𝓛𝓮 𝓓𝓻𝓪𝓰𝓸𝓷 𝓔𝓽 𝓛𝓮 𝓟𝓻𝓲𝓷𝓬𝓮.

𝔗𝔯𝔢𝔫𝔱𝔢-𝔥𝔲𝔦𝔱𝔦𝔢𝔪𝔢 ℭ𝔥𝔞𝔭𝔦𝔱𝔯𝔢𝔰 (38)

Partis sur les vertes pleines du grand domaine, Eijiro sous sa forme de Dragon sillonné le ciel en compagnie de son beau Prince qui le monté.
Bien accroché aux cornes rebustes, le blondinet, avait bien prit l'habitude du vol maintenant.
Il pourrait même affirmé qu'il y prenait un certain plaisir.
Pirouettes, gambettes dans les airs, Kirishima ne s'arrêtait de voler plus haut, plus loin vers le soleil, sans que Katsuki ne lui en désuiade.

De nombreuses heures c'étaient écoulés depuis leurs montés dans les cieux.
Ils firent une halte.
Pour simplement se promener main dans la main à travers les bois, ou les vastes étendues d'herbes.
Passés à un court d'eau, les souvenirs remontèrent a la surface pour éclaté dans la cervelle du blond.
Et le cendré se sentit bien niais tout un coup.
Mais beaucoup plus heureux.
Parce que maintenant il avait comprit.
Il avait comprit que seul Eijiro aurait pu le rendre heureux à ce point.
Que seul ce garçon mérité d'être à ses cotés.
Même si il ne régnait plus.
Qu'il ne règnerait jamais pour être plus exacte.
Il se tenait là.
Avec le rouquin.
Ce rayon de soleil constant.
Son rayon de soleil.
Non...
Il était bien plus que sa.
C'était un soleil, et c'était le sien.
Cette pensée, le fit sourire doucement, alors que ses prunelles s'encrés sur le visage jovial de son Eijiro.
Il babillait comme à son habitude sans même entrevoir ce que le blond pensée à l'instanté.
Son innocence resté enfantine l'empêcher de réellement suivre le court des pensées du cendré.

C'est donc qu'une fois que le ciel s'arma de ses couleurs rouges orangés et que le soleil déclina pour disparaître derrière les hautes montagnes et laissé place à la lune et son ciel noir d'été, que les deux jeunes hommes prirent la décision de rentrés.
Le ventre de Eijiro crié famine pendant que le grand rouquin rouspéter derrière son ventre vide.
Sans prêté attention à son ami, Katsuki se déplaça dans les bois et sillonna les clairières qui se dépêtrer lentement de ses couleurs jaunes et lumières vives, pour laissé place à la douce luire du crépuscule.

Ce n'est que quand l'obscurité s'installa réellement et que les étoiles pointèrent le bout de leurs nez, qu'ils arrivèrent à bon bord.
Ils avaient mal calculé leurs coups et la petite magicienne allé sûrement les grondées tout les deux.
Le roux angoissé déjà à l'idée de la colère sourde de la brune, sachant pertinemment qu'elle était destructrice.
Il souffla arrivé devant la porte, et entra sans frappé.
Ils auraient pu, bien sûr, rentré chez eux, dans leurs propre maison, mais le soucis été que, Uraraka avait bien évidemment prévu un repas pour trois et elle devait sûrement les attendre.

L'erreur est humaine, et Eijiro aurait dû toqué avant d'entré.
La pièce plongés dans une légère lumière, juste assez présente pour bien distinguer les deux corps collé l'un à l'autre sur le sofa.
Le roux mit un certain temps à savoir que c'était son ami vert dans les bras de la jolie brune.
Uraraka n'avait rien remarquée.
Trop concentrée à enfin conclure avec son meilleur ami.
Mydoria, ne se douta de rien non plus.
Obnubilé part la beauté cassiment nue sous ses yeux.
Mais le roux, trop perturbé part cet événements inattendu, fit un mouvement brusque et bouscula la table de présentation, qui fit trébuché un objet cassable qui rejoignit le sol dans un bruit sourd.
Kirishima poussa un crie de surprise et les deux têtes sur le canapé se redressère.
A son tour, la magicienne poussa un crie, très étonnée, et visiblement pas prête du tout à cet instant.
Katsuki derrière son homme, ne comprennait guère se qui se passa, et poussa le rouquin à l'intérieur.
Quel ne fut pas sa réaction devant la brune, gênée qui se bousculé contre un autre jeune homme.
Il ouvrit ses yeux en grand, avant de saisir son ami roux en dehors de la maison.
Refermant la porte d'un coup sec.
Leurs deux visages avaient virés rouges.
Le rouquin et le blond échangère un regard hébété avant de partir dans un fou rire incontrôlable.

Du mouvement dans la maison les firent s'arrêté, et la porte s'ouvrit à la volé.
Le petit vert se trouvait dans l'encadrement, rhabiller à la va vite.
Un sourire très maladroit planté sur son visage de garçon sage.
Il fit un pas à l'extérieur avant de poursuivre les autres, visiblement gêné d'être en présence des deux amants et de ne pas savoir où se mettre.
Étant donné qu'il venait de se faire prendre à la limite de succombé aux bras féminin de la brune.

Mydoria : Je... Je vais rentré.

Très fébrile il dit sa phrase avant d'essayer de dépassé le rouge.
Malheureusement pour lui, son geste se fit intercepté part le garçon qu'il voulait évité.
Ses yeux émeraude se posèrent dans ceux qui été rouge.
Mais au lieu d'y retrouvé de la colère comme il s'y attendait, une bienveillance étrange y régnait.
Le rouge sourit dévoilant ses dents pointues.

Kirishima : C'est elle qui t'a mit à la porte ?

Le petit bouclé commença à paniqué, pas prêt à cette question.

Mydoria : N-non... C'est que... J'ai pensé que tu ne serais pas ravie de me retrouvé là... Je sais bien que Uraraka est plus comme une sœur à tes yeux... Alors... Je me suis dis...

Le petit vert commence à murmuré des choses incompréhensible et paniqua devant le roux sans savoir quoi dire ni faire.
Ce qui, agaça fortement le blond resté en retrait.
Il n'était pas loin de décroché une calote au plus petit pour ses bafouillages.
En ayant horreur, il se retenait et fusé dans son coin.

Eijiro essaye tant bien que mal de calmé le bouclé.
Il passe une de ses mains à sa nuque du à son embarras.

Kirishima : Pour être honnête... Je me demandais quand est-ce que vous allaiez enfin conclure...

Du soulagement vient se logée sur les traits du tout petit, qui souffla beaucoup plus serein.
Le rouge sourit encore, mais sa conversion et interrompu part Ochaco qui ouvre rapidement la porte.
De son point de vue la situation semble catastrophique.
En effet, Eijiro tient part le bras fermement le vert, et au vue de la pénombre, elle n'a donc pas remarqué qu'ils mettaient simplement les choses aplat.
Toute paniquée, elle sort en furie de l'encadrement de porte.
Sa robe mal mise, menace de la faire tombé à la renverse.
De sa petite voix aigu de jeune femme, elle se précipite à dire.

Uraraka : Oh... Part pitié les garçons, ne faite pas de grabuge...
Ne vous batez pas, je vous en conjure !

Le rire léger et cristallin du plus petit lui s'èlève dans la nuit alors que Eijiro lâche sa prise.
Le petit vert s'approche de la brune un sourire en coin.
Inquiète, elle le regarde, inspectant son visage, malgré la nuit, pour être sûr que aucun coup ne lui a été porté.

Mydoria : Je vais bien Ochaco.
Et puis... Kirishima ne me fessait aucun mal.

Portant ses châtaignes au dessus de l'épaule du vert, elle toise un instant son ami de toujours, qui pour toute réponse, lui souris à plienne dent.
La brune, rassurée, calmant sa respiration et son cœur, dit, d'une voix douce et mélodieuse.

Uraraka : Il commence à se faire tard, rentrons.

Elle saisit de sa petite main, celle du verdelet et le tire vers la porte d'entrée.
Kirishima et Bakugo sur les talons.

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Et voilà !
J'inclus enfin un nouveau ship...
Je voulais le faire depuis un moment mais je n'ai pas su trouvé la bonne tournure de phrase et tout ça.
Bref.
Plus que un chapitres avant le bouquet final !

Merci d'avoir lu !

A la prochaine. <3

1285.