Chapitre 1

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Attention ce chapitre contient du viol, de l'inceste, de la pédocriminalité, et de l'abus sur mineur, un TW a été mis avant le passage lors du chapitre, donc jusque là bonne lecture.

C'était lors d'une soirée d'été, qu'une femme donnait naissance pour la quatrième fois. Reclus dans un petit village en pleine campagne thaïlandaise, ses cris de douleur portés par le vent assourdissaient les deux sages-femmes qui tenaient la future mère fermement par les bras afin de la maintenir debout, attendant que le nouveau à naître daigne pointer le bout de son nez. Le travail avait commencé depuis plus d'une journée maintenant, l'Omega, trempée de sueur, épuisée et à bout de souffle poussa une dernière fois, en pleurs et les jambes tremblantes elle entendit enfin son enfant, réceptionné par sa fille avant qu'il ne touche le parquet maculé de sang. Un silence de quelques secondes dura, rythmé par les respirations saccadées de la mère et quelques pleurnichements du nouvel enfant, les regards inquiet des quatre femmes se croisèrent et se portèrent sur le bébé : un garçon.

Les pleurs de la mère Omega reprirent, se laissant tomber par terre, son cœur déchiré d'appendre que tout ce travail aura été fournis pour que se soit au final un garçon. Les lourds pas arrivant sonnaient comme les cloches d'une église, la porte vint se fracasser contre le mur voisin et l'imposante carrure d'un Alpha se dessina derrière la lumière qu'émettaient les bougies, jugeant la scène de ses yeux perçant, il s'avança vers sa deuxième fille tenant le nouveau né silencieux, enrubanné dans un linge et le lui arracha des bras, faisant se réveiller ce dernier. L'Alpha retira sans ménagement le tissu entourant le frêle corps du bébé ne prêtant pas attention aux sages-femmes silencieuse, à sa femme en pleurs et à sa fille le suppliant de la laisser s'en occuper, de ne pas s'en débarrasser. Il n'eut même pas besoin de voir le sexe du bébé qu'il savait déjà que cette chose ne serait que nuisance pour lui.

«Papa s'il te plaît laisse moi m'en occuper ! Les hommes Omega existe il peut toujours nous être utile ! Il faut juste qu'on attendent un peu ! S'il te plaît !»

Agenouillée devant son père, elle l'implorait de ne pas tuer son petit frère comme il l'avait fait quelques années auparavant. Les femmes rapportent de l'argent avec les dote de leurs futurs époux, elle rapporte l'argent à leurs famille en se prostituant, les garçons ne servent à rien si ce n'est qu'à ajouté une bouche de plus à nourrir, un homme suffit pour mener sa famille à la survit.

Dans ces villages éloignés des grandes villes, l'argent méritait tous les sacrifices pour être obtenu, il était encore assez jeune pour se passer d'un fils, tout ce dont il avait besoin était de filles pour assurer les repas le soir, il ne pouvait pas s'embêter à attendre le sous-genre de son rejeton de fils, cependant sa femme n'était plus de sang neuf pour les hommes des villages voisins, sa fille seule ne ramènerait jamais assez d'argent pour subvenir à leurs besoins, alors il laissa tomber le bébé d'un air désintéressé, sa fille le rattrapa de justesse et le blottis dans ses bras.

«Si ce truc s'avère ne pas être un Omega, attend toi à une sévère punition.

- Oui papa ! Je travaillerais plus, tu n'auras même pas à t'en occuper, tu verras on va ramener beaucoup d'argent ! Les hommes Omega sont rares on en tirera un bon prix !

- Ferme-là, pose ce truc et va dans la chambre, vous deux nettoyez moi tout ce merdiez !»

Afin d'asseoir encore plus sont autorité d'Alpha, la figure paternel relâcha une nuée de phéromones nauséabonde, obligeant les femmes de la maison à se masquer le nez à l'aide de leur manche. Lorsqu'il disparut dans la chambre où l'attendait sa fille, les deux sages femmes s'attelèrent à la tâche: ouvrant les fenêtres pour faire disparaître les phéromones, installant la femme Omega et son bébé sur le tapis lui servant de lit et essuyant le sang et les liquides s'étant répandus sur le sol lors de l'accouchement. Une fois tout cela terminé, elles soufflèrent les bougies presque noyées dans la cire et vinrent se coucher près de la mère de famille pour garder un minimum de chaleur durant la nuit.

Me Too [Terminée]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant