Je n'ai pas vécu une autre vie que celle de la Coure.
Je suis princesse depuis ma naissance et héritière au trône d'Italie depuis le triste décès de mon frère aîné.
Malheureusement, mon pays ne respire pas bonheur et prospérité pour le moment.
Les...
" Vous vous êtes vite sauvée de la soirée ? Je ne vous ai pas vu remonté dans vos quartiers ?
- Et bien, je suis d'abord sorti prendre l'air et je suis partie me coucher.
- Je me demandais où est-ce que vous étiez figurez-vous. ajoute-t-il se rapprochant de moi, passant une main dans ses cheveux blonds.
- Ah oui ? Ne pouvez-vous pas vous passer de moi hélas ? plaisantais-je.
- Ce "hélas" voudrait-il dire que sa Majesté ne désir plus me voir ? J'en suis outrée! Moi qui pensais que ma Reine ne se languissait jamais de son valeureux serviteur...
- Qu'est-ce qui vous fait dire cela ? demandais-je, ma poitrine proche de son torse.
- Osez nier les sentiments que vous avez à mon égard. Osez dire que vous ne ressentez rien, que je ne vous fait rien. Osez le dire que vous ne ressentez aucun désir..."
Sa main effleure alors délicatement mon bras, me donnant des frissons dans tout le corps. Il relève par la suite ma tête, me laissant apprécié la vue sur son beau visage, vêtu d'aucune imperfections. En me rapprochant de lui par son autre main, nos corps son tout deux, confrontaient à l'autre. Je ne peux reculer. Je ne veux le repousser. La seule raison qui pourrait me faire changer d'avis, c'est Richard. Au moment où mon esprit pensa au roi et aux mots sincères qu'il m'avait dit il y a quelques heures, les lèvres du beau seigneur se posèrent sur les miennes. L'envie de le repousser m'effleura un petit instant, mais s'évapora rapidement. Son parfum de citronnelle rafraîchissait mes narines et son corps chaud me faisait oublier la fraîcheur de la pièce. Après un moment de doux baiser, je sentis sa langue touchait la mienne et remuer, visitant la bouche à chaque recoins. Instinctivement, ma langue fit de même. Tout en m'embrassant langoureusement, il me fit reculé lentement sur le mur. Manuel me porte et mes jambes s'attachent à ses hanches, tandis que mes mains touchèrent ses cheveux. Plus le temps passait, plus ses baisers descendirent dans mon cou, puis ma poitrine. Je pouvais sentir mon coeur et le sien battre tout les deux à une vitesse démesurée. Je me mordis les lèvres et souffla de plaisir, me laissant porter par ses baisers suaves et doux qu'il me portait.
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Je me réveille en sursaut, me repassant chaque scène de la nuit dernière dans la tête. Était-ce réel ? Ai-je vraiment fait cela ? Si tel était la vérité, que Dieu me pardonne et oublie mes actes pervers et irrespectueux envers lui. Je refuse de croire que je l'ai fait. Ce serait indigne de moi.
Je me lève du lit et ne perd pas de temps à appeler mes dames de chambre, qui auraient dû me réveiller bien plus tôt.
Je prend ma douche seule puis choisi ma robe.
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Une belle robe en tulle et le diadème de ma mère.
En entrant dans le hall, je vis le pape, discutant avec mes deux prétendant.
