𝐋𝐈𝐄́𝐒 𝐄𝐓 𝐌𝐄̂𝐋𝐄́𝐒
37.𝕶.
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Papa - C'est bien. Tu es rentré tôt.
— Ouais. J'suis vraiment fatigué.
Je dépose mes clés à l'entrée, et vais dans la cuisine pour y déposer la nourriture, en passant par le salon donc car c'est une cuisine ouverte avec un simple bar qui sert de petite délimitation.
Papa - Qui t'a donné ça ?
Je sors la gamelle et me sers dans mon assiette.
— Une amie.
Papa - Eh m'ben. Ce qu'elle est attentionnée ton amie.
Je souris.
— Y'en a même pour Tayra et Mayron, mais il est en vacances.
Papa - Elle connaît Mayron ?
— Oui. Ils s'entendent plutôt bien d'ailleurs.
Papa - J'en rate des choses. Sois prudent quand tu te rends chez une fille. Elle vit seule ?
— Oui. Mais elle est très souvent chez sa famille quand même.
Papa - C'est une princesse elle.
— Une fille à papa elle dit.
Papa - Sois vraiment prudent. Vous êtes seuls en plus.
— J'y suis allé que deux ou trois fois je crois, et il ne s'est jamais rien passé. Je le ferai moins, je pense qu'on sortira plutôt tous ensemble les prochaines fois.
Papa - C'est bien.
— Tayra est sortie ?
Papa - Oui.
— Tu lui diras que je lui ai laissé de quoi manger dans le frigo. Tu veux la part de Mayron ?
Papa - J'ai déjà mangé moi. Et puis je ne peux pas manger la nourriture qu'une gamine a préparé quand même.
— Olala.
Je chauffe mon assiette pendant quelques minutes et m'assois ensuite à table pour manger.
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Ficción General« Ce rêve impossible : que tous ceux qui se sont aimés n'aient jamais à se quitter. »