Hier soir! Je fus réveillé par les crie de Freya. Je me suis précipité pour voir ivar la serré dans ces bras. Freya à fait à nouveau un cauchemar. Sa me blesse de la voir hanté par une vie torturé. Je me balade vers la plage où je vie Bjorn et Freya.
Elle pleure dans ces bras avant de ce redressé.
- sa arriver que des hommes me rendent visite dans ma cellule. Il était rare que l'on me donne des vêtements, même quand, il faisait très froid. Quand j'ai vraiment arrêté de lutter, il a commencé à me laisser à des hommes de sa cour même à des couples ou des soldats, des garde personnel. Je n'ais connue que sa. Dit elle.
Je fus frappé par ces paroles comme un coup de point dans l'estomac. Une droite qui me sonne.
- à force tu n'es pas eux d'enfant? Demandais-je sans avoir pus m'en empêcher.
Ils se tourne vers moi. Elle me regarde avec inquiétude, avant de baissé la tête en soufflant qu'ils se sont arranger pour que sa n'arrive...
Je n'arrive pas a comprendre ces mot, qui ce perde dans un murmures. Je me pose près d'eux et la force à lever les yeux pour qu'elle me regarde.
- non! Il se sont arranger pour que sa n'arrive pas! Je doute même de pouvoir en avoir un jour. Me dit elle.
Je ferme les yeux avant de la prendre dans mes bras et tourne le regard vers bjorn, qui bien qui ne le montre pas et vraiment en colère de ces derniers mot.
- je n'ai plus rien d'une femme. Dit elle.
- ne dit pas sa! Tu as tout d'une femme des plus forte que je connais et si un homme osé dire le contraire qu'il vienne me le dire en face. Lui dis-je, en la berçant dans mes bras.
Je n'imagine pas ce qu'elle a vécu et bien que son corps en témoigne, l'entendre en parler le rend plus réelle. Ils lui ont tout pris! Même la possibilité d'un eventuel avenir.
- Freya! N'hésite pas a venir me voir quand tu as besoin. Lui dit bjorn; je te laisse la ramener au skali? Me demande t'il.
Je hoche la tête. Je resta a la consoler alors que bjorn lui ce sauve. Je me doute d'ou il va. Elle finit par ce défaire de mon étreinte. Elle me regarde les yeux plein de larmes.
- je voulais pas que tu le sache comme sa! Je veux pas que tu perde ta joie de vivre.
- t'en que tu sera à mes côtés, je ne la perdrez jamais. Lui dis-je.
Elle eux une petite rire, je lui déposer un baisé sur son front.
- on rentre? Lui Demandais-je.
Elle se lève et nous marchons l'un près de l'autre sur la plage en direction de la ville puis dans ces rue pour rentrer au skali où nous tombons sur Thorin.
- Hvitserk! Freya ravie de vous voir! Dit il.
- thorin ! Comment allez-vous?
- bien mieux que vous! Vous avez l'air d'avoir pleuré?
- oh! C'est pratiquement récurent, mais mes frères sont toujours là pour me consoler.
- j'espère que l'on pourrait reprendre notre conversation.
- se sera avec plaisir.
Il finit par nous laisser alors que je regarde ma sœur.
- me regarde pas comme sa!
- tu te rend bien compte que lui souhaite autre chose? Lui dis-je.
- je sais! Il l'a avouer à demi-mot! Et ma assurée qu'il ne ferait rien contre ma volonté.
- si il te fait du mal ou te brise le cœur, je lui brise les couille.
- il y as de forte chance que ce soit moi qui lui brise le cœur.
- et je serais en première loge pour voir sa.dis-je le sourire au lèvre.
Elle me regarde étonné avant de rire. Nous finissons par entrer dans le skali ou mère nous tombe dessus. Elle me fait un léger signe puis attrape Freya pour l'entraîner vers la cuisine. Je file vers la table ou je me suis dit que bjorn avait du parler mais il n'est pas là. Je me pose en remarquand la tension palpable. Je regarde chacun de mes frères.
- thorin est venue nous voir! Pour nous informer d'une chose qu'il a entendu dans la taverne.
- je les croisé avec Freya en rentrant. Dis-je; il as toujours des vue sur notre sœur. Ajoutais-je.
Cela fit rire un peux tout le monde.
- et notre sœur? Demande ubbe.
- elle l'apprécie et ma fait comprendre qu'il risque de l'attendre très longtemps.
La table rie une nouvelle fois.
- notre sœur se joue déjà des hommes! Fit sigur.
- et elle a bien raison! Commence père; D'ancien compagnon de Duvar, on discutait sur le fait qu'il est quitter kattegat pour s'entretenir avec un Jarl. Termine père.
- pourquoi? Demandais-je.
- je l'ignore! Mais je pense que ces pour votre soeur.
- ah! Quand va-t-on laisser notre sœur! Elle a le droit d'une vie normale! Elle a assez subit comme sa. Fit ivar assez en colère.
- on doit agir! Dis-je.
- il lui faut une protection! En plus de la notre. Fit sigur, au moment où bjorn arrive.
- désolé du retard! Fit il en se posant à table.
- tu as eux un soucis!? Demande père, en voyant son air perturbé.
- un peux en passant pas loin de la tavernes, j'ai entendu une conversation animée sur notre sœur! Certain on des idées bien arrêté. Dit il.
- D'ancien camarades de Duvar? Demande Ubbe.
Il hoche la tête.
- bien! Il faut mettre un stop maintenant! Elle n'en supportera pas davantage. Dis je.
- saurai tu quelque chose que nous ignorons.
Tout les regard son sur moi. Oups j'en ai trop, et j'ai pas eu le temps de lui en parlé tempis.
- en passant devant la maison de Bjorn, j'ai surpris une conversation avec Thorvis, tendit que celle ci, lui fesait des tresse, le ton est monté, Freya c'est levée en disant qu'elle ne laisserai plus jamais un homme la toucher. Elle était au bord d'une crise et Thorvis à tenter de la calmer du mieux qu'elle a pus. Et je l'ai entendue. Dis-je.
- tu veux dire! Qu'elle pourrait envisager de se donner la mort! Demande ivar assez tendu.
Le regard sombre de colère et de peur.
Je ne lui répond pas mais bjorn le confirme. Ce qui jette un froid sur la table.
il nous dit qu'il va falloir une protection autour de Freya sens qu'elle se doute de quoi que se soit, car sa pourrait l'inquiéter.
- je me charge du jarls! Pour en savoir plus. comence père; je suis sur que thorin vous filerais un coup de main! ajoute t-il avant de se sauvé....Et voilà le chapitre qui devait suivre.
Je vous souhaite une bonne lecture...
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la dernière lothbrok
Historical FictionRagnar Lothbrok et son épouse Aslaug ont eu un dernier enfant après Ivar, qui fut enlevé à un jeune âge! douze ans après cette enfant disparue fût retrouvés dans des conditions déplorables. ceci est mon tout premier écrit, j'accepte tous les critiqu...