Je me retrouve en deux trois mouvements dans les bras d'Atlas et je remet en place la veste de Noha.
- C'est bon, maintenant j'ai besoin de partir d'ici, lui dis-je.
Il passe son bras droit autour de mon cou et pose sa main à plat sur ma veste fin celle de Noha. Et puis préviens Noha que nous partons.
- Attends mais tu es l'hôte de la soirée, lui fait remarquer son cousin.
- Ouais tu peux pas partir comme ça, ajoutais- je.
- Tu es mon bras droit Noha, lui répond Atlas en tapotant son épaule, tu es maintenant l'hôte de ce gala moi j'ai une urgence.
- Je veux un virement de cinquante k demain matin sur mon compte, lui dit Noha avant de disparaître.
- C'est ce qui me rentre dans les poches en une heure.
Une réponse cliché.
Et nous nous dirigeons vers sa voiture. Atlas m'écrabouille, mais vraiment.
- Si j'étais une patate bouillie je serai déjà écrabouillé, lui dis-je.
- Alors remercie les cieux de ne pas en être une.
Il m'ouvre la portière de sa voiture, après s'être bien assuré que j'étais bien installé, il contourne sa voiture pour s'installer à sa place et démarrer.
- Les vieux ne vont pas apprécier que tu les lâches comme ça, lui fis je remarquer.
- Je t'ai utilisé comme excuse pour fuir les vieux en question qui cherche à me marier avec leurs filles ou bien passer des marchés non rentable avec eux, me répond Atlas en détachant son regard de la route.
- Et moi qui pensais que tu venais me secourir, et faire en sorte que les autres hommes ne voient pas ma poitrine, dis-je en pleurant.
Ou plutôt imitant une personne qui pleure, Atlas tourne sa tête vers moi avec un petit sourire et attrape mon visage avec sa main droite.
- Mais mon cœur tu te poste en maillot de bain sur internet ça revient à la même, me répond Atlas.
Bon il gagne un point.
J'enlève alors ma ceinture et laisse le buste de ma robe tomber. La voiture sonne et Atlas aperçoit ce que je suis en train de faire.
- Qu'est ce tu branle ? Remets ta ceinture et surtout ton haut.
- Bah quoi ? Vu que de toute façon tout internet à vue ma poitrine j'attends qu'un radar nous flash pour faire profiter l'état.
- Amaya c'est pas rhabille toi, me demande Atlas en freinant.
- Non, répondis-je en lui envoyant un baiser.
Sa main vient heurter mes deux seins, et quand je pose mes yeux sur lui je vois qu'il rougit et la présence de sa main disparaît.
- Je suis désolé mais s'il te plait pour l'amour du ciel cache tes seins. Je t'ai peut être utilisé comme excuse mais c'est surtout pour que tu parte de ce maudit gala parce que les plus gros chiens présent la bas n'avait que des yeux pour toi et je veux pas qu'ils voient tes seins ! Et je veux encore moins que l'état les voient.
Je ne pu m'empêcher de ricaner, son débit de parole était si rapide et nerveux que c'en était drôle. Je me rhabille, ou plutôt cache ma poitrine avant de remettre ma ceinture et faire taire cette maudite voiture.
- Tu es jaloux ! Lui dis-je en touchant du bout du doigts son bras.
- Non juste protecteur, à ce que je sache les plus beaux joyaux du monde sont tous protéger et cacher de la vue du monde.
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Amaya
Romance" Car qui doivent se retrouver se retrouve " C'est de cette manière que Atlas Elizi a terminé sa lettre après avoir écrit, et glissé des mots doux en dessous de la porte d'Amaya Mancini son ex fiancé. Pendant 184 jours durant sa rééducation après un...