Chapitre 26 : La mort

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(Media Amaya.)

Atlas.

2 :34, San Francisco, chez Amaya.

Amaya est sortie avec son cousin en me laissant travailler depuis son bureau personnel, dans la maison ou tout à commencer. C'est dans cette maison ou on a vécu pour la première fois ensemble, elle ne m'avait pas laissé de repos, entre les douches, le piquant, mais bon je ne peux pas dire mieux pour moi. J'ai été le pire invité.

Je ne l'aimais pas à cette époque, ma haine avait commencer à grandir envers elle, c'était l'une des rares personnes à m'irriter de cette manière. Mais pour la première depuis un long moment, j'avais aimé une chose en elle, ses gouts. J'ai trouvé sa maison très belle, oui j'ai un vocabulaire d'enfant mais que voulais vous que je fasse on ne m'a pas appris à décrire une maison.

J'aime toujours ça chez elle, et encore plus maintenant vu qu'elle a décorer la maison dans laquelle on vit.

Toc, toc.

Mes yeux se détachent de mon ordinateur, pour tomber sur la porte. Elle s'ouvre petit à petit pour trouver une Amaya habiller comme s'il faisait trente degrés dehors. Je ne l'ai pas vu sortir, elle m'avait prévenue quand elle était encore en pyjama.

- T'e encore réveillé, je pensais que j'allais te retrouver au lit, me dit-elle.

- Moi je pensais que t'allais un peu plus te couvrir, si tu tombes malade tu te débrouilleras toute seule, retroquais je en fermant mon ordinateur.

Elle roule des yeux et s'assoit sur le divan en tissu qui se trouve dans son bureau.

- Ce genre de tenue sont ma marque de signature, quand on sortait avec les gars, elle regarde en ma direction, en insistant, c'était tout le temps l'été ou la plupart du temps c'était l'été. Bah je portais ce genre de tenue. Ducoup j'ai retrouvé mes anciens habits ici et j'ai décidé du porté.

- Tant que tu restes dans la voiture, et que personne ne t'a vue comme ça je m'en fou.

Amaya me lance un regard noir, je sais d'avance ce qu'elle va me dire.

- C'est moi qui décide quoi mettre ou pas.

Prévisible.

- Quand est ce que j'ai dit le contraire ? Je me levé, et met mes mains dans mes poches, juste que si les hommes te voient habiller comme ça, et en plus seule, vu qu'ici tout le monde sait que Léo est ton cousin. Je t'assure que leur pensé envers toi ne viennent pas d'en haut, mais d'en bas, de leur bite.

Une grimace se dessine sur son visage. Mais c'est la vérité.

- Je suis un homme, je sais de quoi je parle mon cœur.

Sa grimace s'accentue, mais cette fois elle ne reste pas silencieuse.

- Donc tu penses comme ça !

- Je pensais comme ça, maintenant j'ai toi, et tu es plus qu'une corp.

Elle essaie de réprimander un sourire, et moi ma gêne. Je sais que je ne devrais pas être gêné mais que je n'y peux rien.  Je ne suis pas dans les sentiments moi, je ne l'exprime pas.

Même si Amaya se débrouille mieux que moi, ça ne veut pas dire qu'elle n'a pas de mal avec ça aussi.

- Ouais bah t'as intérêt sinon je t'empoisonne, me menace ma petite amie.

Elle est conne ou quoi.

- Mon cœur je crois que tu as oublié que c'était mon domaine, avec les armes blanches.

AmayaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant