabi : Ma propre sale de bain... TU BOUGE OU J'TE BUTE J'TE JURE ! DÉCROCHE MOIIIIII !

(T/p) : Dis tu va la fermé ?

Elle se trouvait là, juste en face, à quelques mètres et je la regarda d'un air mauvais.

Dabi : Pourquoi j'suis attaché ?

(T/p) souffla et s'assit sur le rebord de la baignoire. Lentement elle tourna son regard victorieux vers moi.

(T/p) : J'sais pas... Question de prudence.

Dabi : Et pourquoi je suis à poil ??! J'ai froid. Tu te prend pour qui, serieux.

Ce dernier mot reste coincé entre mes dents et elle détourna le regard avant de se relever et de commencer à me détacher.

(T/p) : Jt'explique pourquoi après que t'ai enfilé un jean.

Dabi : J'vais te tuer.

Elle coupa mes liens et je manqua à nouveau de m'étaler au sol.

Dabi : C'est une manie chez toi de me faire tomber où ?

(T/p) : Pas de ma faute si tu tiens pas debout. Aller t'as un pantalon là, jt'explique dans le salon.

Dabi : Pas trop tôt.

Elle se dirigea vers le salon et referma la porte sans se soucier d'avantage de moi et je souffla pour me donner du courage.

Dabi  : C'est une putain de sorcière, et c'est quoi ce pantalon de clown ? Tss.

J'enfila le pantalon beaucoup trop large et me passa un coup d'eau fraîche sur le visage quand je sentit mes doigts puis mes mains commencées à me brûler. Au pire moment, la sorcière ouvrit la porte à la volée, sans-gêne.
Elle se moqua assidûment de moi et déclara avec ferveur que je devait avoir de la famille avec les limaces vu le temps que je prenais pour mettre un "simple jean"
Avec un dernier regard elle referma une énième fois la pauvre porte de sale de bain et je me promis de ne plus jamais l'autoriser à utiliser la baignoire.

Dabi : Faut que je me calme. Stupides flammes à la c**

Après m'être assez préparé mentalement je sorti en trombe de la pièce pour en découdre quand je la vis avec un paquet dans les mains. Elle me regarda fixement, puis regarda le cadeau, puis me le tendis, à moitié rougissante.

Dabi : Merci... J'suis sur que c'est une bombe.

Je déballa l'énorme paquet rouge et dévoilant une grosse peluche représentant un Ours bleu levant majestueusement son majeur.

Dabi : Hm c'est spécial.

(T/p) : Alors ?

Dabi : De quoi ?

(T/p) : Bah la peluche.

Dabi : Quoi la peluche ?

(T/p) : T'es trop con.

Je pouffa en comprenant sa question.

Dabi : Heu j'la trouve plutôt représentative.

Elle ricana avant de s'écrouler sur le canap.

Dabi x ReaderOù les histoires vivent. Découvrez maintenant