𝔗𝔯𝔢𝔫𝔱𝔢-𝔠𝔦𝔫𝔮𝔲𝔢𝔪𝔢 ℭ𝔥𝔞𝔭𝔦𝔱𝔯𝔢𝔰 (35)

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La saison des pluies passa, pour laissé place au premier rayons de soleil, qui réchauffèrent doucement la terre engourdis part le froid.
Durant deux long mois qui succédèrent la proposition de Eijiro à ses amis, ils travaillètent à la sueur de leur front à construire la parfaite petite maison dans laquelle le blond et le roux pourraient enfin vivre en toute intimité.
Bien que Ochaco ne participe que très peu aux travaux, étant donné qu'elle préférait nettement s'occupé du potager, qui était, pour elle, plus accessible, étant donné que les récoltes des fruits du soleil n'allait pas tarder à faire surface, elle laissée les deux hommes de la maison se chargés de leurs construction.
Même si sa magie aurait pu aidé considérablement les garçons.
Fessant allé et retour vers la forêt pour y découpé les trons massifs des arbres pour en créer des planches capable d'en faire les murs de la bâtisse, le travail été laborieux.
Mais le rouquin était persuadé que ses efforts paierai.
Il était certain que une fois finis, tout serait parfait.
Le blond ne partagé pas cet avis.
Lui, de son côté, avait peur.
Il sentait bien que bientôt, son cœur lâcherait, et qu'il allait s'abandonné à craquer pour le beau carmin.
Déjà fissurés, les failles que contenait le muscle implanté dans sa cage thoracique brûlé déjà pour les lèvres, les mains, la tête, le corp et l'esprit du rouquin.
Il était inexorablement amoureux du carmin.
Impossible pour lui de l'admettre.
Mais la flamme finirait part jaillir.
Et vivre avec ce constant roux n'allait que faire accroître cette envie fulgurante de vivre pour toujours à ses côtés.

Heureusement pour eux, ils n'étaient pas seul à travailler sur la petite maisonnette.
Souvent, quand les amis de la magicienne et du carmin venaient, ils aidaient à la construction avec les matériaux lourds à portés.
Pendant des semaines entière ils ne s'atelaient qu'à ça.
Les murs, le toit, cheminée, tout devait être fait, et rapidement avant que la fin de l'été n'arrive et que la pluie n'inonde la bâtisse pas encore terminé.

Les quelques derniers décoratifs manqué dans l'intérieur mais une chose était sur : ce soir, Katsuki et Eijiro dormirait dans leurs lit et se reveilleraient demain dans les bras de l'autre sans être forcé de déjeuné à telle heure, où de vivre au rythme de la brune, ils avaient enfin un chez eux.
Le roux se tenait devant, les mains posées sur ses hanches, de la transpirations perlaient encore sur son front et ses muscles s'alliant alors que son regard se porté fièrement sur la maison enfin finit.
Le blond le rejoignit quelques instant plus tard, ses yeux dédaigneux parcouraient les coubes des murs imparfait.
Il n'était pas déçu, mais ni comblé à la fois.
"Peut mieux faire."
Avait-il dit à Eijiro qui semblait trop heureux.
Se dernier lui lança un regard noir avant de rouspéter après lui.
Il arracha un éclat de rire au blond, qui s'empressa de plaquer sa main sur sa bouche, lui aussi surprit part son rire, celui que le cramin venait de lui prendre.
Tout aussi choqué, le roux regarda Katsuki avec des yeux ronds.
Avant qu'un sourire, devoilant ses dents pointues, ne fende son beau visage bazané part les rayons de soleil.

*

Les heures s'écoulaient et le jour déclina pour la nuit.
Après mangé, le blond et le roux quitta la brune pour se mettre au chaud dans leurs petite maison.
Laissant la magicienne, seule.
Bien trop longtemps qu'elle n'avait pas été seule.
Ce qui au début lui plût. Re-découvrir une vie seule.
Son autonomie, tout sa lui avait manquée.
Mais bien trop vite, la solitude la rattrapa et un sentiment étrange emprissona sa poitrine.
Elle partie se couchée rapidement encombré de sa nostalgie des premiers jours en compagnie du semis dragon.

Le roux, lui, était surexcité.
Sa propore maison.
Son indépendance, sa vie.
Il allait enfin être seul en compagnie de l'homme pour qui il avait flanché.
Même si la brune était de bonne compagnie, rien n'était comparable avec celle de l'être aimé.
Déjà agacé part cette bonne humeur trop envahissaite, le blondinet fit taire très vite le roux.
Il alla au lit en premier, épuisé part toute l'énergie consommé pour se réaliser un nid douillet.
Le rouquin rentra dans la chambre peu de temps après.
Torse nu, il se glissa dans le lit, et Katsuki, la seconde d'après, vient se caler contre la peau chaude.
Seul moment de la journée, ou le blond devenait tendre.
S'il était torse nu, c'était parce qu'il s'était rendu compte que le cendré était beaucoup plus calme et s'endormait plus vite, la bouille de Bakugo lui avait bien fait comprendre aussi sur les soirs il portait un haut, qu'il n'était pas content, le blond ne lui avait jamais dit, mais tout les signaux laissé à penser que le torse a nu était la meilleure solution.
Enlacé dans les bras du rouquin, le blond avait les yeux ouvert.
Il écoutait les battements de cœur rassurant du carmin.
Une main se logea dans ses cheveux, mais il n'en fit rien.
C'était le seul moment qu'il accordé à Eijiro d'être proche de lui, que se soit physiquement ou avec les sentiments.
Le rouquin s'endormit plus vite.
Et le blond se redressa.
La lune plienne tapait sur le visage du roux laissant la lumière bleutée miroiter sur les contours masculins.
Il detailla longuement ses traits, les parcourant de ses sanguines.
Il se rapprocha de se visage.
Et doucement, passa son doigt fin sur l'arrête du nez, avant de le descendre sur les lèvres, puis sur le menton et de continuer sa route le long de la gorge et de se posé sur le pectorau brûlant.
Il replanta son regard sur les lèvres, bougea encore et lentement déposa ses propres lèvres sur la joue du roux, avant de se placer une nouvelle fois, sa tête appuiée sur se corp qu'il aimait déjà tant.

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Hé oui, pas de dialogue pour se chapitre, sa arrive.

Merci d'avoir lu. <3

(Chapitre court, je sais.)

1006.

𝓛𝓮 𝓓𝓻𝓪𝓰𝓸𝓷 𝓔𝓽 𝓛𝓮 𝓟𝓻𝓲𝓷𝓬𝓮. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant