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Salem aleykoum, Salut

Bissmilah❤

Layal: Je ne l'aurais jamais imaginé

Layal

Moi: C'est de ta faute ça 3ami.

Lui dis-je en riant.

Tonton Rachid: Ah mais je disais ça pour rire moi.

Je sais pas si vous vous en souvenez, le jour où il avait dit que se serait bien qu'on ait des jumeaux.
Bah je crois bien que ça c'est réalisé.

Ilyana: Tu comptes les appeler comment?

Moi: J'ai pas encore d'idée fixe.

Ilyana: C'est bientôt hein.

Tata Wassila: T'es à sept mois c'est ça?

Moi: C'est ça.

Dis-je en posant ma main sur mon ventre.

Tata Wassila: C'est pas trop dure?

Moi: C'est la misère.

Ilyana: J'en doute bien oui.

Je ferme les yeux, j'en pouvais plus, vivement qu'ils sortent ces deux gamins, voilà ce que je me disais.
Il était environ 19h, je savais pas du tout ce que faisait Adnen, il était avec nous mais il a eu un appel "urgent".
Il a donc quitté l'appartement, j'attendais qu'il revienne pour que l'ont puisse rentrer à la maison j'étais très fatiguée.

Je prend mon téléphone et je lui envoie rapidement un message pour lui demander où est-ce qu'il se trouve.
Je l'ai reposé et j'ai continué ma discussion avec ma belle famille tout en attendant une réponse de sa part mais aucune.
C'est dix minutes plus tard que la porte d'entrée s'ouvre sur lui et le laisse apparaître.
Il me fatigue trop je vous jure j'arrive pas à suivre son rythme.

Tata Wassila: C'est que maintenant tu reviens toi?

Adnen: Hum ouais, bon Layal on y va?

Moi: Oui.

Je dit au revoir à tout le monde il fait de même et on quitte l'appartement.
Il descend les escaliers à toute allure comme à son habitude mais moi j'avais grave du mal surtout avec deux bébés c'était la misère.

Moi: Attends moi.

Il s'arrête et se retourne en fronçant les sourcils.
Rien qu'il fronce les sourcils lui.

Adnen: Merde.

Il remonte les escaliers et m'attrape la main.
Il m'a aidé à descendre les escaliers puis on est passé devant les mecs en bas, je m'étais maintenant habitué à les voirs ici je leurs passaient même le Salem.

Adnen les as salué comme à son habitude tendis que je me contente de leurs sourire.

Nous sommes montés dans la voiture et il a démarré.

Adnen: Ça va?

Moi: Al hamdoulilah, t'étais où toi?

𝑳𝒂𝒚𝒂𝒍: 𝑱𝒆 𝒏𝒆 𝒍'𝒂𝒖𝒓𝒂𝒊𝒔 𝒋𝒂𝒎𝒂𝒊𝒔 𝒊𝒎𝒂𝒈𝒊𝒏𝒆́Où les histoires vivent. Découvrez maintenant