Tenshi Takami est une jeune fille presque comme les autres : Elle aime mettre des balayettes et des chassés dans le ventre de ceux qui l'énervent et manger des Bubble Tea. Son mot préféré ? Chiant.
Il y a 10 ans, jours pour jours, elle avait été en...
Je me réveil, la boule au ventre. Comme le titre l'indique, j'ai passé une belle nuit de merde. L'angoisse me cisaillle l'estomac comme jamais... Comment me sortir de cette chiotte ?
Je jette un coup d'oeil à mon portable : 4h36 du mat'... Et bien entendu, je n'arrive absolument pas à me rendormir... (sinon c'est pas drôle).
PDV Externe :
La jeune adolescente, désespérée par sa nuit blanche, se lève de son lit pour s'assoir sur le canapé où elle s'assoit avant de déposer, sur la table basse, deux petit carnets. L'un est en carton, très simple et l'autre, décoré d'un personnage de Genshin Impact.
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Tenshi souris fièrement. Elle l'ouvre, se saisissant d'une de ses plumes qu'elle trempe dans un petit encrier à sa droite. C'était sa façon à elle de se détendre ; Le silence apaisant de l'arriver du jour, le frottement de la plume sur le papier, l'atmosphère océanique de sa chambre. Tout est parfait pour elle. Concentrons nous sur ce qu'elle écrit :
Cher journal, Que d'évènements aujourd'hui ! (ou plutôt hier, il est quatre heure du mat', j'arrive pas pioncer.)
Elle réitère toutes ses aventures de la journée passée.
Je me rends de plus en plus compte de l'importance des héros dans la société... C'est vrai quoi ! En étant confrontée à eux et à leur gentillesse permanente... ça finis par laver le cerveau... je me surprends moi même en comprenant et acceptant beaucoup plus mes émotions, je ne me juge plus. Peut être par ce que je sais que si quelqu'un me voix par erreurs, il ne se contentera pas de me regarder avant de partir en se disant que je suis une mauviette, non. Il aura plus tendance à se précipiter vers moi en me bombardant de questions et de paroles rassurantes. Et moi dans tous ça ? Comment je réagirai ? Si je suis vraiment triste et abattue... j'ai honte de l'écrire, même le penser me fout la gerbe ! Mais je pense que mon premier réflexe serai de serrer cette personne dans mes bras.
Elle laisse sa main en suspend, puis poursuis son récit :
J'ai autre chose à évoquer : mes parents. Mon père tout d'abord. Avant, je le détestait de tout mon cœur. Mais depuis le jour où il s'est comporté comme un père pour moi, qu j'ai porté le même uniforme que lui. J'ai voulu le rendre fière. C'est lui maintenant, mon modèle, mon héros.
'Ttention je passe aux choses sérieuses ! Ma mère... Je vais être très franche : tout ce qu'elle dit sonne faux. Sa gentillesse comme son hospitalité. Je ne sait pas... dans mes souvenirs de quand j'étais petite, je ne la voix pas... je ne me souviens simplement pas d'elle. Etrange n'est ce pas ?
