( FR) One shot One piece MARINE EDITION (COMMANDES FERMÉES)

Aokiji x Shy!reader

Une commande de  @Abel_scp_076 !

J'espère qu'elle te plaira ! Et désoler du délais, j'avais quelques examens entre-temps XD

J'ai l'impression que j'ai pas trop mis en avant le côté timide du personnage, alors dites moi si c'est quand même pas mal ou si je devrais plus l'accentuer :)

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Tu te dépêchais dans les escaliers. Même si Sengoku était patient, les documents que tu tenais entre tes bras étaient plus qu'importants et étaient urgents.

Tu faillis manquer quelques virages que tu pris trop court, ou manqua de te ramasser lamentablement dans les escaliers à cause de ta course trop rapide. Mais tu arriva en un seul morceau au bureau de ton supérieur, d'où s'échappaient des voix visiblement mécontentes.

Voir même plus.

En faites ils étaient entrain de s'engueuler. 

Tu aurais aimer savoir qui étaient ces deux personnes s'hurlant dessus comme si le monde autour n'existait pas. Tu n'osas pas rentrer, déjà car tu as quelque peu PEUR de ces deux grosses voix qui se crient l'une sur l'autre avant d'enchérir encore plus fort que la précédente, et le fait que la porte qui se dressait devant toi est fermée.

Et tu as une règle auquelle tu  ne déroges JA-MAIS. C'est que si la porte devant toi est fermée, tu n'entre pas. Rien qu'a l'idée de toquer, d'entrer alors que tout le monde te toise du regard... Tu frissonne de terreur.

Mais ton salut vint rapidement, sous la forme d'un lampadaire. Enfin plus précisément ton amiral de référence, Kizaru. Celui ci t'adressa un grand sourire avant d'entrer dans le bureau sans même prendre la peine de toquer.

Tu aimerais bien être comme ça un jour, pouvoir entrer sereinement quelque part sans craindre de bégayer ou de déranger.

Tu saisis alors cette opportunité pour entrer. Tu compris alors la raison de pourquoi les températures du couloir variaient autant.

Akainu et Aokiji s'engueulaient encore, et leurs pouvoirs respectifs s'exprimaient en plus de leurs voix. Tu croisas alors le regard de Sengoku, assis à son bureau, et clairement exaspéré de la situation. Il sembla presque sauter de joie en te voyant arriver, lui donnant une excuse pour faire autre chose que regarder ses subordonnés s'engueuler pour la énième fois de la semaine.

Il te fis t'assoir en face de lui, pendant que les deux hommes étaient assis l'un en face de l'autre sur les canapés. Tu remarqua seulement maintenant Garp qui mangeait ses gâteaux dans un coin en admirant le spectacle.

Tu sentais toute la tension dans l'air, mais Kizaru et Garp semblaient plus occupés par la bouffe plutôt que par la situation. Tu en déduis que ça devais être courant. Tu n'étais là que depuis 2 semaines après tout.

Sengoku essaya de faire le silence en se raclant la gorge, ce qui ne marcha absolument pas d'ailleurs. Tu n'osais presque pas respirer, mais tu entendis ton prénom venir dans la conversation, et ce fut Kuzan qui le prononça

- Bordel arrête de gueuler tu fais peur à Y/N !

Akainu répondit un peu plus fort

- Si elle à peur de ça alors elle ne fera pas long feu sur un champs de bataille-

- Bordel tu va arrêter avec ça on est pas en guerre-

- SILENCE.

Tu sursautas, c'était la première fois que tu entendais Sengoku lever la voix comme ça.

Les deux amiraux arrêtèrent un instant leur engueulade pour se tourner vers l'amiral en chef, qui étais plus qu'énerver.

- Nous ne sommes pas là pour parler d'une guerre mais de Y/N. Dans la mesure où Kizaru va devoir partir dans peu de temps, elle à besoin d'un second tuteur.

Tu deviens toute pâle. A la base tu étais juste là pour ramener des documents et maintenant on te dis que tu vas devoir être l'élève d'une nouvelle personne QUE TU NE CONNAIS PAS ?

Tu priais pour te réveiller de ce cauchemar. Tu cru presque t'évanouir mais la voix de l'amiral habillé en bleu et blanc te sortis de tes pensées.

- Je me propose

Il avait pris une voix plus calme, même si la tension dans l'air était toujours là.

Akainu ne s'y opposa pas du tout, au contraire ça l'arrangeait bien que son collègue s'occupe de toi. A ses yeux tu devais être encombrant ou pire, inutile. Cette simple pensée, même si en soit tu ne portait pas l'amiral volcanique dans ton cœur, te mis mal. Tu détestais ça. Tu ne voulais pas être perçue comme un boulet.

Sengoku s'asseya  alors de nouveau, et sortit tout les papiers à faire remplir. Ton cœur battait à mille à l'heure, tu fixais tes pieds dans l'espoir que le sol s'effondre pour que tu sortes de là.

Et tu entendis Akainu soupirer. Et là, tu finis presque au bord des larmes.

Tu priais dans ton fort intérieur pour ne pas que ça se voie, enfin bon vu comment tu avais la tête baissée c'était peu probable. Kuzan se leva alors, et posa une main sur ta tête avant d'avancer pour aller signer les papiers.

Son geste te calma quelque peu, te faisant surtout rougir de honte. Akainu se leva et sortit rapidement accompagné de Kizaru. Une fois qu'ils furent sortit, Kuzan te chuchota à l'oreille 

- Te met pas dans un état pareil à cause de cet imbécile, ça me ferais de la peine de voir une si jolie femme pleurer.

Tu rougis encore d'avantage.

Au moment de sortir, Kuzan te rattrapa dans le couloir

- Y/N attends 30 secondes

Tu le regarda, intriguée.

Il te sourit doucement avant de te tendre un numéro de téléphone sur un bout de papier.

- C'est mon numéro, si tu veux parler boulot...ou autre chose~. Tu es libre ce soir ?

Tu rougis en hochant la tête, avant de le suivre jusqu'à son bureau, te doutant que les jours à venir allaient être...mouvementés.