Chapitre 18 : Le colier

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Atlas.

Une semaine plus tard.

Ça fait un long moment que je n'avais pas eu une semaine aussi mouvementée en Albanie. Le premier jour c'est passé normalement, plus ou moins. On a juste régler quelques affaires ici en Albanie, comme d'habitude.

Le deuxième jour, j'étais sur le terrain avec le gars, on a conclu des marchés avec des petits gangs. Et le soir on s'est détendue en allant à la fête foraine. On est tous y aller, Rita a laissé Aaron avec sa mère pour nous rejoindre. Je crois que ça fait partie d'un de mes meilleurs souvenirs que je me suis créé ici depuis mes dix-neuf ans.

L'insouciance fouettait l'atmosphère, la bonne humeur des filles a égayé la soirée. J'aurais aimé qu'avec Amaya on ait fait les attractions à deux, comme l'ont fait Sam et Alex, Léon et Huda, ou bien Laura avec son mari.

Mais vu que Rita était là, et sans Léo je suis passé en deuxième, en soit même s'il y aurait eu Léo, ces deux là sont en couple et Léo et moi on tient la chandelle.

Les parents responsables sont rentrés chez eux, et Rita est revenue avec nous au manoir.

Pourquoi ? Non pas parce que Rita est une mauvaise mère . Mais pour que moins d'une demi-heure plus tard elle et Amaya soit redescendu peu habiller. Bien coiffé, bien maquiller, pour aller en boite à deux heures du matin. Des fois j'oublie qu'en Europe les boîtes ne ferment pas aussi tôt qu'aux Etats Unis puis qu'elle reste ouverte jusqu'au lever du soleil.

Sans même hésiter, les européens du groupe ont accepté, et le brésilien aussi. En temps normal j'y serai pas aller, mais vu comment ma copine était habillé, j'étais obligée d'y aller. Copine qui arriver en boite, en moins d'une heure elle s'était échappée de notre carré elle, et ses acolytes. Caz, Rita et Noha, qui dès qu'ils ont entendue de la funk brésilienne la pudeur à quitter leur corps, avec l'aide de l'alcool.

Félix et moi nous sommes les personnes chargées de conduire, alors on avait pas bu, et depuis nôtre place à nous qui se trouvait au sorte de balcon qui donne vu d' en bas on voyait nos cousins ne pas se mettre de limite.

Je voyais Rita sur la barre de pole dance, en compagnie de sa meilleure amie. Amaya qui bougeait tout son corps au rythme de la musique. Ces deux femmes ont fait de l' ombre aux danseuses qui sont payer pour ça. En parlant de ça, Caz limite baisait avec une des danseuses devant tout le monde, et Noha à dépenser au moins deux milles euros en boisson, et à du balancer sur les filles vingt mille cash pour le fun.

Au début, je me suis retenue de faire quelque chose, malgré le regard d'Amaya, qui était plus que provocateur, et les remarques de Félix qui est le démon à nôtre gauche en chair et en os.

Mais dès que Rita a essayé de se dénuder, Noha l'as stopper puis l'as descendu de la plateforme.

Et Amaya déjà qu'elle n'était pas très vêtue. Un homme est monté à son niveaux et a commencé à la toucher. Dès que sa main a touché sa robe, les lacets qui se trouvaient dans son dos. Une balle a atterri dans son épaule ce qui le fait regretter son geste, il avait arrêter tous mouvements. Le bruit de la détonation a était couvert par la musique. J'ai demandé à Félix de lui tirer dessus, et je suis descendu aller chercher ma copine.

Amaya qui était si sereine, son teint hâlé est devenu pâle, et dès qu'elle m'a vu. Elle est descendue de cette plate forme, pour venir se nicher dans mes bras. Du sang avait gicler sur son oreille, après avoir nettoyer d'un geste bref ce sang répugnant, j'ai couvert son corps par ma veste en jean. 

Et si personne ne l'avait vu ? 

C'est la question que je me suis poser quand elle s'est retrouvé auprés de moi. Cette pensé intrusive c'est envolé quand Rita a vomis sur Noha. C'est sur un vomis ça qu'on est partie de cette boite, j'ai ramené à la maison Noha, Rita et Amaya laissant Caz avec Félix. Felix qui a terminé son boulot.

AmayaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant