Chez le père d'Atlas, 11:30, Albanie, Tirana.
- Alors tu voulais me parler de quoi Atlas ? Me demande mon père assis de l'autre côté du bureau.
Je voulais m'occuper du cas de l'autre meuf d'hier, mais j'ai décidé de laisser ça dans les mains de mon père. Les filles ont prévu une journée assez agréable, un pic-nic dans un parc, sans surprise c'est l'idée d'Amaya.
Je ne voulais pas gâcher sa journée, leurs journées, et la mienne. Déjà que nôtre séjour a été gâché hier, dire que si il y aurai pas eux pour la première fois on aurai passer des vraies vacances ensemble. Aujourd'hui c'est nôtre dernier jour, je ne veux pas continuer sur cette lancée, surtout que c'est ma faute.
Je n'ai pas assez fait attention à elle, alors que je sais à quel point les gens de ma famille peuvent être dangereux.
Ma mère, une cousine, c'est qui le prochain à s'en prendre à elle juste parce qu'elle me rend heureux ?
- Amaya, dis-je sèchement.
- Quoi tu l'as encore quitté, Atlas, il prend une grande inspiration et se redresse encore plus , je ne t'ai jamais fait de remarque par rapport à vôtre façon de gérer votre relation. Mais je doute que cette fois ci cette petite revienne auprès de toi, on en a parler et je le sais bien mieux que toi, me dit mon père exaspéré.
- Hein quoi, je suis juste venue te demander de t'occuper d'une kurve qui a poussé Amaya dans le lac hier, dis je remplis d'incompréhension, c'est quoi cette foutue conversation ?! De quoi tu parles.
- On a attaqué Amaya ? Me demande mon père surpris.
- Tu sais papa c'est pas la première fois qu'on attaque Amaya, mais tu sais quoi c'est plus le sujet, c'est quoi cette conversation, répondis je à sa question sans y répondre.
Je veux une réponse pour moi. C'est moi qui en veux, qui veut des explications là, comment ça il a parlé d'Amaya de départ ou je ne sais quoi.
Mon père se lève, pour avoir plus de pouvoir sur moi, mais malheureusement pour lui je suis devenue plus grand que lui.
- C'est moi qui pose les questions ici, me dit-il.
- C'est moi qui pose les questions ici quand sa parle d'Amaya, répond moi, de quoi ta parler avec Amaya ? Avec ma femme, lui crachais je à la gueule.
Pendant un moment j'ai eu un instant de regret, pensant que mon père allait lever la main sur moi, mais loin de là. Je vois un sourire apparaître sur son visage pour disparaître au même moments quand il se rassoit.
- Quand j'ai revu Amaya avec toi la première depuis deux ans, je lui ai demander que si tu faisais de la merde. Parce que je suppose que tu as un grand cœur que le mien quand j'étais avec ta salope de mère. Mais tu es mon fils, et nous et les mots ça fait quatre. Je le sais, alors pour le bien de cette petite, parce que malgré tout cette Mancini est quelqu'un de très attachant. Je lui ai demandé de ne plus jamais revenir dans tes bras, ou bien j'allais pourrir vôtre relation, m'avoue mon père.
Mon père ne m'a jamais parlé de cette façon depuis des années, il ne m'a jamais comparé de cette façon à lui autant qu'une extension de lui, autant que le petit garçon qui porte ses gènes depuis si longtemps.
Je sais que c'est pas grand chose mais je ne peux pas m'empêcher de ressentir un petit de joie en moi. Il vient clairement de me mettre un couteau sous la gorge, et un sabre sous la gorge d'Amaya.
Non parce que ce sera plus dur pour elle de rester loin de moi, mais parce que j'ai l'habitude que mon père gâche mes relations avec les femmes. Amaya ne connaît pas cette face de mon père.
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Amaya
Romansa" Car qui doivent se retrouver se retrouve " C'est de cette manière que Atlas Elizi a terminé sa lettre après avoir écrit, et glissé des mots doux en dessous de la porte d'Amaya Mancini son ex fiancé. Pendant 184 jours durant sa rééducation après un...