𝔗𝔯𝔢𝔫𝔱𝔢-𝔰𝔢𝔭𝔱𝔦𝔢𝔪𝔢 ℭ𝔥𝔞𝔭𝔦𝔱𝔯𝔢𝔰 (37)

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Une année encore est passée, et la belle saison refait son entrée.

Partis chassés, les deux amants se balade dans les forêts denses des pleines redevenus vertes.
En manque de nourriture, les derniers gibiers venaient d'être consommer part la petite troupe d'amis.
Kirishima c'était donc décidé d'aller chassé en compagnie du blond, pour d'une part faire une sortis rien que tout les deux, mais aussi pour lui apprendre à tiré à l'arc, ou à utilisé une lance.
Bien que l'ancien titulaire au trône royale, sache manié l'épée, il n'avait jamais été bon avec un arc et encore moin à tué les bêtes.
L'air de rien, Katsuki ne semblait pas sensible à l'abattage des animaux.
Mais bien au contraire, il ne supportait pas les voirs en souffrance.
Alors pour lui, tué, n'était pas dans ses plans.
Mais il avait suivit naïvement son rouquin.
Mains dans la mains, -Eijiro avait insisté-, il se promenait entre les arbres et buissons.
Plus ils s'enfoncaient entre les trons, plus le rouge était à l'affût.
Kirishima s'arrêta net, et plaqua son autre main sur la bouche du blond qui allait parlé.
Il lâcha les doigts entremêlés aux siens et arma une de ses flèches emprisonnées dans son carquois.
Il la déposa sur l'arc et sa vision de dragon releya sur celle de l'humain.
Ses yeux jaunes perçant le bois, vit nettement mieux la biche qui brouttait l'herbe.
Le blond d'églutis.
Il venait de comprendre que cette balade n'était que de masquage sur les véritables plans du rouquin.
Pendant sa réalisation du mensonge du roux, lui, tira sa flèche qui se planta dans le flan de l'animal.
Le rouquin ne perdit pas une seule seconde et s'élança à travers le feuillage pour sauté sur la viande qui serait plus tard consommé.
Dégoûté le blond n'avait pas suivit le rouge dans les bois et c'était contenté de s'arrêté le carmin l'avait laissé.

Le rouquin revient quelques instants plus tard, la biche sur les épaules.
Katsuki se demanda s'il n'allait pas vomir son petit déjeuner quand il vit le cou tombant de la bête et se regard vide de vie et de son âme.
Il se tourna et marcha en direction de la sortis.
Son estomac se resserrant et se retournant, le mot répugnant, tournée dans sa tête.
Le rouquin ne percuta pas pourquoi se changement de comportement soudain et avança à la suite de son homme sans se posé plus de questions.

Ils traversent les bois sans que Bakugo ne se retourne une seule fois.
Son déjeuner, menacé de s'étalé part terre s'il regardait encore une fois la bête morte.
Katsuki traça directement à l'intérieur de la maison dès qu'ils furent sortis de la forêt, et Eijiro alla à l'arrière de cette dernière pour s'occuper du gibier, ce qui constituait à lui enlever la peau, la tête, sabot, et à le dépeucé en plusieurs morceaux avant de le couvrir de sel et de le conserver dans un endroit froid et humide.
C'était un travail qui prenait quelques heures mais qui suffisait à nourrire les trois amis pendant une bonne semaine.
Uraraka rejoignit le rouge à l'extérieur pour venir l'aidé et récupérer quelques bout de viande avant de le couvrir de sel, pour leurs repas du soir.

Bakugo s'enferma dans la chambre, mais ses nausées le rattrapèrent et son déjeuné finit dans la salle de bain.
Les images de cette biche apeurée le dégoûté littéralement.
Il se promettait intérieurement de ne jamais tué un animal, quel que se soit la raison ou l'urgence.

Le soir, il refusa catégoriquement de touché à son repas.
Toujours avec certaines de ses mimiques de ses années en tant que Prince, qui continué de le précédé ici.
Et ce soir tout particulièrement.
Il fut punit, par Ochaco elle même au ramasse des vignes voisines.
Voilà une punition bien fâcheuse pour un ancien Prince.
Et il partit au lit sans même avoir goûté l'animal tué au matin.

Une nouvelle journée débuta sur le domaine, et comme dit la veille, le blondinet partie au vigne aidé le vieux marchant qui n'y arrivait plus trop avec ses années.
Ochaco avait pour habitude de venir l'aidé à la saison de la cueillette.
Mais cette fois-ci, en plus de Eijiro et de elle, Katsuki les accompagnèrent.
Non sans râler, pour la forme.

Arrivé sur les lieux, le vieux paysans ne se fait pas prié d'accepter leurs aident, et les trois amis se retrouve entre les vignes à remplir d'immenses paniés d'ossiers tissées à la main.
Les rayons de soleils frappant fort, Katsuki se retrouve rapidement en sueur.
De loin.
Le rouquin le regarde.
Ses joues séchauffent alors que le blond tire sur son haut, les gouttelettes, glissent lentement sur ses muscles.
Eijiro laisse tombé la grappe de raisin qu'il a dans ses mains alors que sa bouche s'entre ouvre.
Le blondinet reouvre ses yeux qu'il avait fermé le temps de s'ahéré un peu.
Ses sanguines s'accroche sur le regard qui est posé sur lui, et il croise celles identiques aux siennes qui l'épies depuis tout à l'heure.
Un rictus vient relever ses lèvres.
Il regarda le roux de loin, et pour le faire languir un peu plus, il vient enlever son haut laissant le soleil tapé directement sur son corps et redoublé la sueur sur ce dernier.
Le rouquin baisse inévitablement les yeux sur ce corps sculpté et une envie indéniable de le faire lui, maintenant, le secoue vivement.
Mais ses pensées sont vites écartées, quand l'objet de ses désirs disparaît de nouveau entre les vignes.
Il secoue sa tête et reprends ses esprits, en se promettant de prendre son homme dès que leur tâche furent finit.

Ce n'est que quand le soleil commence à se couché, que les trois compères prennent la décision de rentrés et de revenir le lendemain tôt le matin pour donné un coup de main au vieillard qui peiné à faire récoltes seul, dû son âge.
Sans héritiers à qui succéder son travail de toute sa vie, tous savaient pertinemment que sa ferme mourrirait avec lui.
Alors autant que puisse le faire les villageois, ils l'aideraient le plus possible.

Kirishima, respecta ce soir , la promesse qu'il c'était faite plus tôt dans les champs, quand au fait de se donné au beau cendré.
Bien que cette requête n'enuisent point le blond.
Oh non, bien au contraire, il était ravie de son petit tour de manège qui avait attiré son rouquin.
Il passèrent une nuit mouvementé et un réveil, au matin, plus compliqué.

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Bonjour bonsoir !
Je sais bien que se chapitre ne sert pas vraiment à l'avancement de l'histoire...
Mais, c'est qu'il ne reste plus que trois chapitres avant la fin, (malheureusement), et j'ai besoin de remplir encore deux chapitres sans compté celui-ci, car je voulais que la ff finissent sur le quarantième chapitres.
Veuillez m'en excuser.
Mais je pense avoir une ou deux idée plus atraillante pour les deux chapitres manquant !

Sur ceux, merci d'avoir lu et à mardi prochain !

1164.

𝓛𝓮 𝓓𝓻𝓪𝓰𝓸𝓷 𝓔𝓽 𝓛𝓮 𝓟𝓻𝓲𝓷𝓬𝓮. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant