𝔔𝔲𝔦𝔫𝔷𝔦𝔢𝔪𝔢 ℭ𝔥𝔞𝔭𝔦𝔱𝔯𝔢𝔰 (15)

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Pov Kirishima

La semaine est passée et je reprends enfin conscience, je suis dans une clairière allongé en boule sur le sol, mes ailes contre moi à demi humain.
Je suis nu comme un ver et la lumière du jours agresse un peu mes pupilles sûrement encore sous leurs formes de dragon.
Je me met en position assise et j'examine les lieux, dans une heure deux mes cornes, ma queue et mes ailes reprendront leur position pour me laisser avoir un corps complètement humain.

Mais avant ça, je doit me repérer et trouver j'ai laissé ma sacoche.

Je me rallonge en boule cachant mes yeux, la lumière trop agressive m'empêche de voir comme il faut.

Je pense que je me suis assoupie, car quand j'ouvre de nouveau les yeux, le ciel se teintes de rose et de orange, signe que le soleil a terminé sa longue course de la journée et il commence à se baissé pour laissé place à la lune.

Je me met debout avec quelques difficultés et je laisse mes ailes autour de mon corp me retrouvant gêné d'être nu depuis je suis sous apparence humaine.

Je finis part retrouver la sacoche et un sourire se dessine sur mes lèvres.
Je rentre mes ailes et ma queue et j'enfile rapidement mes vêtements, je me sens desuite plus à l'aise et je sort de la clairière, me retrouvant dans la forêt je n'ai aucun mal à retrouver mon chemin, puis je vois au loin le château.

Kirishima : Bon... je me suis pas autant éloigné que se que je l'aurais cru...

Je commence à marcher en direction de celui-ci, en espérant que Katsuki vas bien, qu'il ne sait pas trop vexé du fait que je lui ai pas parlé de mon secret...
Je souffle doucement et je marche sans m'arrêter.

Quand j'arrive devant les portes le soleil commence à percer le ciel, et je m'arrêter à une centaine de mètres, il fait jour mais pas assez pour que les portes ne me soit ouvertes, je pourrai faire le tour, mais je dois assumer mes actes, je m'arrête à un arbre ou je me laisse tomber pour que mes fesses touche le sol, je commence à me reposer un peu. Et je ferme les yeux.

Ce qui me révielle c'est le soleil tapant de plien fouet dans le ciel.
J'ouvre les yeux et je viens faire de l'ombre sur mes sanguines en cachant le soleil ardents de ma paume.
Je me lève et secoue un peu mes habilles que je replace comme il faut, puis je m'avance vers les portes.

Étant ouvertes pour le marchandage, je n'ai aucune difficulté à m'infiltré dans la cours, mais les regards insistant et les messes bases quand je passe me stress, je ne comprends pas bien, et au bout de cinq minutes à circuler dans la grande cours une ordre de gardes m'encercle, et ce n'est que la que je comprend que je suis cramé.

Le Roi et La Reine sont rapidement convier dans la cours et leurs regards me font face, je déglutis et cherche des yeux cet touffe blonde si particulière à mes yeux mais je ne le trouve pas, je mords mes lèvres, et ma sentence s'abat devant tout le monde : l'exil.

Je proclame une dernière volonté, juste une, je me met a genoux devant eux les suppliant. Puis enfin, ma proposition est acceptée.

Je suis accompagné part des chevaliers devant ses appartements, je porte deux coups de poings sur le bois et la porte s'ouvre quelques secondes après.
Le blond m'ouvre et il semble ne pas comprendre ahuris, je lui saute dessus nous fessant tombé à la renverse, je le serre contre moi comme si que ma vie en dépendé.
Quand je sens ses bras se fermer sur moi, je me sens desuite rassuré, et je souffle doucement.

Kirishima : Je suis désolé Katsuki.

Katsuki : Ne parle pas, je vais te tué si tu l'ouvre... je sens ses doigts se serrer sur mon haut et je me relève quelques minutes après pour le regarder dans les yeux, les larmes me montent mais j'en fais abstraction, et je laisse mes sanguines se planter dans les siennes, je souris et je rougis quand je vois sur son visage également ses bouts de chairs s'étirer dans un tendre sourire.

Katsuki : Tu m'as manqué espèce d'endouille...

Je souris de plus bel, et je mords mes lèvres en baissant mes rubis sur les siennes.
C'est le moment jamais, je ne pense pas le revoir alors je veux partir sans aucun regret.
Je pose ma main sur sa joue pour sentir sa peau, qui comme je l'imaginais et d'une douceur sans pareil, je la fais parcourir ses cheveux avant de la reposer sur sa joue puis, je me penche légèrement et j'encre mes yeux dans les siens longuement, avant de glisser mon pouce sur ses lèvres.

Il paraît surpris mais n'interomp pas mon geste me laissant faire, je me penche un peu plus vers lui, jusqu'à sentir son souffle sur mon visage, mes yeux ont quitté les siens pour se poser sur ses bouts rose en demis lune, et je sépare lentement l'écart entre nous, pour venir scellé nos lèvres entre elles, nous ne fermons pas les yeux pour autant et c'est lui qui esquisse le premier mouvement en mouvant ses lèvres contre les miennes.
Mes sanguines se plantent dans les siennes et le baiser grimpe en température car j'entre ouvre mes croissant et je viens chercher à caresser avec mon muscle roses ses lèvres, il comprend le message et me laisse l'accès à sa langue.
D'abord timide nous n'osons pas réellement, puis sa main vient se poser sur ma nuque et remonter légèrement dans mes cheveux pour accentuer notre échange se qui me pousse à y mettre plus d'intensité.
Nos muscles roses se cherche longuement jusqu'à ce que notre respiration se fasse trop courte pour continuer, je me retire haletant, le rouges profondément marquer sur mes joues.

Sa respiration est accélérer et aucun signe montre qu'il veut s'arrêter, une fois mon souffle repris je plonge une nouvelle fois contre ses lèvres, lui arrachant un seconds et dernier tendre baiser.
Je l'embrasse langoureusement avant de m'enlever pour de bon et de me redresser.

Je lui jete un dernier coups d'œil en prenant le temps d'imprimer son visage dans mon cerveau puis je quitte la pièce, le laissant seul, dans une incompréhension totale et sans aucune réponse à ses questions.
Je m'en veux d'avoir céder mais je ne pouvais pas partir sans avoir goûter au moin une fois à la douceur de ses lèvres.

Les gardes m'escorte jusqu'à la sortis et je finis part devoir quitter le château pour toujours sous les injures et exclamations de la cours.
Je prends mon envol après avoir été assez loin, et instinctivement je me rends vers le lieux j'ai été hébergé pendant de nombreuses années.

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Voilà le chapitre 15.
Ils s'embrassent mais pas dans les circonstances adéquation et je pense que leur retrouvaille ne se feront pas de sitôt.

Merci d'avoir lu !

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𝓛𝓮 𝓓𝓻𝓪𝓰𝓸𝓷 𝓔𝓽 𝓛𝓮 𝓟𝓻𝓲𝓷𝓬𝓮. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant