𝔔𝔲𝔞𝔱𝔬𝔯𝔷𝔦𝔢𝔪𝔢 ℭ𝔥𝔞𝔭𝔦𝔱𝔯𝔢𝔰 (14)

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Pov Kirishima

Deux mois se sont écoulées et les événements se sont bousculé rapidement.
Notre amitié avec Bakugo a grandement évolué, entre confidences et sortis nocturnes plus rien ne nous sépare.

Mais quelque chose va arriver dont j'avais complètement oublié l'existence.
Mes rutes s'approche à grand pas, je le sais, je le sens. Et je vais devoir quitter le château pendant une période qui met encore indéterminée.
Je ne sais pas quoi faire, je ne pense pas qu'en parler à Bakugo soit une bonne idée, étant donné que les dragons sont chassés des terres et tués part la garde royale elle même, j'ai peur de me faire livrer entre les mains des gardes si je lui en parle, malgré que je lui fasse entièrement confiance, je ne sais pas comment aborder se sujet.

Mais malheureusement, celle-ci sont déjà à mes portes avant même que j'ai eu le temps d'y réfléchir.
Je remplis une besace ou je vient mettre des habilles de rechanges, pour ce qui est de la nourriture mon instinct primaire reprendra le dessus.

Je prends le temps néanmoins de prendre un bout de parchemin vierges et d'y tracé quelques lignes à l'encre noir réservé à Bakugo.

Le soir, au moment du souper, je ne fais, et ne dis rien qui pourrait trahir mes pensées.

A la fin du repas, je prétexte être fatigué, et je quitte mon beau blond pour la nuit.

Mon sac à la main, mon papier dans l'autre je passe devant les appartements du Prince et je glisse sous sa porte le papier que j'ai soigneusement écris.

Puis, je dévale les escaliers et je m'enfuis du château tel un voleur.

Je ne tiens plus vraiment et mes écailles commence ordres et déjà à faire leurs apparitions sur ma peau, ma queue et mes ailles menacent de sortir et mes cornes se dresse déjà sur mon crâne, mais je suis encore trop prêt de l'édifice pour me transformer.
Mais rien y fait. Je prends ma véritable apparence contre mon gré et je vole le plus rapidement possible dans les airs en espérant ne pas avoir été vu.

Pensant avoir échapper au pire, un sort nettement plus grave tombera sur les épaules du roux quand il sera apte à rentrer au près de l'héritier.
Volant à travers les cieux et déchirant la nuit de ses cris bestiales, le dragon s'éloigne toujours plus loin et toujours plus haut du jeune homme qui fait battre son cœur.

Pendant se temps la au château, gardes et serviteurs s'affolent dans l'enceinte, le jeune Prince allongé sur son lit, le sommeil ne venant pas, ne se doute absolument pas de ce que manigance son ami déjà bien loin de lui.

La rumeurs court et file à toute allure entre les murs de pierres.
Personne n'aurait pu penser à une chose pareil, comment est-ce possible ?

Le lendemain sonne déjà.
Le Roi et La Reine Bakugo sont vite mis au courant part cette nouvelle, et le verdict est sans appel.

Pendant que les personnages royaux se déplace vers la demeure de leur fils, celui-ci découvre avec horreur et haine le mot rédigé à la hâte de son amis roux.

"Cher Katsuki.
Si je t'écris c'est pour te dire que je dois partir, je ne sais ni pendant combien de temps, une semaine tout au plus. La raison ? Je te la dirais quand nous nous reverrons, prends soin de toi et tâche de ne pas être trop désagréable envers les serviteurs, ce n'est pas parce que je ne suis pas la que tu dois te permettre de devenir arrogant et méchant.
Je reviens dès que possible, et je m'excuse grandement de mon départ précipité. Mais je n'ai pas eu le choix.
A bientôt Katsuki."

Il en avait que faire de ses excuses et de son charabia sans queue ni tête, rien de tout ça ne convenait au blond qui exigé des explications sur le champ, mais avait t'il pu bien allé ? Sans rien lui dire, lui qui les trouvait si proche l'un de l'autre et que rien ne pourrait entraver.

Plus déçu que en colère il retomba sur son lit, quand trois coup fut donné à la porte, c'est d'une voix lasse qu'il répondis un "entrée" sans plus de conviction.

Voyant les personnes qui débarquer dans son entre, il se relèva, fronça les sourcils et pris une expression en colère malgré ses pensées soucieuses pour son amis roux.

Prince Katsuki : Que me voulez-vous ?

Roi Masaru : Calmez vous, ne commencez pas à lever la voix.

Soufflant il n'ajoueta rien laissant "ses parents" parler.

Reine Mitsuki : Tu es consigné dans tes appartements jusqu'à ce que nous en décidons autrement.

S'en était trop pour le cendré, qu'avait t'il bien pu faire !
Son sang ne fit qu'un tour et des explosions crépitaient déjà à l'intérieur de ses paumes, mordant ses lèvres pour calmer son agacement, sa frustration, son dénis et sa peur.

Il poussa un cris de rage, mais si Le Roi et La Reine avaient pris cette décision, c'est qu'ils savaient que leur fils avait du être mis au courant pour son amis roux, sachant quel lien s'étaient tissés entre eux en l'espace de quelques mois, ses deux garçons ne devaient plus avoir de secrets l'un pour l'autre.
Et ils savaient bien sur, que le Prince serait capable de partir à sa recherche. Alors ils posteraient des gardes devant les portes de sa chambre et à sa fenêtre.

Ses sûrs ses derniers mots que les géniteurs du futur Roi s'en allèrent aussi vite qu'ils étaient venus.

Et le Prince se retrouva seul, à ragé dans son coin et à fulminé.
Il se posait un tas de questions qui se trouvèrent toutes sans réponse et rien n'appaissait ses pensées toutes tourné vers une seule personne, se qui l'énerver d'autant plus.

Ne pouvant décharger tout se qu'il contenait, il se contenta de hurler et de frapper dans son mur tel un adolescent en pliene crise de nerfs.

Si Kirishima ne se manifestait pas bientôt, Le Prince irait le chercher lui même, quitte à se mettre tout le palais dos à lui.







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J'essaye de faire bouger les choses mais c'est pas encore ça...

J'espère que l'histoire ne tourne pas trop en rond et que la suite vous plaira.

Merci d'avoir lu !

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𝓛𝓮 𝓓𝓻𝓪𝓰𝓸𝓷 𝓔𝓽 𝓛𝓮 𝓟𝓻𝓲𝓷𝓬𝓮. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant