𝓛𝓮 𝓓𝓻𝓪𝓰𝓸𝓷 𝓔𝓽 𝓛𝓮 𝓟𝓻𝓲𝓷𝓬𝓮.

𝔇𝔦𝔵-𝔰𝔢𝔭𝔱𝔦𝔢𝔪𝔢 ℭ𝔥𝔞𝔭𝔦𝔱𝔯𝔢𝔰 (17)

Kirishima venait de se poser sur les terres familières de ses premières années en tant que humain.
Se laissant quelques minutes de marches jusqu'à la petite maison, il prit son temps pour regarder autour de lui.
Puis enfin, devant la petite porte en bois, il hésitait. Chose qui lui arrivait rarement, car étant un garçon peu réfléchi, il prenait des décisions sur un coup de tête sans penser aux conséquences.
Il inspira longuement et porta son poing sur la porte.
Il entendit quelques pas et la voix cristalline et apaisante de la brunette crier un "j'arrive" cette douce mélodie de la voix de son amie lui avait terriblement manqué.

Quand la porte s'ouvrit, tout deux se contentèrent de se dévisager, surprise de le revoir, la brune n'osa aucun gestes, paroles ou même mouvements.
Le rouquin étira ses membranes roses en un doux sourire, et sans plus tarder la plus petite sauta dans les bras du roux les fessant heurtés le sol.

Un rire éclata et l'autre suivit dans cet élan de joie.
La serrant contre lui, il en oublierait presque sa tristesse.
Puis celle-ci se redressa pour fixer intensément le beau roux dans les yeux, et enfin, elle prit parole.

Ochaco : Qu'est ce que tu fais la...

D'abord confus, il ne su quoi répondre cherchant désespérément ses mots.

Kirishima : C'est une longue histoire... trop longue pour te la raconter maintenant...

Ochaco : Tu vas repartir dans longtemps ?

Un voile triste se plaça dans le regard du roux et il répondit de longues minutes après.

Kirishima : Je ne pourrais plus y retourner...

Uraraka, ayant vu le regard de son amis souris compatissante, et elle su que le roux ne lui expliquerait pas maintenant, il le ferait, mais pas desuite, il avait simplement envie de retrouver la compagnie de son agréable maison d'enfance.

Toute joyeuse du retour du semi dragon, elle le fit entrer et s'assoirs sur le canapé, puis partie dans la cuisine qui n'était qu'à deux pas du salon.
La maisonnette étant vraiment petite, regardant autour de lui les souvenirs dansant dans sa tête, un sourire vint se loger sur les lèvres roses de Eijiro qui se sentait enfin chez soie.

Elle revient deux minutes après des tasses fumantes et des gâteaux poser sur un plateau. Elle déposa ce qu'elle venait de préparée sur la table basse et s'assit à côté de son ami avec un sourire à faire tomber n'importe qui sous son charme.
La brunette en grandissant été devenu une femme charmante, un peu maladroite, elle reste très belle à regarder, deux joues rondes parsemées de belles rougeurs roses, de grand yeux aussi foncé que sa tiniase, de belles courbes voluptueuses.
Elle a bien changée de quand ils se sont rencontrés pour la première fois à l'âge de quatorze ans.

Aucun d'eux ne parlaient, ils buvaient leur infusion sans s'adresser la parole, un malaise étrange était venu s'installer entre les deux jeunes adultes.
Puis enfin, la brune vient cassé le silence.

Ochaco : Je suppose que si tu es rentré, c'est que tu n'as pas trouvé ce qui te convenait ? Mais alors pourquoi m'as tu dis que tu ne pourras plus y retourner ?

Regardant l'intérieur de la tasse encore brûlantes qu'il tient entre ses mains, il se perdit dans le liquide avant de répondre sans la regarder, trop honteux part cette nouvelle qui fendait le cœur en deux du rouquin.

Kirishima : J'ai... j'ai été bannis des terres.

La brune surprise part l'aveux du rouge, s'exclame.

Ochaco : Comment ça se fait !?

Kirishima : J'ai eu mon cycle... et... et un personnage de la cour à du me voir me changer en dragon, j'ai faillit à mon devoirs de protéger et de rester dans n'importe quel situation avec le Prince-

Sa phrase fut interrompu part Ochaco qui été complètement ahuris.

Ochaco : Tu as du protéger Le Prince ? Le Prince !

Kirishima : Ocacho ! Je sais bien que tu es toute excité mais calme toi.

La soudaine exitation de son amie avait déclencher un sourire radieux sur les croissants en demies lune du roux.

Ochaco : Oui... Excuse moi...

Elle passe sa main derrière sa nuque signe de son embarra et le rouge lui sourit tendrement. Continuant son récit, il lui explique ses début compliqué, sa rencontre avec La Reine et Le Roi,
Puis "sa mission" lui étant donné et la rencontre avec l'explosif.
Leur relation grandissante, leurs sortis nocturnes et balades à cheval sous les rayons de la lune, son cœur battant plus vite au toucher du blond et ses joues s'enflammant aux paroles du Prince.
Il lui dit tout, arrivant au passage de son cycle, il essaie de se rappeler des moindres détailles.

La brune, buvant les paroles de son ami, le regardée de ses beaux yeux bruns, assouvi de connaître se qu'il c'été passé durant tout ses mois loin l'un de l'autre.
Ne s'arrêtant plus, il parla du moment où sa sentence a été prononcée, de la supplication qu'il a réclamé et de son accord.
Mais il met un stop a ses mots, se demandant si c'est une bonne chose de parler de son baiser langoureux échangé avec le blond et de sa réponse positif à celui-ci. Il ne savait pas ce qu'elle allait dire. Eijiro n'avait jamais vu deux hommes ou de deux femmes s'embrasser ou se tenir la main, il commencé vraiment à douter de s'il était normal pour lui d'avoir autant apprécié tout ses moments passés avec le cendré, de penser autant à lui, de se lever le matin en ayant une première pensée qui lui soit adressé, tout sa le fessait se perdre complètement.

Ayant remarqué la soudaine inquiétude du rouquin, Uraraka posa sa main sur l'épaule du garçon.

Ochaco : Eijiro ? Ça ne va pas ? Pourquoi t'arrête tu ?

Kirishima : Je me demande.. si.. si je suis normal ?

Ochaco : Pourquoi ça ?

Kirishima : Parce que... parce que j'ai...

Il s'arrête encore tournant la tête et mordant ses lèvres jusqu'au sang, le goût métallique de celui-ci se répandant dans sa bouche. Puis il repose ses rubis sur la jolie brune.

Ochaco : Parle moi Eijiro... je ne vais pas te juger, tu sais que tu peux tout me dire, alors vas y...

Kirishima : Bien... Ma dernière faveur, était celle de voir Le Prince juste une dernière fois... Juste avant de ne plus jamais pouvoir le faire.
Alors je suis allé a ses appartements avec les gardes à mes trousse, et j'ai toqué à la porte, il a ouvert et je lui ai sauté dans les bras, je l'ai serrer contre moi tout comme lui, il m'a interdis de parler en souriant, et je me suis redresser pour le regarder dans les yeux...
Puis... Je... Je l'ai embrassé et il a répondu à mon baiser.

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Cette fin de chapitre n'est vraiment pas extraordinaire mais je ne savais pas comment le terminer, veuillez m'excuser pour ça...

Merci d'avoir lu !

Moi avoir oublié de publier le chapitre hier ? Pff n'importe quoi-
Je suis désolé de pas le faire j'y pense pas..

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