chapitre 20: ragnar / Freya

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Assise à la grande table avec Freya, le livre devant moi, elle m'apprends a lire.
- vous.. ne...com..p..
- vous ne comprennez pas! Ce n'était pas évident. Me dit elle.
Elle prend vraiment le temps avec moi, en un mois, je m'améliore en lectures bien que je bute sur des mots.
- vraiment, cela est une pure...mas...masca...rade.
- mascarade.
- mascarade! Repetais-je, en regardant le doux visage de ma princesse.
Il ne porte plus aucune trace, il a retrouvé sa beauté. Bien qu'elle ait les très tirer du à ces nuit agité.
- père! Un soucis ? Me demande t'elle.
- oui! Et non, je sais que tu a parlé à Bjorn et Ubbe, et que tu n'a pas continué. Pourquoi?
- Ubbe ne la pas supporter.
- et bjorn ?
- il as bien tenue a moin qu'il les bien caché. Me dit elle.
- tu ne peux pas reprocher à Ubbe de ne pas avoir supporter! Lui dis-je.
- je ne lui reproche pas! Au contraire! Je veux pas qu'il en souffre.
Je colle mon front contre le sien. C'est bien ma fille, elle pense toujours au bien être de ces frères quitte à ce taire à jamais.
- et moi ? Quand m'en parlera tu? Lui de.
- quand j'aurai trouvé les bon mot! Je le dirai à tous appuyé par celui qui m'aura aider. Je raconterai tout sans temps de pose sauf pour ce qui ne le supporteront pas et qui quitteront la pièce.
- qui sera ton guide?
- bjorn et Thorvi pour l'instant.
- cela veut dire qu'il peux y avoir dautre personnes?
- plus j'arriverai à le dire à des personnes plus se sera évidement de le dire à tous, bien sûr je ne dirai pas forcément toutes l'histoire mais un morceau que seule cette personne saura. Dit elle.
- Je pourrais étre un de tes gardien?
Elle hoche la tête.
Je lui pose un baisé sur le front au moment où des bruit de pas ce font entendre venant de l'entrée du skali. Le messager, que j'avais fait envoyer pour le jarls me revient. Je congédie ma fille et file le voir....

•••°°°•••

Je pris le livre puis file dans ma chambre. Je le pose sur la coiffeuse qui me sert plus de bureau. Je redresse la tête pour voir mon reflet dans le miroir. Reflet que je ne supporte pas. Qui a retiré le tissu que j'ai placée dessus. Je me tourne pour le voir sur le lit. Je le prend et le place sur le miroir.
- pourquoi cache tu se miroir? Fit la voix de père se qui me fait sursauter et fait tombé le tissus.
Il entre dans la pièce, alors que je me détourne pour ne pas me regarder.
- tu as finis avec l'homme qui est arrivé ? Demandais-je en me placent f1ce à lui.
- une broutilles. Tu peux me dire pourquoi tu cache se miroir?
- je n'aime pas ce qu'il reflet. Dis-je.
Il pose ces mains sur mes épaules pour me tourner face au miroir, mais je détourne le regard.
- dit moi ce que tu voix! Me demande t'il.
Je tourne la tête doucement pour me regarder.
- rien de jolie! Une facette, qui tente de camoufler un corps moche, un corps mort, qui attire les charognards avare de chaire. Dis-je en baissant la tête.
Il me fait relever la tête, en collant sa joue à la mienne.
- tu sais se que je voix?
- non.
- j'y voix une femme, à la beauté surnaturel et à la force inégalé que rien ne peux arrêter. Aucun homme te résiste, rien n'a pus détruit cette beauté.
- tu dis sa parce que je suis ta fille?
- non. Fit il en me tournant face à lui; tu ne le voix pas mais dans le villages les hommes se tourne a ton passage, intimider par ta beauté qui se demande si tu aurait un regard pour eux. Un mot pour eux ou un sourire. Pour les femmes du village tu es la survivante protéger des dieux, qui c'est relevé malgré la souffrance, que tu as vécu. Tu inspir le respect.
- comment peux tu voir tout ça? Demandais-je.
- ma vue n'es pas voilé, comme toi! Retire se voile et tu le verras.
Je me retourne vers le miroir pour me regarder à nouveau tentant de voir se que père ma dit mais je ne vois que l'horreur que mon corps m'inspire.
- je n'y arrive pas! Quand je voix les hommes me regarde, je ne voix qu'un désir! celui des femmes, la pitié. Dis-je.
- je peux pas nier que certains hommes te désire, mais ne te toucheront pas s'en ton accord. Mais je t'assure que d'autres rêverais de t'avoir pour épouse.
- il risque d'attendre longtemps. Dis-je.
Il se mit à rire, il attrape ma mains gauche, ou on peux voir au niveau de mon poignet les pointes d'argent que je cache. Son pouce passe dessus me provoquant un frisson désagréable. je retire aussi sec, mon poignet en tirant sur ma manche.
- sa te fait mal?
- non! Je n'aime pas qu'on le touche!
Il se pose sur mon lit.
- elle a commencé à le dessiner sur le bras a mes treize ans, elle l'a fait au fur et a mesure en prenant soin de le soigner. Elle a commencé sur le haut de mon bras au niveau de mon épaule et à descendue jusqu'à mon poignet. Mon bras et lourd et les mouvements me sont compliqué des fois. Mais je me force à l'utiliser pour le garder actifs. En faisant du violon ou du tire a l'arc. Il y as des jours, ou c'est vraiment dure.
Il m'attire contre lui, pour me serrer dans ces bras, me caressant les cheveux, avant de déposer un baisé sur ma tempe. Je resta contre lui, rassuré par cette sensation protectrice d'un père....

Second chapitre double. Étant tout deux des chapitres un peux pour le blabla.
J'espère qu'il vont vous plaire.
Hésité pas de me dire en commentaire ou par message ce que vous en pensez. Je répondrais avec plaisir...

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