Chapitre 6: Elle

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Tyler

Nous entrions avec de faux sourires dans ce magasin de bagues. Je sentais Carla réticente à ce que je sois proche, mais elle devait s'habituer.

Je détestais tellement cette femme, elle était une bombe à retardement et moi je l'avais placer au centre de mon empire.

Je détestais son odeur sucrée, je détestais son caractère, je détestais qu'elle ne me craigne pas, je détestais qu'elle me rappelle sans cesse que ma mère était comme elle.

Je détestais tout chez elle, tout!

Pourtant je me sentais mal de savoir ce qu'elle avait vécu pendant quatre longue années, car j'acceptais de tuer, mais la torture non, le viole surtout pas.

Comme ma mère me disait tout le temps: ( J'ai épousé ton père, car il a des valeurs. Il ne viole personne et si un jour en reprenant le business tu le fait, je serais que j'ai manqué mon éducation. Tu serais mon plus grand regret).

Alors je l'avais écouté, car elle méritait d'être paisible dans son cercueil. En même temps, je savais que pour qu'elle m'écoute j'allais devoir user de ce point faible.

Je n'avais aucune envie de toucher cette femme, car elle ne m'attirais pas et que ma mère m'en aurait voulu, mais pour qu'elle me respecte je devais le faire.

Jamais je ne la violerai, mais juste assez pour qu'elle arrête de me frapper, me pousser et bien plus, mais pas maintenant.

Je devais la prendre par surprise.

- Mon chéri, elle est magnifique, je la veux.

Carla prononçait d'une voix qui paraissait aimante et je savais qu'elle serait une bonne menteuse, après tout elle avait étudié la psychologie.

Si moi je ne mentais pas tout le temps, je pourrais y croire, mais moi aussi je mentais très bien. Pourtant Carla s'avait exactement quand je lui mentais, tout sa à cause de son truc de merde de trahison corporelle.

- D'accord. Je lui répondis en regardant la petite bague ornée d'un seul diamant bleu comme ses yeux.

Petit, mais riche, parfait pour prouver que nous étions des futures mariés. C'était officiel, j'allais marier cette femme que je détestais tant. Elle serait ma femme jusqu'à se que je meurt. Elle et moi n'étions pas heureux, mais pour protéger mon empire, je ferais n'importe quoi.

J'avais renoncer à une femme et des enfants depuis longtemps, alors je n'avais pas à sacrifier se rêve et je crois qu'elle aussi ne devais pas sacrifier se rêve.

Faux sourire sur faux regard, nous faisions croire que nous nous aimons à mort. Jusqu'à arriver dans ce véhicule riche pour enfin arrêter cette mascarade. Enlever nos faux visages et enlever notre masque pour le changer, car nous ne nous faisions pas confiance.

Dire que demain nous avions une soirée.

- Démarre. Elle m'ordonna froidement.

Je démarrais et faisais crisser les pneus sous la vitesse pour atteindre rapidement la rue centrale et ralentir.

- Redis-moi encore un ordre et je te lance en bas de cette voiture.

Je me fessait froid et arrogant, car elle détestait mon arrogance. Lunette de soleil sur les yeux, je roulais à une vitesse rapide en souvenir à mes courses d'auto.

Elle se taisais tout au long du voyage, trop épuisée de me tenir tête. Elle battait en retrait pour mieux m'attaquer ensuite.

La grille s'ouvrait pour nous laisser entrer et nous garer dans le garage. Elle sortait la première et moi je la suivais de près, nous entrions en même temps au premier étage.

Son retourOù les histoires vivent. Découvrez maintenant