ℌ𝔲𝔦𝔱𝔦𝔢𝔪𝔢 ℭ𝔥𝔞𝔭𝔦𝔱𝔯𝔢𝔰 (8)

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Plusieurs jours s'étaient écoulés depuis le combat du rouquin et du Prince Katsuki.
Le roux s'entêtait à suivre partout ou aller le blond, ce qui avait le don de mettre ses nerfs à vifs, il ne pouvait pas rester plus de une heure tranquille sans que la tête si "agaçante" soit-elle comme le penser si bien le cendré, n'apparaisse dans son champs de vision.
Mais le jeune Prince avait beau repousser autant de fois le roux qu'il le voulait, à chaque fois, comme obstiné, le semi dragon revenait à la charge inépuisable.

Pov Kirishima

Je me suis rarement autant amusé de toute ma vie... cet humain a un fort caractère bien à lui qui me met à rude épreuve, je ne peux pas l'approcher plus de dix minutes, sans qu'une grossièreté où qu'une pulsation de ses paumes ne rentre en contact avec mon visage où mon corps. Ce qui me fais rire, car peut importe la force qu'il mettra dans son impact, aucun d'eux, ne pourra me résister.

L'heure du souper arrive à grand pas et comme depuis plusieurs jours maintenant, je mange mon repas accompagné du Prince dans un salon qui était seulement réservé au futur Roi, mais qui maintenant est devenu notre rendez vous obligatoire de la journée.
Les repas sont toujours froid et perde de leurs saveurs face au visage dur et grave du blond en face de moi, qui ne m'adresse mot et se contente de répondre à mes questions part des regards noirs et des grognement qui signifie rien de bon.

Je m'attends à se que, ce soir, soit le même scénario.
Mais à mon plus grands bonheur il semble réceptif et de bonne humeur, car il réponds, certes avec un entrain moindre et part de simples, "oui" ou "non", mais il me réponds, se qui me fais sourire et redouble ma joie.
Je le regarde après avoir finis mon assiette, mais je ne trouve aucun sujet de conversation. Déçu que la soirée se finisse si rapidement part mon manque d'imagination pourtant débordant d'habitude.

Ses yeux d'un sanglant déroutant se pose dans les miens, un sourire se peint sur mes lèvres les étirants juste assez pour ne pas laisser mes dents être dévoilé.

Notre échange de regards ne prends pas fin et nous restons dans un silence bien moin malaisant que les autres fois, à nous regarder dans les yeux.
Se qui nous interrons dans notre contact visuel et les trois coups porter à la porte.
Il se tourne vivement vers celle-ci et comme il ne se résigne pas à répondre, je prends moi même la parole dans un soupire étant donner que je ne suis pas sensé le faire.

Kirishima : Entrée !

La porte s'ouvre dans un léger grincement et une femme apparaît dans l'ambroisure de la celle-ci.
Sans un mot, elle récolte les plats vide et s'en va comme elle est venu.
Le Prince se lève suite à ça, prêt à quitter la pièce, mais je bondis de ma chaise et attrape son poignet.

Kirishima : Ne partez pas maintenant !

Prince Bakugo : Pourquoi ça ?

Son ton de voix est froid, mais étrangement calme. Je lui sourit laissant apparaître mes dents pointues et je vois ses yeux se poser dessus un instant, puis remonter dans mes sanguines le regard interrogateur et la bouche légèrement entrouverte.

Kirishima : Je me suis dis que nous pourrions passer un peu plus de temps ensemble...
Je babulte quelques paroles sans grande conviction sachant pertinemment se qu'il va répondre.

Prince Bakugo : Vous ne trouvez pas que vous passez assez de temps à me suivre partout et à me coller ?

Ses sourcils froncés aux dessus de ses yeux et son air colérique, qui rends son visage encore plus appréciable à regarder, sa mâchoire se contractant pour ne pas laisser son impulsivité lui échapper, ses poings se serrant et ses yeux me tuant du regard me font frissonner.

Je finis part le lâcher et il tourne les talons dans la précipitation puis quitte la pièce, je baisse la tête déçu, mais je n'entends pas la porte se refermé chose qu'il aurait fais en la claquant violement.

Je relève les yeux et je le vois me dévisageant sévèrement.

Prince Bakugo : Ne baissez pas la tête.

Kirishima : Pourquoi dont ?

Il ne réponds rien et me regarde dans un silence des plus déroutant. Je ne sais que faire ni dire et je reste planté la à le regardé, tripotant mes mains nerveusement.

Prince Bakugo : Que ferions nous, si nous passons du temps ensemble ?

Je suis pris au dépourvu et je le regarde en mordant mes lèvres un instant pour réfléchir. Ses rubis suivent le mouvement et se baisse sur mes lèvres, réalisant sûrement son geste, il fait mine de tousser en regardant ailleurs, j'esquisse un sourire et le regarde heureux qu'il daigne faire un quelconque effort.

Kirishima : Pourrait-on faire une balade à cheval ?

Il pose ses iris sang à nouveau sur moi, intrigué.

Prince Bakugo : Êtes vous déjà monté sur un cheval ?

Kirishima : Non, jamais. Le Prince fronce les sourcils et secoue très légèrement la tête de gauche à droite.

Prince Bakugo : Pourquoi me demander alors ? C'est absurde, si vous ne savez pas monter à quoi sert-il de me proposés une telle chose ?

Je ris légèrement amusé par son questionnements, et je m'approche doucement de lui, un sourire s'étirant sur mes bouts de chairs, je gardes mes iris sangs plantés dans les siennes à mesure que je ne m'approche, j'ouvre la bouche et je lui dis dans un ton des plus innocent.

Kirishima : Je n'ai cas... monté avec vous ? Êtes vous partant, mon Prince ?






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𝔹𝕠𝕟𝕤𝕠𝕚𝕣, 𝕥𝕖𝕩𝕥𝕖 𝕡𝕝𝕦𝕤 𝕔𝕠𝕦𝕣𝕥 𝕢𝕦𝕖 𝕕'𝕙𝕒𝕓𝕚𝕥𝕦𝕕𝕖 𝕔𝕒𝕣 𝕛𝕖 𝕥𝕖𝕟𝕒𝕚𝕤 𝕒 𝕝𝕖 𝕗𝕚𝕟𝕚𝕣 𝕚𝕔𝕚.
𝔻𝕖𝕤𝕠𝕝𝕖́ 𝕡𝕠𝕦𝕣 𝕝𝕖𝕤 𝕗𝕒𝕦𝕥𝕖𝕤 𝕕'𝕠𝕣𝕥𝕙𝕠𝕘𝕣𝕒𝕡𝕙𝕖 𝕖𝕥 𝕒𝕦𝕥𝕣𝕖𝕤 𝕚𝕟𝕔𝕠𝕟𝕡𝕣𝕖́𝕙𝕖𝕟𝕤𝕚𝕠𝕟...

Moi ? Avoir oublier de publié mardi ? Pff absolument pas-

𝕄𝕖𝕣𝕔𝕚 𝕕'𝕒𝕧𝕠𝕚𝕣 𝕝𝕦.

957.

𝓛𝓮 𝓓𝓻𝓪𝓰𝓸𝓷 𝓔𝓽 𝓛𝓮 𝓟𝓻𝓲𝓷𝓬𝓮. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant