𝔙𝔦𝔫𝔤𝔱-𝔢𝔱-𝔡𝔢𝔲𝔵𝔦𝔢𝔪𝔢 ℭ𝔥𝔞𝔭𝔦𝔱𝔯𝔢𝔰 (22)

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Pov Kirishima

Quand le soleil commence à taper de sa chaleur dans le ciel, je me décide à rentrer dans la maisonnette je trouve Ochaco complètement affolée et morte d'inquiétude.
Mes ailes sont contre mon corps pour le cacher de sa nudité.
Comprennant mon embarras, la brune me laisse allé m'habiller, chose que je fais sans me prier.
Une fois fait, j'hésite à descendre de nouveau, ne voulant en aucun cas faire face à Uraraka qui allait essayé de me consoler, mais je ne veux pas, se serais abusé de sa gentillesse et elle fait tellement de chose pour moi que je vais culpabilisé.
Donc je vais me guérir seul de cette maladie que les humains appellent "l'amour".
J'ai encore du mal à accepter mes sentiments envers le beau blond, mais compte tenue de la douleur dans ma poitrine quand je pense à lui à se mariage qui va se déroulé... Je me sens... vide, c'est ça, vide.
Comme si qu'aucune émotions ne vas palier à ma douleur et à son manque qui me bouffe un peu plus chaque jour.

Je souffle avant d'allé affronté mon destin.
Je descend les marches lentement mais je m'arrête dans l'escalier en entendant une voix masculine dans la maison, je tends l'oreille et la conversation parvient à moi, je déboule le reste de marches à une vitesse affligeante, les deux regards se posent sur moi.
Ochaco me souris tristement et la discussion entre les deux adultes prends fin, la porte fermé, la brunette en face de moi tripote ses doigts nerveusement pendant que je la questionne silencieusement.

Uraraka : Écoute Kirishima... Je pense pas que se soit une bonne idée pour toi d'y retourner...

Kirishima : Mais tout le royaume y est invité ! Pourquoi pas nous ?

Uraraka : Parce que tu te remet à peine de ce qui c'est passé...

Kirishima : Je... Je baisse les yeux un peu abattu, je mords mes lèvres hésitant sur mes mots et mes intentions, un espoir brûlant grandit dans ma poitrine depuis la visite de l'homme.

Kirishima : S'il te plaît Ochaco...

Uraraka : Tu sais que c'est pas une bonne idée ! Et si on te reconnais ? Tu feras quoi ?

Kirishima : J'en sais rien !

Uraraka : C'est insensé Eijiro.

Kirishima : Je veux le revoir ! Au moin une dernière fois...

Uraraka : Lâche l'affaire, j'ai dis non.

Kirishima : Tu pourras pas m'empêcher de partir.

Uraraka : Tu en es sur ? Tu sais pas de quoi je suis capable, me sous-estime pas.

Je fronce les sourcis la trouvant un peu trop sur la défensive, elle a l'air irritée, voir même blessée...

Kirishima : Si j'y vais pas je le reverrais peut-être jamais...

Uraraka : C'est mieux ainsi.

Kirishima : Mais- me coupant la parole, la colère se lis sur son visage.

Uraraka : Tu vas mettre tout nos effort à néan si tu fais ça Kirishima ! Et tu le sais ! Dès que tes yeux se poseront sur lui, tu vas chuté, tu vas l'aimer encore plus en sentant ton cœur battre plus fort, l'espoir va revenir et quand tu seras de nouveau arracher a lui contre ta volonté tout vas s'effondrer encore une fois, et les efforts de Iida, Shoto, Izuku et... les miens ne seront plus que poussière...

Sa voix devient meurtris à mesure que ses paroles se succédent.
Je ne sais quoi répondre et mon corps réagit le premier, je m'avance vers elle et je la prends dans mes bras la serrant contre mon torse, ses mains frêles se posent autour de moi et son visage s'enfonce contre mon épaule, je ferme les yeux et je réfléchis, mais rien ne me vient, rien qui ne conviendrais au deux camps.
Notre étreinte prends fin et je baisse le regard sur le plancher en bois.

Uraraka : Je veux plus te voir dans l'état dans lequel tu était, sa fait bien trop mal de te voir comme ça...

Kirishima : Mmh...

Uraraka : Joue pas la victime s'il te plaît, je t'interdis pas d'aller le voir pour te faire souffrir.

Kirishima : Je sais, c'est pour mon bien.

Uraraka : Exactement...

Kirishima : Excuse moi de te causer du tort.

Uraraka : C'est rien. Tu devrais allé te reposer.
Comme une mère prenant soin de son enfant, elle replace une mèche de mes cheveux qui c'est déposer sur mon visage pour venir la glisser derrière mon orielle, un regard attendri accroché à ses pupilles, je la quitte pour aller me réfugiés sur mon lit et réfléchir de longues heures sur la suite des événements, plus j'y pense plus mon illusion paraît loin.
L'homme venut dans la maison de Ochaco ramenait les invitations au mariage... J'ai tellement cru qu'elle me laisserait y aller...
Il le faut, je dois le voir, le toucher et savoir qu'il ne m'a pas oublier, qu'il pense jour et nuit à moi, que je lui manque comme personne, que son sommeil est écourté parce que je ne lui ait pas tenue compagnie.
Que ses journées deviennent insupportable à cause d'un ennuie meurtrier, qu'il ne peut s'empêcher de se rappeler de chaque moment passer ensemble quand il marche dans les coins du palais où un souvenir c'est créé avec moi.
Que tout se qu'il voit, touche ou sens lui rappele ma constante absence, qu'il ne sait plus quoi faire pour me retrouver.
Que penser à moi devient une lente torture et un besoin irrationnel.
Je veux être devenue une addiction comme il en est devenu une pour moi.
Je veux être certain de ne pas être tombé dans l'oublie et que se mariage est organisé part La Reine et Le Roi.
De ne pas m'être fait lamentablement remplacer ou jeter comme un vulgaire objet.
Même si je suis convaincu que son esprit et que son cœur ne m'appartien déjà plus, je continue d'avoir cet espoirs et mes pensées tournant autour de lui, encore et encore.

Puis soudain, une lumière s'éclaire dans mon cerveau tournant déjà à plien régime depuis des heures pour chercher des solutions. Quelque chose c'est comme éveillé et je sais ce que je vais faire.
Je dois le faire et c'est comme sa que ça ce passera, avec l'accord de mon amie ou non, je le ferai et j'y arriverais.
Encore beaucoup de choses doit être misent en place, mais la base est la et un sourire triomphant se peint sur mes lèvres.

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J'espère arriver à faire durer encore plusieurs chapitre leur éloignement même s'il me tarde de les faire se retrouver.

J'espère que ça vous a plût !
Je suis à l'heure !

Merci d'avoir lu.

1066.

𝓛𝓮 𝓓𝓻𝓪𝓰𝓸𝓷 𝓔𝓽 𝓛𝓮 𝓟𝓻𝓲𝓷𝓬𝓮. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant