Chapitre 35: Ivar / Freya

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La fête bas son plain et j'ai vue frey discuté avec Floki, helga puis d'autre personne. Père semblait si fière de la façon don on a jeté se roi, pour ma petite soeur. Faut dire si il a crue que je laisser une personne emmener ma douce Freya loin de sa maison, loin de nos frères pire loin de moi.
Ce pendant j'ai bien vue le regard qu'elle a porté à Uhtred qui semble tenter d'éloigner la jeune femme un peu trop entreprenante. Elle a ensuite filer droit vers sa chambre ou ce dernier la rattrape. Je lache Freydis pour voir ce qui se passe. Ma sœur semble éprise d'uhtred, comme quoi elle peux tomber amoureuse et c'est ce qu'il espérer.
La porte fermée, je reste contre mais n'entend pas grand chose, jusqu'à qu'elle lui dise qu'il ne va pas aimé se qu'il va voir. Ce dénigrant encore. Il la rassure disant qu'il la trouve magnifique. Ma sœur, malgré tout le travail ne se supporte pas. Elle se trouve horrible. Les bruit de mouvement se fait entendre. Cela dura un petit moment avant de l'entendre s'excuser mais elle lui dit sa peur. Chose que je comprends qu'ils étaient bien occupée. Je me colle un peux plus pour entendre, près à intervenir si il la force. Mais au lieux de sa, des mouvements se font percevoir avant qu'il ne s'excuse encore une fois. Et d'entendre ce que je n'aurais jamais aimé entendre. A quoi cette marque faite à sa cuisse server. A la torturé! Au point que c'est devenue si sensible qu'une simple carresse est une torture.
Il semble la consoler et je décide de retourner à la fête, mais père me tombe dessus.
- un problème.
- il discute! Dis-je, ne voulant pas dire ce que j'ai entendue.
Je dois voir sa avec elle. Lui en parler, de tout sa et surtout voir jusqu'où elle est prête a aller avec lui. Je ne veux pas la blesser, mais pour un debut il peux lui etre utile après elle le dégagera, enfin j'espère.
Je me pose près de Freydis au moment où il revient à la fête. Il parle à son père puis file la où il doit dormir, je suppose....

°°••°°

Ce matin, me reveillant seule dans mon lit, je ne peux le nier, je me suis éprise d'un homme. Un guerrier, fils de jarl. Uhtred ! Je ne me pensais pas Tombé amoureuse? Est-ce vraiment de l'amour ou un faut semblant?
Assises sur le perron du skali, je voix père, le jarls Sigefrid, bjorn et Uhtred, se salué avant de se diriger vers la plage accueillir de nouveaux arrivant, pour le prochain raid. J'ouvre un de mes livres voulant profiter de se moment rien cas moi.

Prise dans ma lecture, je ne fit pas attention, à qui s'approche de moi.
- salut frangines ! Fit la voix d'ivar.
Je redresse la tête, pour le voir se placer près de moi. Je ne l'avais pas entendue plus tôt puisqu'il sais traîner vers moi.
- salut ivar. Dis-je, en fermant le livre.
- j'aimerais discuter d'un truc avec toi. Me dit il en passant ces jambes devant lui.
- de quoi?
- il y as deux jours de sa, en passant devant ta chambre, je t'es entendu avec Uhtred.
Le rouge me monte au joue de geine.
- tu n'as pas à t'en faire sa reste entre nous, mais, comment peut tu autant te détester? Me demande t'il.
Je souffle un bon coup, comment lui dire? Je regarde autour de nous en posant mon livre au sol. J'attrape sa main, pour jouait avec.
- ivar! Je m'excuse de ce que tu as entendu, mais si tu as vraiment entendu tu aurais du entendre le pourquoi. Dis-je en relevant la tête pour le regarder dans les yeux.
- certe mais Uhtred à raison.
- père a dit la même chose, mais je n'arrive pas a voir ce que vous voyez tous.
- sa me rend triste que tu ne le voix pas.
- ivar! Comment tu peux voir ce que les autres voix quand tu n'a étais vue que comme....un commençais-je, en cherchant mes mots...un...un objet bon à servir aux hommes. Tu en viens à détester ce que tu représente, Ce que tu es, Ce que tu fais ressentir rien que par ta présence. Tu te déteste à un point que tu ne peux l'imaginer. Et quand tu te retrouve face à un miroir, tu ne voix rien d'autre que des lambeaux de vie rafistoler faisant de toi un être beau mais mort de l'intérieur. Tu ne voix que les horreur que tu a vécu. De se fait tu n'arrive...Continuais-je dans ma tirade avant qu'il ne me coupe.
- pas à voir ce que les autre voix. Me coupe ivar.
- j'aimerais tellement être plus fort que sa! Voir ce que les autres voix! Mais je n'y arrive pas, trop faible pour accepter ce que j'ai été.
- ça je ne peux pas te laisser dire sa! Tu es la femme la plus forte, la plus courageuse. Tu affronte tout les jours, tes souffrance sans le dire. Tu essaye de surpassée tes faiblesse.
- mais ces pas assez.
- tu es trop dure avec toi même.
Je retiens un rire, alors qu'il me sourit, du style tout va bien. Un silence commence à s'installer mais je remarque que mon frère a une réflexion qui lui brûle les lèvres, ou autre qu'il semble le perturbé.
- et j'ai entendu autre chose, par rapport a ta cuisse! Soufle t'il, comme pour être sûr que je sois là seul à l'entendre.
Mon cœur se mit à s'affoler, plus honteuse.
- je sais pas se qui ma pris, mais cette femme m'a agacer et en même temps, je me suis dit que il pourrait avoir mieux. Je me suis réfugié dans ma chambre où il m'a suivie. Je voulais voir comment, il réagirais fasses à toute mes cicatrice, et il m'a plutôt surprise, pour une fois je me suis sentie....différente. mais la peur de la douleur fût plus forte, et j'ai pas pus allé plus loin.
Et c'est bien mieux comme sa. Soufflais-je pour la fin, avant de prendre une grande respirations pour lui demander ce qu'il a entendue pour ma cuisse.
- que tu la porte depuis tes 12 ans et qu'il faisait en sorte qu'elle ne se referme pas.
Je soupire, c'est la seule chose que je refuser que ma famille sache réellement à quoi server cette cicatrice.
- elle a était faite par un tisonnier chauffer à blanc puis appliqué sur la cuisse, comme on peut marquer une bête. Et il place un truc sur leurs cuisses à eux à chaque fois que...enfin,...ce qui fait que sa c'est jamais refermer enfin jusqu'à maintenant. Au bout d'un moment c'était si sensible qu'il sufiset d'un simple effleurement et sa s'ouvrait tout seule. Et j'avoue quand il a frôlé cette cicatrice j'ai retenu mon soufle, étant à nouveau dans cette enfer.
Je le sens embrasser ma main.
- maintenant! Il y as plus qu'à espérer, qu'il trouve une bonne épouse, une vraie femme, qui pourrait lui offrir tout ce qu'il désire.
- et moi, je dis qu'il la trouver, et qu'elle n'est pas indifférente à ces charmes qu'il est sa chance d'une nouvelle vie. Qu'elle doit avoir confiance, au destin que les nornes lui on dessiné.
- ivar!...Soufflais-je.
- si tu doutes, moi j'y crois pour toi.
- bien! Dans ce cas! Je te fais confiance.
Je reprend mon livre que mon frère regarde le titre amusez.
- encore?
- Bas! Je n'es pas d'autres livre et j'ai déjà relut les autres deux fois.
- on pourrait t'en ramener d'autre.
- ce serait génial.
Je reprend pour me plonger à nouveau dans ma lecture mais des bruits de pas, mi en empêche. Je redresse la tête pour voir un groupe d'hommes s'avançais vers nous. Père, Sigefrid, bjorn, Uhtred plus deux hommes. Un brun, le visage tatoué habillée d'une tunique rouge et des brais marron foncé, comme ces bottes. Le tout surplombé d'une cape noir. L'autre est blond, le visage tatoué lui aussi, habillée d'une tunique bleue nuit, sur de brais noir comme ces bottes et une cape marron délavé même usé. Je me lève et aide mon frère qui se tien a l'embrasure de la porte. Une esclave me donne la béquilles de mon frère que je lui place après avoir dit merci à l'esclave.
- alors! Voilà la légendaire fleurs d'argent, représentante midgardienne de la deesse vanes de la terre et la fertilité. Commence le brun en se place face à moi; laissez moi me présenter, je suis le roi harald belle chevelure, et suis heureux de pouvoir vous rencontrer princesse freya. Termine t'il, avec une légère révérence.
- bonjour!
- votre légende est comté jusqu'à mes terres et elle ne sont pas exagéré. J'espère avoir le loisir de pouvoir discuter avec vous en tout bien tout honneur, loin de moi l'envie de me faire jeter du skali, comme un mal propre.
- tant que vous ne mettez pas ma fille comme trophée à obtenir pour notre alliance, sa devrait bien se passer! Répond père.
- loin de moi cette idée!
Mon père lui tapote l'épaule pour le faire avancer dans le skali, passent près de moi.
- par odin! Allons nous devoir t'enfermer à chaque visite ? Demande ivar.
Je fis une grimaces ne sachant que répondre et un peux honteuse. Mes quatre autre frères entrent à leurs tour.
- pourquoi cette grimace? Demande Ubbe.
- la beauté de notre soeur à encore frappé. Répond ivar.
- rien! De surprenant! Que l'on nous trouve une seule personne insensible à ces charmes. Fit sigur.
Ils se mirent à rire.
- c'est pas drôle! A cause de moi père peux perdre des alliance. Soufflais-je.
- aucun risque, et si tu es la raison de cette alliance alors elle a pas lieu d'être. Fit Hvitserk.
Je fis un petit sourire avant de les suivre à l'intérieur, et file droit dans ma chambre pour les laisser parler de leurs raide qui se déroulera dans les prochaines semaines....

Salut, tout le monde!
Voilà un petit chapitre pour le week-end des fêtes de Noël.
J'espère qu'il vous plaira.
Je vous souhaite de bonne fête, de Noël.
A la prochaine.

la dernière lothbrok Où les histoires vivent. Découvrez maintenant