𝐓𝐇𝐄 𝐌𝐀𝐅𝐈𝐀 𝐇𝐎𝐏𝐄 #𝟑 [BIENTOT EN RÉÉCRITURE]

𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟐𝟒 | 𝐴𝑑𝑟𝑒𝑛𝑎𝑙𝑖𝑛𝑒

EZIO

Les recherches n'aboutissent à rien. Encore.

Mais putain ! Qu'est-ce qui cloche ?! On a fait tout ce qui était possible pourtant ? J'en ai plus qu'assez... et si elle n'était plus en vie ?

Le pire, c'est que les autres ont l'air d'en avoir rien a foutre.

Déjà, Amaliya, (la soit disant meilleure amie) a l'air de vivre sa best Life. Elle est pompelup. Avec ses musiques qui sortent de je sais pas où. Elle danse partout comme une folle. Et elle s'est beaucoup rapproché de Owen... c'était sur eux deux de toute façon.

Ensuite, Rune, (le soit disant frère) a l'air d'en avoir strictement rien à faire. Pas du tout stresser ou triste. Non. Rien. Il ne cherche même pas avec moi. Il est là juste en guise de décoration.

Et Alex a disparu (Il est mort) donc bon... on peut pas trop lui demander de nous aider quoi.

Heureusement que la caserne est là pour nous aider, enfin, m'aider. Hein. Parce que je le rappelle. Mais les autres ne servent à rien. Sauf Owen qui m'aide un peu mais bon.

C'est pas la meilleure des aides quoi.

Mais t'es jamais content toi

Oui, un problème ?

Une vraie fillette

Non pardon, ce serait une insulte pour elles.

Hahaha très drôle...

Je sors de la villa, décidant que j'en avait assez, et sors les clés de ma voiture pour faire un tour. J'ai besoin de me changer les idées.

Je monte dans ma Bugatti Veyron 16.4 Pur Sang, et allume le contact. Rien que le vrombissement de la voiture me fait frémir. Un poussé d'adrénaline me fait accélérer d'un coup, et je m'engage rapidement sur l'autoroute.

Aller petit coeur, dis moi ou tu es...

« Hé ! M'appelle pas comme ça ! »

Pourquoi il a fallut que tu disparaisses maintenant ? Pourquoi il a fallut que tu disparaisses tout court même ?

« Mais pourquoi ? Je te l'ai déjà dis ! Papa m'a dit que c'était affectif ! »

Je t'ai retrouvé, ce n'est pas pour te reperdre.

Ne plus attention à la route, je ne remarque même pas que je m'étais écraser, et que la voiture avait volé sur elle même pour s'écraser et se briser sur le sol.

Ça m'a coûter un blindé cette merde...

Je sens un liquide chaud couler le long de mon front, j'essaye de me mouvoir pour l'essuyer mais je n'arrive plus à bouger.

« — mais j'ai pas un grosse tête moi !

— je sais ! Mais c'est juste un surnom ! Tu n'aimes pas ?

— non... maman m'a dit que si quelqu'un me critiquait, je devais le taper... mais je ne veux ps te taper moi !

— alors tape moi ! C'est pas grave ! Je peux encaisser !

— non ! Je vais te faire mal !

— mais nooon ! Aller, viens ! »