chapitre 26: freya

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Je suis dans du coton, bien au chaud mais le corps endolori. Je me réveille avec difficulté quand je sens un poids se jeter sur moi. Une main passe dans mes cheveux et la voix de mère qui tremblé, qui bredouille des mot que je n'arrive pas a comprendre. J'ouvre les yeux pour croiser le regard vert de mère.
- tu t'es réveiller! J'ai eux si peur.
- mmmèree! J'ai...je....soifffff! Dis-je la gorge sec.
- tien! Me dit elle.
Je me redresse un peux pour prend une gorgée d'eau puis me rallonge.
- comment tu te sens ?
- vide et pourtant mon corps est lourd !Nauséeuse et pourtant j'ai le ventre vide! Dis-je.
- je vais chercher ragnar. Fit mère en se levant. Je me redresse pour être assise sur le lit, pas sans difficulté. La douleur des mouvements et tenir la peaux sur mon corps nue. J'observe mon bras d'argent. Les lignes épouse parfaitement mon bras à croire que sa a toujours été ainsi. Je sers le point puis dessers, pour constatersue même si ces gênant le mouvement se fait. La porte de ma chambre s'ouvre à nouveau, mère et père entré dans la pièce, mais je ni prête pas attention, j'ai l'impression que quelque chose ces casser en moi. Je dirais même changer, vider de ma bonté pour laisser place une lueurs sombre.
- Freya! Ma chéri! Fit la voix de père en se posant près de moi. Ma main dans la sienne pour y déposer un baisé dessus; je suis tellement désolé! Ajoute t'il.
- quand est-ce que ça va s'arrêter?
- ils vont payer! Je te le promet? Me dit il, en replacent une mèche de mes cheveux.
- oui! Sans doute mais d'autre prendront le relais. Dis-je plaine d'amertume.
- dit moi combien il était?
- six plus Duvar.
- comment il était?
Je soupire en décrivent les hommes Un à un. Père m'écoute très sérieusement avant de me déposer un baiser sur le front puis sort de ma chambre, une femme apporte un bol fumant de nourriture, l'odeur bien alléchante me donner la nausée. Je me bouche le nez en luttant contre l'envie de vomir.
- merci! Mais si vous avez pas autre chose, à apporter? La femme hoche la tête et repart. Je reprend mon souffle avant de sortir de mon lit puis enfile une robe de laine.
- tu devrais te reposer. Fit mère.
- j'ai besoin de prendre l'air. En sortant de ma chambre où je peux voir le halle replié d'hommes.
Tous à me regarder. Je retourne en arrière pour passer par la porte arrière avant d'entendre la voix de père, qui m'appelle.
Je prend une bouffer d'air glacer. Je me faufile dans les petites rue pour me diriger vers le lac. Le froid me mord la peau. J'aurais dû prendre une cape de peaux. Je m'agemouille devant le lac gelée. Le calme de la forêt loin de toute cette agitation me fait du bien. Il était hors de question d'affronter tous ces hommes dans le halle du skali.
- se n'est pas prudent! Fit une voix d'hommes.
Je me retourne, pour voir le même homme du ravin appuyer contre un arbre, en train de taillé un morceau de bois.
- Uhtred! Je me trompe pas? Demandais-je.
- vous devriez être au skali protéger de se froid, protéger de ceux qui vous ont fait du mal? Dit il se posant près de moi.
- s'en doute! Mais j'étouffé.
- ce n'est par rendre service à votre amie qui a tenue bon, jusqu'au skali, pour qu'on vous sauve.
Je soupire.
- oh! On vous la pas dit pour votre ami ?
- effectivement! Je ne le savais pas! bien que je me doutais de sa mort.
- toute mes excuses.
Un silence s'installe entre nous. Pas un silence gênant, ni peusant mais reposant.
- vous étiez sérieux quand vous m'avez parlé de m'apprendre a me défendre?
- bien sûr, si vous accepter que nous fassions connaissance comme deux amis?
- sa peux se faire! T'en que vous n'attendais pas autre chose de moi!
- je vous assure! Freya ! Que bien votre beauté, vous avoir en amie me suffit. Fit il en se relevant de façon théâtrale, main sur le torse preuve de bonne fois.
- dans ce cas c'est d'accord.
- ceux-ci dit, il faudrait que vos blessures soient guerrie.
- mais vous allez repartir?
- dans deux jours mais je vous assure mon retour dès les premières lueurs de printemps, avec un maître d'armes et durant trois lune je m'assurer de faire de vous une grande guerrière.
- bien! Je vous prend au mot, mais si vous n'arrivez pas des le premier jours du printemps, notre accord sera rompus, et rien ne me fera changer d'avis.
Il fit un hochement de tête avant de me tendre la main.
Je l'attrape pour me relever puis pose ma main sur son bras. Nous nous mettons à marcher directions kattega.
- est-ce que l'on parle de moi dans les contrées? Demandais-je.
- Freya lothbrok, une peaux de porcelaine, des cheveux d'une blond pale. Un regard d'un bleu océan, que si nous la regardons dan les yeux, on peux si noyé. Une beauté froide et surnaturel, que même les dieux se retourne à son passage. Les hommes jaloux de pas avoir la possibilité de l'avoir on tenter de détruire cette beauté mais rien ni à fait.
- on dit vraiment sa de moi?
- j'ai résumé! Mais le retour de la princesse Freya et sa beauté à fait le tour des contré. Mon père espérer avoir le loisir de voir la belle Freya midgardienne égal de la déesse.
- je ne comprends pas, c'est dire! Dis-je.
- moi! Je l'ai comprend.
On arrive dans la ville, où les gens nous regarde, se qui me met mal allaise. On arrivent au skali ou il me fait passer devant pour que je rentre dans le halle. Mère me tombe dans les bras me demandant où j'ai bien pus passer habillée d'une simple robe.
- elle était vers le lac assise dans la neige! Fit Uhtred en entrant après moi.
Je pus voir un homme parler à mon père en messe basse. Au moin le grand halle et plus aussi remplie. Mère me pousse vers la table ou je me pose en face de l'homme entre Ubbe et ivar.
- la vue de votre beauté dépasse de loin la légende qui travers nos contré. Fit l'homme qui dépose un baisé sur ma main.
Je ne repond riens, souhaitant mettre fin à cette mascarade. On pose un plat devant moi qui fait tous sauf envie. Je n'avais pas remarqué que ces leurs du repas.
- j'espère avoir le loisir de m'entretenir avec vous?
- pardonner moi, mais je crains que je ne puisse pas répondre a cette requête!
- je peux le comprendre que dans l'immédiat se soit compliqué.
Je ne répond pas! Bien trop occupée a contenir ma colère et ma nausée. Des cries se font entendre avec une lutte au niveau de l'entrée, je me tourne pour voir Duvar tenue par deux armoire à glace, il a l'air d'avoir pris chère.
- pardonnez moi son état! Je me suis un peux emporter. Fit un homme de forte corpulence au visage cramoisie manger pas la barbe rousse qui ce mêle a sa crinière de même couleur. Père se lève de son siège puis s'approche de l'homme et se place face à lui.
- tu as osé t'en prendre à ma fille, et la laisser pour morte, je veux les noms de tes complice. Crache mon père ces deux mains autour de sa tête comme un étau.
Le regard de père ne trahis aucunement, l'envie de lui refaire le portrait.
Il se mit à rire alors que moi je choppe des fin bout de bois, identique a des curdant, ne voulant pas laissé mon père, le massacré sans obtenir de réponse
- duvar! Je vais t'apprendre un truc! Lors de ma captivité, on utilisa des techniques de tortures qui paye pas de mine mais qui provoque des douleurs insoutenable. Dis-je en me levant; je les connaît assez bien pour pouvoir les reproduire sans aucune hésitation. Terminais-je en lui montrant les pique de bois, alors que père la lâché pour me laisser m'approcher.
Il se mit à rire.
- messieurs qui auraient l'amabilité de me donner une de ces mains? Demandais-je.
La main gauche fût tendue vers moi, tendit que père me regarde sérieusement.
- merci! Voilà une technique, qui ne laisse aucune trace comme si il n'y avait rien eux et pourtant la douleur est bien présente, Dis-je en attrapant la main; un simple pique fin en bois, qui entre dans le creux entre l'ongle et la peaux provoque une décharge de douleur. Terminais-je en exécutant mes dire, le crie résonne dans la pièce.
- petit joueur ! Je tenue plus longtemps! Dis-je en retirant le pique.
- garce!
- enchanté moi c'est Freya! Dis-je en me tournant vers père à qui je pose les petits bout de bois dans sa main; et si sa suffit pas! Je connais bien d'autre, qui monte crechainedo! Se serait avec grand plaisir de les montrer! Dis-je en retournant sur ma chaise.
- cette femme bien que belle est machiavélique. Fit l'homme bourru avant de rire à plein poumon.
Je ne lâche pas Duvar du regard. La colère que je contenait à pris le contrôle total de mon esprit et mon corps.
Il se mit à hurler de douleur encore une fois et je ne cille pas une seule fois. Au bout du troisième hurlements, il finit par lâcher des prénoms, Fjord, sott, odroff, tyr, Beorn et vormey.
- décevant! Vraiment décevant! Dis-je, en me levant puis file vers ma chambre assez contrarier...


Voilà un nouveau chapitre. Le troisième de ce week-end où c'est 1000 vue.

 Le troisième de ce week-end où c'est 1000 vue

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la dernière lothbrok Où les histoires vivent. Découvrez maintenant