Cour d'Épines et de Roses

Chap 1: Agonie

J. S

La vie a une fin comme une lumière de bougie qui s'éteint, mais dans le cœur les souvenirs restent à jamais éclairés.

Hélas en ce jour, y'a que les souvenir qui restent, certains doux, certains épouvantables et d'autres vides.
Tu leur as agréé, ils t'ont altérés et cocufiés. Tu leur as donné assez de temps pour rattraper ce désastre mais tout ce qu'ils ont fait est de t'enterrer six pieds sous terre.

Moi: Qu'elle belle façon de montrer leur reconnaissance.

Jusqu'à présent rien à changer, tu as beau essayé de les changer mais rien n'y fis, ces ignobles personnes continuent toujours de rôder librement, vivant leur meilleur vie ; hôtels, villa , boîtes...n'omettant rien Et toi ? Pendant que t'es sous terre, eux ils profitent de leur vie, entrain de chercher de nouvelles proie sur qui répandre leur faiblesse. Après notre famille, ce sera une autre...ainsi jusqu'à leur mort.

Ils t'ont pris à moi, je leur prendrai tout, même leur chiens ne seront pas épargnés.

Moi: J'arrive pas à croire que tu étais  si patiente avec parce que tout ce dont j'ai envi là, maintenant, c'est de les détruire, mamá. Quitte à faire couler du sang.

Oui, je vais les anéantir un par un. Finit les jeu d'enfants !

...: Des menaces de mort dans un cimetière?...Et arrête de te parler seule, tu vas finir par devenir folle.

Moi: Qu'est-ce que tu fais là ?

...: T'as disparue de l'aéroport sans un mot. Je m'inquiètais.

Moi:

...: Et j'ai pensé au seul endroit où tu pourrais être.

Moi: Évite de me chercher la prochaine fois.

...: On est plus en Italie

J'efface mes larmes du revers de ma main et fais face à mon perturbateur.

Moi: Et ?

...: Les rues d'ici ne sont pas sécurisées. Le danger est partout

Moi: *rire* Ahmad ! JE suis le danger.

Ahmad: *souffle* Rentrons !

Je le regarde impassible et lui tourne les talons. Il pourchasse mes pas derrière moi mais je lui arrête dans son élan.

Moi: Ne me suis pas, je dois rencontrer quelqu'un d'important

Mais quel forceur, je vais finir par l'enterrer vivant. Je sors du cimetière et hâte le pas, le laissant derrière me criait qu'il fait tard. Les rues sont dangereuses? La blague. Je suis plus dangereuse...! S'il y'a une chose qu'il devrait ne jamais oublier c'est que j'ai grandi dans les rues de ce pays

J'arrive dehors et remarque sa voiture. Il peut se démerder solo. Ça lui apprendra à ne pas me suivre comme un chien. C'est mon meilleur mais je fais ce que je veux. J'aime pas les sangusues.

Je démarre en trombe et roule des kms à l'heure. Même pas deux minutes que je reçois son appel. Je lui raccroche à la gueule. Il réessaie et cette fois ci je lui répond

Moi: Quoi ?

Ahmad: Je vais te niquer toi. Viens me prendre vite

Moi: *rire* Pas le temps

Ahmad: Arrête tes blagues. Ça fou la trouille ici, j'ai la chair de poule.

Moi: NON ! Démerde toi, je dois rencontrer quelqu'un.