Chapitre 3: Journalistes

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Tyler

J'avais une femme ligoté dans mon sous-sol et assis sur une vielle chaise, mais je ne pouvais me sortir de la tête cette femme avec son énorme caractère.

Qui était-elle?

Ses yeux bleus perçants me comprenaient, car elle avait vécu la même douleur. C'était dommage qu'elle n'avait pas eu plus de chance.

Ce petit boue de femme, qui ne devais mesurer plus de un mètres soixante me tenais tête, comme si elle m'étais supérieur.

Je me demandais comment cette femme pouvait avoir autant de culot, malgré son lourd passer. Quoi exactement, je ne savais pas, mais je savais ce dont j'avais besoin.

Ce dont j'avais besoin était que tout avait un lien avec Rafael.

Je devais la sortir de ma tête, car devant moi se présentaient les journaux qui parlaient justement d'elle.

Je lisais très clairement:

Fin du règne terrifiant des Adams?

Carla Aguilera une jeune femme de vingt-deux ans originaire du Mexique provoque le fameux cartel des Adams qui s'étant sur tout le long de la frontière mexicaine et États-Unien.

Avec un énorme cran, elle affronte courageusement quatre hommes de ce cartel et parvient à les vaincre.

C'est un signe pour la fin du Cartel, si une jeune femme peu les battre, alors nous le pouvons aussi.

Je déchirais rageusement le papier qui était entre mes mains. Sérieusement, une jeune femme devait seulement vaincre quatre hommes saoul et on criait sur les toits que nous étions faible.

C'était mauvais pour le business, très mauvais, car les autres voudraient arriver à vaincre mon règne. Mon règne qui ne faisait que grandir depuis des années.

Elle devait mourir, c'était inévitable. Elle était source de problème pour moi et mon business.

Pour ma famille aussi elle était néfaste, pas celle de sang, mais celle que j'avais choisie.

Elle n'avait juste pas eu de chance, car en d'autres circonstances je lui aurais proposé de travailler à mes côtés. Comme j'avais fait avec tout les autres, je trouvais des âmes biser et dans la merde pour leurs donner donner des ails flambant neuf.

Voilà ce que je faisais, ça m'assurait qu'il donnait leur respect sans faille pour moi et moi seul.

Le destin avait été une vraie petite sournoise avec elle et moi.

Carla, la petite petite femme aux cicatrices, je venais pour toi.


Carla

Ma tête pendait vers l'avant, mes jambes étaient ligotées à une chaise et mes bras étaient ligotés sur des avant-bras. C'était nouveau pour moi, j'avais l'habitude d'une chambre d'hôtel peu luxueuse et d'une dizaine de clients par jour.

Je ne savais pas ce qui était le pire, une vieille cellule crasseuse ou une chambre d'hôtel avec dix hommes par jour. J'avais toujours les yeux qui voyais flou et j'avais atrocement mal à la tête, pourtant je n'avais reçu aucun cou à la tête.

Je passais mes yeux partout, mais je ne voyais rien qui me rappelait Rafael. La cellule était éclairée d'une minuscule fenêtre qui laissait à peine passer la lumière du jour. Cette fenêtre serait mon horloge si tout ce cirque durait longtemps.

Sérieusement, se faire kidnapper deux fois dans sa vie, c'était n'importe quoi.

Le sol était froid sous mes pieds nue, je n'avais donc pas mes talons hauts. Les liens autour de mon ventre me faisaient atrocement mal, mais à ce que je voyais ma robe était toujours sur mon corps frigorifié de froid.

Son retourOù les histoires vivent. Découvrez maintenant