𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟗 | 𝐹𝑟𝑎𝑔𝑖𝑙𝑒

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EZIO

je regarde Rosa et Alexeï entrer dans notre chambre, et entends la porte se claquer, je m'approche de celle-ci, et écoute la discutions.

-- qu'est-ce que tu fous ici ?! elle crie

-- je suis venue voir comment ma petite amie allait, ça ne te plait pas ? il répond calmement, beaucoup trop calmement.

— tu ne me la feras pas à l'envers ! c'est m'a sœur qui t'envoi ?J-

— tu veux pas la fermer ? il la coupe

— Putain Alex ne me chauffe pas !

— mais voyons Al-

— ne m'appelles pas comme ça ! elle le coupe

— quoi ? tu n'apprécies pas ton jolie nom ?

hein ? mais de quoi il parle ?

— aller viens, on va dormir. il reprend

— je ne dormirais pas avec toi ! c'est mort !

et j'entends un bruit presque sourd, mais assez fort pour que je ne pense pas que j'hallucine.

— non ! laisse moi ! je veux pas ! aïe ! pas mes cheveux ! AÏE ! elle crie

— tu veux pas dormir avec moi ? et bin on verra bien quand je t'aurais- il se coupe d'un coup

pourquoi ? parce que je suis tout simplement entrer dans la chambre comme un lion sauvage. et ce que je vois me choque. Rosa, à genoux, devant Alexeï, qui lui, lui tient les cheveux en arrière et s'apprêtait à baisser son pantalon. elle me regarde les yeux énorme, sans même une once de tristesse, comme si elle avait l'habitude.

— sors d'ici ! qui t'a autoriser d'entrer ? il me crie

mais je ne fais rien. je suis comme paralysé. les souvenirs de ma mère et mon père me reviennent.

— hé je te parles connard !

mais je ne réponds toujours pas. c'est comme si j'étais dans un autre monde. et j'entends des vagues crie.

— c'est ton nouveau mec c'est ça ? hein ? sale pute ! tu m'as trompé ?! il me sort de mes pensées.

je pensais que ce que j'avais vu était le truc le plus choquant, mais non... ce que je vois...

Rosalia se faire tirer les cheveux dans tous les sens, se prenant tous les murs et objets possible. elle crie, mais ne pleure pas.

— t'es qu'une putain de fragile !

mais je ne fais rien, rien. je suis pétrifié. crispé.

aller petit ange... toi comme moi savons que tu n'es pas fragile... je pense

— t'es comme ta mère ! ton père a bien fais de la t-

et c'est comme si une lumière s'était allumé. son regard indifférent se transforme en haine, en rage, tellement grande. des flammes dansent dans ses iris.

-- ne parles plus jamais, mais plus JAMAIS, de ma mère, même si c'est pour dire quelque chose de bien. je te l'interdis. elle crache avec toute sa haine.

elle se redresse puis lui assène des dizaine de coups, jusqu'à ce qu'il perde connaissance. elle se remet droite puis me regarde. personne ne parle, et je pense que c'est mieux comme ça. car le silence est parfois la meilleure réponse que l'on attend.

— dis à mon frère de l'amené à l'infirmerie, quoi que vu les litres de sang qui coulent de son corps, il devrait aller à l'hôpital.

c'est elle qui a parler. puis elle s'en va en disant qu'elle part prendre une douche.

j'écoute ses instructions, je préfère le prendre comme ça, au lieu de me dire qu'elle vient de me donner des ordres.

𝐓𝐇𝐄 𝐌𝐀𝐅𝐈𝐀 𝐇𝐎𝐏𝐄 #𝟑 [BIENTOT EN RÉÉCRITURE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant