la dernière lothbrok

chapitre 2 freya

La tête en coton, le goût trop familier du sang dans la bouche. La vue trouble par les larmes provoquées par la douleur que mon corps subit. Trainer par les cheveux par la reine, elle me lache dans la grande salle. Des bruits de lame qui s'entrechoquent faiblement me parvint au oreille.
- ils vont pas tarder à franchir les portes du palais. Fit la voix du roi.
Je tente de me relevais alors que tout mon corps hurle de souffrance.
- ils viennent pour elle. Fit la reine, avant de sentir un coup dans le ventre. Sa me coup la respiration. Le visage contre la pierre froide du sol, recroquevillé sur moi. Les mains sur mon ventre tente d'oublier la douleur, sa ne durera plus très longtemps. Je vais mourir, enfin, Odin j'espère que tu a une place pour moi au valhala.
- ils sont entrés! Fit la voix d'un soldat avant que les portes de la salle du trône se referme. Je ne comprends pas ce qui se passe et je ne veux plus comprendre. Je suis relevé de force plaqué contre un torse une lame sur ma gorge.
- ils viennent pour toi. Fit la voix cinglante du roi à mon oreille.
Des bruits de coup se font entendre contre la porte. Qui deviennes de plus en plus fort. Les gongs comme a se disloquer du mur et la poutre centrale se fissurent. Le roi me sert un peux contre lui, la lame appuyé un peux plus fort contre ma gorge.
Elle finit par s'ouvrir avec fracas. Les yeux fermés attendent mon exécution. Les bruits des lames se stoppe net au cries du roi qui a dit un nom que je ne pensais plus jamais entendre, en me forcent a me lever alors que je tiens à peine debout. J'ouvre les yeux pour croiser le regard bleu brouillé, d'un homme que jai du mal à voir. Je sens le roi prendre une grande inspiration au creux de mon cou.
- tu sais pas depuis combien de temps, j'attendais se moment, Ragnar. De pouvoir te l'enlever définitivement sous tes yeux, ta précieuse fille.
Je sens sa lame piquer mon cou mais il fut surpris par un choque, qui le fait me lâcher. Je suis rattrapé de justesse par l'homme qui me fait face. Je sens une main passer sur ma joue.
- Fre...fit une voix avant de sentir un baisé sur mon front. Je n'est qu'une envie c'est de dormir mais je sens deux mains saisir mon bras droit, pour le placer sur les épaules d'une personne, pour que je me lève se qui me fait grimacer. Je sens un bras se poser autour de ma taille. J'avais pas réalisé que j'avais fermé les yeux, je les réouvre aussi sec, bien que ma vue soit trouble. Je commence à marcher pas sens peine, mes jambes me font souffrir.
- je te tiens ne t'en fais pas. Me dit la voix qui se trouve à ma droite.
Une voix masculine rassurante, j'ignore pourquoi.
Une douleurs foudroyante dans ma jambe droite, me fait pousser un crie strident en perdant l'équilibre. Mon bras gauche fût placé sur les épaules d'une autre personne. Je ne touche presque plus le sol. On me fait sortir de la grande salle, ne tenant plus j'ai finis par sombre...

Je suis sur un nuage cotonneux, dans un calme limpide. Je me sens bien, c'est sa la mort? Je prend une grande inspiration qui me provoque une douleur au niveau des cotes. Une pression se fait sentir près de moi alors que je sens un tissu humide passé sur mon visage.
J'ouvre les yeux difficilement pour croiser le regard bleu brouiller d'une femme. Sa main passe dans mes cheveux, alors qu'elle semble me sourire. Je regarde  autour de moi pour identifier l'endroit où je me trouve.
Des murs blanc, gris quelque meuble sommaire. Je compris que je suis dans une chambre du palais. Nan! Pas encore. Je me recule le plus possible de la femme qui ces lever immédiatement, pour me retenir, mais lui échappe facilement.
- Frey....commence t'elle alors que je tombe du lit.
Le choc me provoque une douleur lancinant dans tout le dos.  Je me relève assez vite peux importe les douleurs. Je m'aide du mur pour m'éloigner d'elle qui tente de s'approcher encore une fois. La porte est trop loin de moi mais proche d'elle. Une blonde brouillé dans une sortz de tenue marron comme les servante. Mon regard se pose sur la fenêtre ouverte. Je m'en approche puis commence à monter, au moment où la porte s'ouvre et que je sens des bras encerclés ma taille puis me tirer en arrière, pour me trouver le dos collé contre un torse. Je me débat de toute mes forces, les larmes au yeux, alors que cette personne tente de me tenir contre lui.
- FREYA! Calme toi! Fit la voix forte de l'homme qui me sert dans ces bras, ce qui n'a aucun effet.
- freya! róaðu þig!*
Ce ton autoritaire et cette langue employée qui eu un effet sur moi, me fait stopper net.
Ma langue! Celle de ma famille. Celle de chez-moi. Le norroi. Il dessert un peux sa prise sur moi. Des bruits de léger sanglots qu'on essaie de cacher se fait entendre. Je sens une main me caresser la joue, de façon presque paternelle.
- það er gott! Þorvis, ég er á því.*
. Fit l'homme qui me tient en posant sa tête sur la mienne.
- Ég mun koma í veg fyrir*...commence t'elle d'une petite voix emplie de sanglots avant de sortir de la pièce.
- tu n'as plus rien à craindre, tu es en sécurité! Freya!  Me dit il toujours dans le vieux norroi, comprenant que j'y reagie bien
Je ne cherche pas à me défaire de sa prise. J'ai tellement rêvé de cette instant que même si ce n'est qu'une illusion provoquée par la douleur, je me laisse emporter, dans ces bras réconfortants. La porte s'ouvre avec fracas se qui me fait sursauter, puis se fermer plus doucement alors que l'homme qui me tient se tourne, quelque seconde puis reporte son attention sur moi. Une ombre se place devant moi ce qui me fait paniquer.
L'homme qui me tient contre lui me murmure que tout va bien. Je croise le regard bleu brouillé que jai vue dans la grande salle. J'arrive à identifier que ces un homme barbu et chauve avec une drôle de tenue que je n'arrive pas à bien voir.
- Freya ! Fit il doucement alors que je sens des doigt frôlé ma joue se qui me fait légèrement bouger, pourtant j'ai le sentiment de le connaitre. Je l'entends soupirer, comme si sa le contrariée. Je me redresse légèrement en tendant ma main vers se qui me semble être son visage. Je le frôle du bout des doigts. Les joue bouffer par la barbe, se nez familier, je remonte jusqu'à ces yeux mais il attrape mes mains après un petit rire. Je connais ce rire ces celui de mon père.
- tu ne voix pas! D'où ta tentative de fuite, tu a reconnu le lieux mais tu ne voix pas qui se trouve devant toi? N'est-ce pas Freya? Me demande t'il en caressant le dos de mes main avec ces pouces, dans cette langue qui m'a tant manqué.
- je distingue des formes brouillé et des couleurs, c'est tout. Dis-je, d'une petite voix.
Je  sens un baisé sur ma tempe droite. Je me tourne en faisant lâcher les main de l'homme et le pose sur le visage de celui qui me tient. Une barbe de trois jours, un petit sourire au lèvres, le nez presque identique que celui de papa mais plus fin. Je frôle ces paupières puis passe sur ces tempe chauve. En revanche je sens le début d'une tresse sur le haut de la tête. Je fronce les sourcils.
- Bjorn! Fit il, en attrapant mes mains à sont tour.
- bjorn! Jai connue un bjorn! Il m'avait offerts un cavalier fait en bois. Dis-je perdu dans mes pensées.
- c'était moi.
- il faisait partie de mes grand frère.
Je sens de douce carresse sur l'arrière de mes main. Une main passe sur mes cheveux puis des bruits de pas se font entendre comme une personne s'éloigne, la porte se ferme sans claquer cette fois.
- bien! Si tu allais dans le lit, tu as besoin de te reposer. Me dit bjorn.
Je pose mes mains sur ces épaules, pour tenter de me lever mais je suis allée trop vite et mes jambes, me font vraiment mal.  Je sens un bras passer sous mes jambes. Je passe mes bras autour de son cou, tendit qu'il me soulève du sol pour ensuite m'emmener sur le lit. Je retire mes mains de son cou. Il replace les couvertures sur mon corps.  Je me laisse glisser la tête sur l'oreille. Qu'elle doux rêve! Jai peur de fermer les yeux, mais la lutte est veines...

Voilà un autre chapitre pour vous donner envie de continuer ou découvrir l'histoire. Bonne lecture à tous.

Pour le vieux norroi je me suis basé sur l'islandais qui est très proche de cette langue.

* "róaðu þig" = calme toi.

* "það er gott! Þorvis, ég er á því." = c'est bon! Thorvis, je m'en occupe.

* "Ég mun koma í veg fyrir." = je vais prévenir.