Love in Cazepal

~ Chapitre 14 : Lana ~

Note autrice :

Coucou mes beautés ! Comment allez-vous en ce moment ? 🤍

Pour ma part, j'ai le covid. Youhou. Je me tape une grosse crève donc c'est relou mais au moins ça me permet d'avoir plus de temps pour écrire !

Aujourd'hui on est sur un chapitre beaucoup plus long que d'habitude avec plus de 4700 mots , c'est le plus long que j'ai pu écrire jusqu'à maintenant et je l'aime beaucoup ! Alors, j'espère qu'il vous plaira tout autant ;)

Merci beaucoup pour tout vos messages, votes et vues qui ne cessent d'augmenter chaque jour. C'est grâce à vous alors merci infiniment parce que ça compte beaucoup pour moi.
Love u❤️

~ Bonne lecture ~

xoxo

Céliane

🌸

(Mes réseaux sociaux sont disponibles sur mon profil, n'hésitez pas si vous voulez parler <33)

~~~

Mia

On a marché au bord de l'eau une bonne heure en parlant de tout et de rien, nos doigts toujours entrelacés. Il m'a confié ses pensées par rapport à son mariage. Je lui ai parlé de mes peurs et de mon passé. Je me suis sentie écoutée, apaisée et libre d'exprimer tout ce que je voulais, avec lui. C'est étrange, on vient juste de se rencontrer et pourtant j'ai l'impression de tellement plus le connaître. Vous savez, cette impression d'avoir toujours connu une personne, comme si elle faisait partie de votre vie depuis des années, alors qu'en réalité vous la connaissez depuis deux jours seulement.

Deux jours... Deux ans...

C'est étrange.

Nous sommes de retour dans la Lamborghini, il y règne un silence paisible. Mes pensées sombres ne fusent plus dans ma tête. Ça m'a servi de petite thérapie en quelque sorte de parler de tout ça à Aaron. Alors, je me sens bien, vraiment bien.

Une douce musique d'ambiance : Because You Move Me de Tinlicker et Helsloot se diffuse dans l'habitacle du véhicule. Le haut de mon corps ondule lentement au rythme du son, je ferme les yeux. Je me sens en paix pour la première fois depuis si longtemps, je me sens totalement sereine et en sécurité, là, maintenant, avec lui.

Quelques morceaux plus tard, Aaron se gare devant l'hôtel et se tourne vers moi en plongeant son regard dans le mien pour me demander :

— Tu dois partir quand ?

— Demain, en début d'après-midi.

Une moue de déception passe rapidement et presque imperceptiblement sur son visage avant qu'il enchaîne :

— Tu veux te coucher maintenant ? Ou...

Je lève un sourcil et l'incite à terminer sa phrase :

— Ou quoi ?

— Ça te dirait de te joindre à moi dans l'espace VIP au dernier étage ? propose-t-il, visiblement hésitant.

Il est tellement craquant, je vois qu'il choisit les bons mots et essaie de me mettre en confiance depuis que je me suis confiée.