𝔗𝔯𝔢𝔫𝔱𝔢-𝔢𝔱-𝔗𝔯𝔬𝔦𝔰𝔦𝔢𝔪𝔢 ℭ𝔥𝔞𝔭𝔦𝔱𝔯𝔢 (33)

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Éreinté part leurs voyage, arrivé au soir, les garçons se couchèrent tôt après un repas sommaire que la magicienne prépara à l'aide de sa magie.
Seulement, un problème se posa, il n'y avait qu'une couche pour deux, et le rouquin se demanda si le blond allait rouspété.
Mais quel ne fut son étonnement quand se dernier tomba sur le lit juste après être rentré dans la petite chambre sans se posé d'autre question.
Ouvrant un œil, il se tourna vers le rouquin.

Katsuki : Qu'attends-Tu ?

Kirishima : Hé bien.. J-je..-

Katsuki : J'ai horreur que tu te mette à bégayer, débarrasse toi de ton haut et vient.

Le blond n'en dit ni plus, ni moins et referma les yeux en se collant contre le mur pour laissé de la place au roux qui se dépêché d'enlever son haut et son bas pour en saisir un propre dans l'armoire.
Il se plaça sur le sommier tout proche du blond, et même si se dernier lui tourné le dos, Eijiro se sentit privilégié d'être autant proche de son Prince.
Il se rapprocha encore, et osa même passé un bras part dessus la taille du cendré et de le ramener contre lui en l'enlacant.
Il s'attendait à une réaction violente, mais seul les muscles tendu de Katsuki se fit ressentir.
En effet, le blond avait viré au rouge et c'était maintenant crispé à cause du geste.
Mais qu'est ce que fessait cet abrutis ...?
En tout cas, même s'il n'avait pas demandé la permission, le cendré fut bien content de l'initiative.
Il se détendit au fur et à mesure de l'étreinte et la respiration régulière du roux berça doucement le cendré qui finit part relaxé ses muscles et à s'endormir.

Le lendemain, quand le cendré ouvrit les yeux, il fut bien surprit de ne plus être dos au rouquin mais bien aux creux de ses bras, lover contre le torse massif du carmin.
Il ne leva pas les yeux sur la figure endormie et se colla un peu plus étroitement contre le rouquin.
Rassuré d'être dans ses bras, il ferma de nouveau les yeux sans pour autant se rendormir, mais pour juste apaisé son esprit qui en avait vu de toute les couleurs depuis une semaine.
Ce n'est que là qui pensa vraiment à ce qui lui arrivé.
Au faite que jamais il ne reverrait ses parents, qu'il ne remettrait plus les pieds dans un château, et qu'il allait très certainement vivre une vie simple de paysans et vivre au jour le jour.
En vérité, cette routine, (qui n'avait pas encore commencé), lui plaisait déjà.
Non pas le travail de la terre, mais le simple de fait de se levé le matin sans savoir ce que réserve la journée, ni même le lendemain.
Sans que aucune règle de la courtoisie ne sois à respecter.
Il allait enfin pourvoir vivre comme les enfants qu'il voyait gambadé dans la cours du Roi, alors que lui, se plié déjà aux règles de la vie de château.
Une vie libre, seul lui serait libre de son destin, sans personne qui n'est écris pour lui ses dix années avenir.

*

La bonne odeur de nourriture réveilla le grand rouquin de sa nuit, et c'est en se rendant compte que le blond n'était plus entre ses mains qui se leva paniqué du lit.
Ayant peur de n'avoir simplement rêvé sa péripétie et que son beau blond ne soit pas là.
Il déboula en vitesse les quelques marches en bois et quel ne fut pas sa surprise quand il vit le blond déjà entouré de tout ses amis !
Le premier à le remarqué ne fut autre que le petit bouclé qui avait une mine un peu boudeuse collé au joues, mais quand il vit le grand carmin il se précipita vers lui pour l'anlaçer chaleureusement.
Ravis d'être de nouveau en compagnie de ses meilleurs amis, il leurs fit à tous une étreinte amicale.
Après cela, il se dirigea vers son amie brune, et ce n'est que là que le visage boudeur du petit à tâche de rousseurs lui revient en mémoire.
Il comprenait maintenant sa bouille, parce que la magicienne enseigné déjà au cendré à faire à mangé en étant peut être un peu trop proche.
Surpris que le blond se laisse faire, le roux s'appuya non loin du blond pour voir s'il allait faire attention à sa présence.
Les rubis du blond se posèrent sur le carmin à l'instant il se posa, il n'eut pas le temps de le regarder que la blonde le fessait déjà.
Leurs sanguines se croisa, et innocemment le rouquin demanda;

Eijiro : Bien dormis Blasty ?

Le surnom lui valut un regard noir et un pouffement de la part de la brune, qui eut droit à son tour à un regard de tueur.
Il finit part les ignoré tout les deux en se penchant une nouvelle fois sur le peu que lui avait montré la magicienne.
Il se débrouillé plutôt bien pour une personne de la cours qui n'avait jamais mit les pieds dans une cuisine, avait t'elle dit la brunette.
Mais en vérité, Katsuki qui avait été élevé part des bonnes femmes de ménage avait été friand toute son enfance des travaux de ses dernières, notamment la cuisine.
Seulement, à ses quinze ans, il fut forcé d'arrêté de côtoyé les femmes qui l'avait fait grandir pour se concentré davantage sur la vie de château.
Alors, maintenant qui se retrouvait bien des années plus tard derrière une planche à découper et un couteau, ses années de cuisine semblait bien loin.
Mais visiblement, il restait quelques résidues de son apprentissage.
Alors il fessait du mieux qu'il pouvait malgré le bruit ambiant.
Eijiro répartit au près de ses amis, car le blond ne lui montrait aucun intérêt, trop concentré dans sa tache, et que ça ennuyer le carmin.

La brune profita qui soit de nouveau seuls pour entamé la discussion.

Uraraka : Si tu veux resté ici, tu devras m'aider avec les récoltes et la nourriture, je ne pourrais pas t'héberger si tu n'es pas productif.

Sans oscillé, le blond continua de découpé soigneusement les ingrédients en face de lui.

Bakugo : Les travaux manuels ne me font pas peur.

Uraraka : Bien, ravie de l'apprendre !

La brune lui sourit, mais c'était bien peine perdu, le blond ne l'a regardait même pas.
Tant pis, elle était contente d'avoir eu un échange avec le Prince de son royaume et d'avoir une réponse satisfaisante.
Mais pour l'heure elle essaya de ne plus y penser et de se concentrer sur le repas qu'elle allait partagée en compagnie de tout ses amis, qu'elle considéré plus comme une grande famille.

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Et voilà un autre chapitre de bouclé !
On entre sur une air tranquille sans grabuge pour finir l'histoire tout en douceur.

Merci d'avoir lu.

1129.

𝓛𝓮 𝓓𝓻𝓪𝓰𝓸𝓷 𝓔𝓽 𝓛𝓮 𝓟𝓻𝓲𝓷𝓬𝓮. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant