𝓛𝓮 𝓓𝓻𝓪𝓰𝓸𝓷 𝓔𝓽 𝓛𝓮 𝓟𝓻𝓲𝓷𝓬𝓮.

𝔇𝔦𝔵-𝔫𝔢𝔲𝔳𝔦𝔢𝔪𝔢 ℭ𝔥𝔞𝔭𝔦𝔱𝔯𝔢𝔰 (19)

Dans le domaine royale entre les murs de pierres imposant du château, la pagaille règne.
L'homme a la chevelure en pique qui n'est autre que le Prince, ne tiens plus en place. La "prison" dans laquelle avait été forcé d'y rester enfermé sous ordres de ses parents le fessait fulminé dans son coin, sans pouvoir faire échapper sa colère et toute la frustration qu'il gardait à propos du rouquin qui ne donnait toujours aucun signe de vie après deux semaines de disparition.
Sans été trop, il a allait craquer, bientôt exploser ses nerfs sur quelqu'un, il devait sortir.

Mais ayant beau demandé à mainte et mainte reprises à ses géniteurs de le laisser se défouler à l'extérieur rien ne les fessaient pliés. Ils étaient convaincu que la crise de nerfs allait passer et que bientôt tout redeviendrais comme avant.
Mais ça, ne risquait pas d'arriver.
Une tension plus que pesante épuisé les serviteurs qui devait à tout pris servir Le Prince de ses moindres envies aussi soudaine et colossal soit elle, il était tellement énervé qu'il serait capable de faire exploser sa si précieuse chambre pour sentir à nouveau l'air frais de dehors.

Mais tout le monde savait se qui se passerait si Le Roi et La Reine dédaignés le laisser sortir, il prendrait cette occasion pour fuir et partir à la recherche de l'homme roux bannis des terres du royaume.
Même si le blond affirmé à Sa Majesté qu'il ne le ferait pas, l'idée de fuire rejoindre cet individu le titillé a chaque instant, un lien bien trop fort était venu s'immiscer entre ses deux corps, quelques chose que personne n'aurait pu détruire, même pas les parents du Prince, qui eut sont déterminer à faire oublier au cendré le passage et la trace du roux de sa vie.

Mais c'était devenu vitale pour lui maintenant de le voir, de le sentir, de le voir sourire et rire, de le voir essayé de tenter un rapprochement entre eux, c'était lui et il le lui fallait.
Ne comprennant toujours pas se qui se passait dans sa tête et sa poitrine quand il pensait a lui et ne voulant pas réellement comprendre se qui se cachait derrière autant d'émotions car il avait peur des réponses et du mot qu'il poserait sur se sentiment de joie et de confort intense quand le roux se tenait près de lui, il n'arrivait tout simplement pas à se retiré de la cervelle le prénom de Eijiro déjà trop encrés dans celle-ci en a peine quelques mois.

Le temps commencé à s'écouler lentement et son espoir de le revoir se perdait à mesure que le soleil se couchait et se relever dans les cieux.
Sa colère grandissait et sa tristesse augmenter, puis ses deux sentiments se frappèrent l'un l'autre et le plus profond pris part du jeune homme, il avait finis part se taire et laisser les événements le rattraper.
Pleurer était une marque de faiblesse et c'est ce qu'il ressentait, il se sentait faible et démunis face à des choses qu'il ne comprennait pas, et toutes ses questions qu'il l'abatait chaque jour un peu plus à l'en rendre malade n'aidait guère.
Il rabâchait sans cesse les événements et se torturé l'esprit de manière à s'en donner mal au crâne.
Sortir n'était pas bien compliqué et il aurait pu le faire depuis un moment, une seule explosion le suffirai à s'enfuir, rien qu'une.
Mais il se rendis compte, qu'il connaissait absolument rien du monde extérieur et même une fois dehors il ne serait savoir où aller n'ayant aucun repère, ne pensant meme pas survivre une journée une fois les pieds dans la nature.
Il était condamné à rester la ou il était et se pendant une période encore indéterminée du jeune homme.

Les jours et semaines se succédèrent à une vitesse affligeante, et une nouvelle des plus bouleversante vient détruire tout les espoirs aussi infime que le blond avait pu se créé.
Son destin allé être scellé et ce pour toujours. Quelque chose allé le liés pour l'éternité sur le trône et dans son rôle à la relève du Roi.
Son estomac se tordant et se retournant, un torrent d'émotions le secouer alors qu'il se tenait debout devant les personnages royaux qui fessaient retentir des mots durs et transpersant comme une lame aiguiser planté en plien cœur.
Sa gorge sèche aucun mot se fit entendre des lèvres de Katsuki, il était abattu, sous le choc, ne s'attendant pas à se retournement de situation si décisif dans sa vie.

Puis, enfin, la colère jaillit d'un bond et les insultes et grondement fuserent rapidement des lèvres du blond qui n'avait plus aucune retenue.
La paume de ses mains se mirent à chauffer et à brûler le tissus de sois dans lequel ses doigts y été glisser.
Il hésitait à tout faire exploser, à tout détruire, ses soudaines pulsions le mit encore plus en rogne.
Il ne devait et pouvait pas réagir, il avait le devoir de respecter et de prendre ses responsabilités De Prince en main, il ne pouvait plus reculé, son destin venait d'être plier en seulement deux paroles.

Il tourna les talons dans un mouvement de rage intense, mais il ne pouvait pas partir sans rien faire, il tira de sa paume encore en surchauffe une explosion en direction des fenêtres qu'il fit éclaté en un éclair.
Puis, il partis, les larmes commençant à obstrué sa vue, serrant sa mâchoire et ses poings, il s'enferma dans sa chambre en plongeant sur son lit, sortant de sa cachette ses objets incorporer de l'odeur du rouquin, il y mit ses narines et huma la douce odeur qui vient chatouiller et calmer lentement l'âme en désordre et en colère du cendré.

Plus rien n'allez encore moin qu'avant et un manque terrible de Eijiro le mettait dans un mal profond à chaque jours qui commencer et qui se terminer.
Ne pouvant dormir de la nuit, son seul échappatoire devant lui, il se levant délassant les objets de son réconfort et il se réfugia dans son livre préféré qu'il avait déjà lu des centaines de fois. Plongé dans sa lecture profonde, il ne pensa à plus rien, ou presque.

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Voilà pour cette fin de chapitre !
En espérant que ça vous aient plus.
Je m'excuse encore pour les fautes car ce chapitre doit en être bourré...
Bref,
Merci d'avoir lu !

Je suis à l'heure :')

1059.