( FR) One shot One piece MARINE EDITION (COMMANDES FERMÉES)

Fujitora x SocialAnxious!reader-NEUTRAL READER

Une commande de @Abel_scp_076  :D

Social Anxious : Anxiété sociale. ( C'est être très angoissé rien qu'à l'idée d'avoir une interaction sociale )

/!\ CE CHAPITRE SERA ÉCRIT A L'INCLUSIF PARCE QUE  C'EST MOI QUI DÉCIDE /!\ 

Plus sérieusement, je trouve ça cool de directement écrire certains chapitres à l'inclusif plutôt que d'être obligé de faire une commande spécifiant l'identité de genre du Reader, je pense justement aux personnes anxieuses qui lisent mais n'osent pas interagir.

Donc maintenant certains chapitres à venir auront une écriture inclusive ! Pas tous, mais je vais essayer de faire minimum 1 chapitre par personnage à l'inclusif

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Tu te répétais mentalement ton texte.

Ton copain n'était pas là pour t'aider, tu allais devoir faire les courses tout.e seul.e.

C'était rare, il faisait tout pour t'accompagner ou même il envoyait quelqu'un à ta place quand il le pouvait. Mais en ce moment le QG est en état d'alerte alors personne ne pouvait t'aider.

Tu étais bloqué.e sur le pas de la porte, plus tu pensais à l'extérieur et aux gens auxquels tu allais devoir parler plus ton angoisse montait. Tu te sentais presque tomber dans les pommes.

Après plusieurs minutes tu trouvas enfin le courage de sortir de chez toi, munis de tes meilleurs amis : ton escargophone-MP3 et tes écouteurs.

Tu bénissais la personne à l'origine de leur invention.

Tu mis ta playlist préférée et marcha tout droit jusqu'au magasin le plus proche. Tu ne croisa personne dans la rue, alors tu te calma un peu. Mais tu avais toujours ce stress, parce que même si faire les courses ce n'est pas grand chose, tu n'es pas vraiment forcé.e de parler, et bien il restait à aller chercher du pain. Et pour ça, il fallait parler.

Tu essayas de ne pas y penser et fis tes courses tranquillement. Enfin jusqu'à ce que deux femmes bloquent l'une des allées et se posent là pour discuter comme si c'était le magasin de leur père.

Tu bouillonnais intérieurement, tu les insultais de tout les noms. Mais te te décala sur le rayon d'à côté et tu fis mine de regarder des produits ici et là, attendant juste qu'elles s'écartent même juste un peu pour te laisser passer.

Mais les minutes passent, tu en as marre et tu avais regarder tout les produits du rayon. Tu te mis alors en quête de passer autre part. Mais ce magasin est tellement bien agencé qu'il n'y à aucun autre accès que l'allée que ces deux connasses bloquent depuis bientôt 15 minutes.

Tu décida de continuer le reste de tes courses, mais une fois finis elles n'avaient pas bougés d'un centimètre. D'un commun accord avec toi même, tu décida que finalement devoir avoir une interaction de ce type là ne valait pas 2 pots de sauce tomate et ton chocolat préféré.

Tu partis alors payer, jurant intérieurement que c'est seulement parce que tu as pitié d'elles que tu ne vas pas les confronter. Tu essayes seulement de te rassurer en inventant quelques prétextes bidon. Tu sais bien que ce n'est pas ça qui t'empêche d'aller les voir.

Tu étais déjà épuisé.e alors que tu n'avais pas fais le plus gros.

Sur le chemin tu te répétais ton texte en boucle.

" Bonjour une baguette pas trop cuite s'il vous plaît. Merci au revoir."

Mais tu vis un groupe de filles rire un peu plus loin, et tu commenças à dévier de tes pensées.

" Est ce qu'elles rigolent de moi ? C'est ma tenue ? Mon corps ? Comment je marche ? La tête que je fais ?" Tu essayais au mieux d'étouffer ces pensées mais rien n'y faisais.

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Arrivé.e devant la boulangerie, tu entra timidement et fis la queue. Quand ce fus ton tour, tu sortis ta phrase, les formules de politesse, et ressortit avec ta baguette pas trop cuite.

Tu t'applaudis mentalement, te félicitant de la façon dont tu as prononcer chaque mot et que tu n'avais pas bégayer ni eu la voix qui tremblait.

Tu te sentais épuisé.e. Encore plus qu'avant. Et c'est comme ça à chaque fois, chaque fois tu as l'impression que quoi que tu fasses tu vas être bizarre, ou qu'on va te juger.

Tu célèbres chaque petite victoire, mais toutes les défaites à côté ne font qu'empirer la chose.

Tu rentras en mangeant le bout du pain. Il était encore chaud, alors tu te sentis un peu mieux. C'était réconfortant.

Arrivé.e à la maison, Fujitora t'attendais calmement en écoutant la radio. Il te regarda et vis de suite le problème. Toutes ces interactions et tes pensées anxieuses t'avaient épuisé.e.

Il t'aida alors à ranger les courses tout en s'excusant platement du fait qu'il n'avait pas pu être là.

- Désoler on aura pas de sauce tomate... Y'avait deux meufs dans le rayons qui faisaient une réunion tupperware et...et...

- C'est pas grave Y/N, c'est déjà très bien tout ce que tu as fais aujourd'hui ! Je suis fier de toi

Fujitora te souris avant de t'embrasser tendrement. Il continua à te réconforter toute la soirée, s'assurant que tu sois réellement fier.ère de toi.