𝔇𝔬𝔲𝔵𝔦𝔢𝔪𝔢 ℭ𝔥𝔞𝔭𝔦𝔱𝔯𝔢𝔰 (12)

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Un mois entier c'est écoulé depuis la balade à cheval du Prince et du semi humain.
Habitué maintenant l'un à l'autre, le jeune hérité Bakugo, s'était avéré de moin en moin coopératif avec le garçon à la chevelure de feu, car ayant appris le plan de ses parents il avait décidé de se dresser contre eux jusqu'au bout, même s'il avait appris à toléré la présence du rouquin, il ne céderai pas devant le Roi et la Reine qui avait des plans pour lui bien trop pénible à son goût.

Le roux ne comprenant pas pourquoi le blond réagissait ainsi avec lui, avait finis part abandonné de le coller toutes la journée et il se contentait de participer au repas avec lui et de quitter la table une fois son assiette finis, sans un mot ni sourire espérant que ça pèse sur le morale du blond.
Mais sa ne fonctionnait absolument pas. Tout ce que le rouquin mettait en œuvre ne fessait même pas réagir le blondinet qui rester de marbre même si les agissement de se dernier lui fessait un léger pincement au cœur, qu'il n'avouerais jamais à cause de sa fierté et de son ego sur dimensionné.

Mais cette fois ci, ce soir la, Eijiro en eux tu marre et il tapa durement son poing sur la table se qui fit sursauté l'héritier du trône.

Kirishima : J'en ai marre ! Qu'est ce qu'il vous arrive ?! Vous êtes encore plus froid, plus distant et plus arrogant que vous ne l'avait jamais été !

Le cendré se contenta d'élever un sourcil étonné que le roux réagisse de cette manière après autant de temps.
Il ne répond rien et continue son repas dans le plus grand des calme, laissant le rouge s'offusquer et s'énerver dans son coin.

Le roux t'empesta et vida son sac au blond, l'autre, le regardais sans sourciller ni même ne semblait perturbé.

Prince Bakugo : Finit ?

Pov Kirishima

Je le regarde se lever après sa première réponse qu'il osa me donné, et il tourna les talons en direction de la sortis, je me lève dans un bruit de fracas fessant glisser la chaise sur le sol, mon sang bouille dans mes viennes, et je ferme la porte voilement en le plaquant contre elle, je prends un ton menaçant et ma peau se durcit d'elle même légèrement à cause de la colère qui affluve en moi.

Kirishima : Explique toi.

Prince Bakugo : En quel honneur dois-je faire ça ?

Kirishima : C'est pas à moi que tu dois en vouloir ! J'ai rien fais ! Mais tu me rejette toutes tes crises de colère et tes enfantillages d'enfants Rois ! J'ai rien demandé, je veux juste être ton amis !

Le blond semble réfléchir et il se met à soupirer, il me repousse en posant ses mains sur mes épaules et ouvre la porte en me sommant de le suivre, chose que je fais, bien évidemment.
Arriver devant la porte de sa chambre, il l'ouvre et je pénètre dans la pièce les secondes le suivant.

Il marche jusqu'à ce petit canapé sur lequel il c'est assis un mois au paravent lors de notre balade. Il fronce les sourcils puis finis part détaché ses pupilles des miennes alors que nous nous regardions depuis plusieurs minutes.

Je commence alors à comprendre pourquoi son regard devient fuyant, pourquoi ses lèvres tremblent telles légèrement, pourquoi ses joues s'enveniment-elle d'un léger rose et pourquoi joue t'il comme nerveux avec ses mains.

Il a quelques chose à me demandé, mais pour sa, le Prince doit mettre sa fierté de côté, ce qui lui requiert beaucoup.
Je ne suis pas pressé et je le regarde intensément alors qui babulte péniblement quelques syllabes sans qu'elles n'aient réellement de sens.
Je rigole et une tape s'abat sur mon épaule, je fais mine d'avoir mal pour le faire réagir, mais comme seule réponse un regard noir m'ai adressé, j'attends patient qu'il se décide enfin à me révéler ses tourment.

Même si je ne suis en aucun cas pressé et que l'invitation du blond est inédite, je souffle mon mécontentement de devoir patienter aussi longuement.
Il le remarque et lève les yeux au ciel comment ayant compris que je me moque de lui.
Je souris de toutes mes dents et je pose mes yeux sur son visage.

Kirishima : Vous savez... tu sais, j'ai bien compris que tu avais quelques chose à me dire, mais tu n'en aïs pas obligé si tu n'y arrive pas, je-

La main du Prince se plaque sur ma bouche pour me faire taire, je souris entre sa paume et je le regarde dans les yeux me soumettant à son silence.

Prince Bakugo : j'aurais aimé savoir, si une balade à cheval te plairais..

Sa main s'enlève de sur ma bouche pour me laisser prendre la parole.

Kirishima : Attendez, messieurs Le Prince Bakugo, m'invite à une sortis ? Moi ?

Je prends un ton étonné en exagérant mes mouvements et paroles, se qui visiblement l'énerve rapidement, une puis deux menaces s'écoulent de ses lèvres et je souris comme un imbécile heureux avant de lui répondre.

Kirishima : Je serais honoré de faire cette sortis avec vous, Mon Prince...

J'ai posé ma main sur la sienne un sourire un coin et mes yeux plongeant dans les siens, je ne sais pas pourquoi j'ai fais se mouvements, mais je l'ai fais, et visiblement le blond paraît déstabiliser, notamment part la tournure de ma phrase dite avec cette voix que j'ai pris sur un ton un peu faible et plus grave volontairement.

Et il détourne les yeux et retire sa main précipitamment avant de se lever d'un coup et d'éviter consciemment de tourner sa tête vers moi.
Je souris et attends qu'il parle, chose qu'il fait quelques secondes après.

Prince Bakugo : Allons y, alors...

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On avance lentement mais très lentement dans leur relation, je suis désolé si ça paraît ennuyeux à lire, mais c'est la première fois que j'écris de cet manière et que je veux vraiment développer leur relation...

Merci d'avoir lu !

994.

𝓛𝓮 𝓓𝓻𝓪𝓰𝓸𝓷 𝓔𝓽 𝓛𝓮 𝓟𝓻𝓲𝓷𝓬𝓮. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant