𝓛𝓮 𝓓𝓻𝓪𝓰𝓸𝓷 𝓔𝓽 𝓛𝓮 𝓟𝓻𝓲𝓷𝓬𝓮.

𝔗𝔯𝔢𝔦𝔷𝔢𝔦𝔪𝔢 ℭ𝔥𝔞𝔭𝔦𝔱𝔯𝔢𝔰 (13)

Pov Kirishima

C'est ainsi que je me retrouve, comme il y a un mois sur le dos de la jument du Prince, mes bras autour de sa taille fininement tracées, mes doigts l'encerclant gentiment, la brise venant caresser nos visage.
Un sourire planté sur ma face, le cheval au galots et mon Prince de dos se laissant guider ou il veut part la lune qui nous regarde du haut du ciel.

Un soupir s'échappe de mes lèvres tandis que ma tête bascule en avant et que mon front s'appuie sur le dos du blond qui sursaute légèrement à se mouvement, un sourire se dessine à nouveau sur mes lèvres et je me permets de le serrer plus fort contre moi.

Une heure s'écoule avant que la course de la bête ne ralentisse pour se stopper pour de bon.

Je descend en premier, puis je tends ma main poliment vers le Prince pour qu'il s'en saisisse et s'aide.
Fronçant les sourcils, il pose ses yeux sur ma main puis sur mon visage déboussolé.
Mais part je ne sais quel miracle il s'en saisis, s'appuyant contre celle-ci ses doigts s'enlacent dans les miens et il pose pieds au sol, je le ramène contre moi en passant mon bras sur sa taille le refermant contre lui, je serre la poigne de ma main sur la sienne et la pression de la sienne augmente aussi, nos visage proche l'un de l'autre et nos pupilles sangs encrés l'une dans l'autre se noient pour échanger un profonds regard dont je ne saurais nommé l'intensité.

Ma respiration accélère tout comme les pulsations de mon cœur dans ma poitrine et tout deviens flou autour de nous, seul, nos de corps rapprocher l'un à l'autre, nos regards devenant de plus en plus significatifs, et nos souffles se mélangeant à l'autre parle pour nous.

Rien ni personne ne pourrait gâcher se moment, rien ne pourrait interrompre notre proximité, sauf le protagoniste de l'histoire qui n'est autre que lui. Et je sais pertinemment qui va briser cet échange de regards mais pas comme je le souhaite.

Cependant, ses sanguines restent planté dans les miennes et ses doigts desserre l'emprisse qu'ils exercer sur les miens, se qui me fait automatiquement exécuter le même mouvement.

Ses deux bras viennent se placer autour de mon cou, et j'en profite pour glisser mon seconds bras autour de sa fine taille pour l'emprisonné complètement.
Notre échange de regards ne devient que plus intense et cette envie irrésistible me frappe de plien fouet.

Mais... Comme je m'y attendais, Mon Prince, vient briser se moment en me prenant dans ses bras, je ne m'attendais pas à cet réaction.
Mais ce geste, veux dire tellement de choses, il exprime ce qu'il n'arrive pas a dire, et sachant pertinemment que se côté affectif de lui n'est que d'un temps très court et rare, je le serre aussi contre moi.
Je sens son souffle chaud de sa respiration régulière se poser sur ma peau me provoquant des frissons, et l'air se glisse dans le haut de ma chemise de mon dos venant lécher partiellement mes omoplates dans une douce brise chaude, je sens mes joues rougir et le mouvement de son visage, prêt de ma peau, m'indique qu'un sourire c'est formé sur les lèvres du blond.

Après plusieurs minutes à resté serrer l'un contre l'autre, le personnage royal se defait de notre douce étreinte à mon plus grand regret.
Il recule bien assez pour ne plus sentir mon corp contre le siens et je le vois trembloté de froids sans doute part la chaleur corporel produite part nos deux coprs maintenant éloigné l'un à l'autre.

Mes pupilles restent enivré part lui, ne me détachant pas de son visage, lui non plus n'ose pas fuir du regard.
Aucun de nous ne prendra la parole bien trop concentré à ce demander se qu'il est en train de se passer, bien trop occupé part l'autre.
Un sourire s'imprime sur mes lèvres et je m'allonge sur le sol, l'herbe est fraîche à cause de la baisse de température se qui n'arrange pas le froid qui circule sur mes habilles jusqu'à ma peau.
Le Blondinet s'assoit en face de moi sans s'allonger et m'obesve dans un long silence que personne ne brise.

Je prends une profonde respiration et je me redresse sur les coudes avant d'enfin venir déchirer la plainitude de la nuit.

Kirishima : Est ce que nous pouvons nous appeler part nos prénoms ?

Restant interdis un moment, il ne réponds rien.
Je suis conscient que je demande beaucoup de choses, mais se serait une bonne chose pour briser pour de bon la glace entre nous.
Toujours dans un silence des plus pessant, le blond souffle et ferme les yeux.
Décidé à me faire patienter, il prends son temps, ce qui me permet de détaillé encore une fois les traits de son visage.

Mais quand je vois un sourire se peindre sur son visage pourtant de marbe la plus part du temps, mes joues s'envenime d'un rouge profond, quand ses yeux s'ouvre et se pose sur mon visage toujours avec son sourire accroché aux lèvres, j'entre ouvre la bouche, abasourdi part la beauté que dégage cet homme, je ne peux m'empêcher de me dire que se sourire lui va à ravir et qu'il ne pourrais pas sciés à n'importe qui aussi bien que à lui.

Son sourire s'efface lentement et je ne perds pas une miettes de se spectacle bien trop court à mon goût, il reprends une légère inspiration et sa main vient passer longuement dans sa chevelure cendré, il soupire et en regardant au loin, les joues rosi part le froids, me répond dans un murmure qu'il me fait sourire de plus bel et rougir part la même occasion, mais contrairement à lui je ne cache pas que c'est lui qui me met dans cet état.

Reposant ses yeux sur moi et voyant le résultat de ses paroles, un autre sourire vient orné ses lèvres qui vient faire cogner mon cœur plus fort et me faire éprouver une sensation étrange dans mon ventre que je ne saurais expliquer avec des mots.
La phrase qu'il m'a dite résonne en boucle dans mon cerveau.

"J'attendais que tu me le demande, Eijiro."

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Voilà la fin d'un autre chapitre, l'histoire avance avec un rapprochement physique, et une évolution dans leur relation, faudra patienter avant qu'ils ne s'embrassent, je sais que c'est long, mais c'est ma décision, j'espère que vous serez patient !

Merci d'avoir lu !

1078.