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Salem aleykoum, Salut

Bissmilah❤

Layal: Je ne l'aurais jamais imaginé

"Je remet un coup de briquet, l'ancien m'a dit allume les"

Layal

Je fonce droit dans le tas.
Puis je me suis stoppée net lorsque j'aperçus une bagarres sous mes yeux.

Rappelez moi pourquoi je suis venue ici déjà?

Eh mais je vais rester traumatisée plus violent que cette bagarre tu meurs, la personne au sol était entrain de souffrir.

Je savais pas ce que j'attendais pour partir sah mais mes jambes elles voulaient pas que je m'en aille.
Je voulais crier et aider cette personne au sol mais je risquais la même chose.

J'allais donc faire demi-tour mais j'ai marchée sur une branche, une grosse branche que j'ai cassée à la seconde.

Je me suis rapidement retourné car je n'entendais plus les bruits des coups, la personne qui battait à mort sa victime c'était retourné vers moi.

Je suis restée figée, je n'arrivais pas à distinguer son visage, il faisait beaucoup trop sombre dans la ruelle, mais moi on pouvait me distinguer rapidement car j'étais à l'entrée de celle-ci éclairée par les lampadaires.

??: Layal?

Mon cœur fit un bond, non en fait ce n'est pas un bond mais il a carrément essayé de sortir de ma poitrine.
J'ai reculée d'un cran avant de faire demi-tour et d'avancer rapidement.
C'était lui, c'était sa voix, c'était Adnen.
C'était lui que je cherchait pourtant maintenant je me retrouve à le fuire.
Ce que j'avais vu m'avait traumatisée mais le fait que se soit lui me traumatisait encore plus.

J'entendais ses pas arriver derrière moi alors j'ai accélérée encore plus, j'étais à deux doigts de courir.

Adnen: Oh attends!

Il m'a malheureusement rapidement rattrapé, mes petites jambes ne faisaient pas le poids face à ses grandes jambes.

Il m'a attrapé le bras et m'a retourné vers lui.
J'essaye de me détacher de son emprise mais je n'y arrivais pas.

Moi: Lâche moi.

Adnen: Fait genre t'as rien vu.

Moi: Je ne peux pas faire genre, laisse moi maintenant.

Adnen: Vasy arrête tes conneries là.

Moi: T'es dégueulasse Adnen, ce que tu fais ça vraiment répugnant. T'es personne je dit bien personne pour faire du mal à quelqu'un.

Adnen: Ferme là Layal, parle pas quand tu sais pas.

Moi: Lâche moi Adnen.

Adnen: Passe plus jamais par là bas, c'est trop dangereux.

Moi: C'est vrai que des fous comme toi pourraient m'attraper.

Adnen: M'énerve pas et oublie ça.

Moi:*Rire nerveux* J'oublierai rien du tout, je voulais juste te dire de ne plus jamais m'adresser la parole.

𝑳𝒂𝒚𝒂𝒍: 𝑱𝒆 𝒏𝒆 𝒍'𝒂𝒖𝒓𝒂𝒊𝒔 𝒋𝒂𝒎𝒂𝒊𝒔 𝒊𝒎𝒂𝒈𝒊𝒏𝒆́Où les histoires vivent. Découvrez maintenant