𝐓𝐇𝐄 𝐌𝐀𝐅𝐈𝐀 𝐇𝐎𝐏𝐄 #𝟑 [BIENTOT EN RÉÉCRITURE]

𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟐 | 𝑄𝑢𝑖 𝑒𝑠𝑡-𝑐𝑒 ?

???

Quelques années auparavant

— bordel c'est pas possible ! Comment ça tu ne la trouve plus ! Je t'avais dit de la surveiller ! Je cri hors de moi

— monsieur-

— non ! Putain ! T'es même pas capable de faire ton travail ! Je le coupe

— on m'a dit qu'elle est morte ! Et sa famille le dit aussi ! Il se justifie

Attendez quoi... Morte ? Non, impossible... Ça fait 3 ans que je la surveille c'est pas aujourd'hui que ça va changer...

— comment ça morte ? Je demande plus posément

— la famille adverse l'aurait tuer... il répond

— putain ! Trois satanés année foutu ! Retrouve moi celui qui est l'auteur !

Mais ce n'est pas possible... Non, c'est bien trop parfait pour que ce soit vrai... Je suis sûr que c'est encore un de leur maudit plan...

— je veux que toute l'équipe soit à sa recherche. Même si tout vous pousse à croire qu'elle est morte, vous n'arrêtez pas vos recherche. C'est bien clair ? Je reprend les choses en mains. Jusqu'ici, c'était mon père le chef, mais aujourd'hui, c'est moi le chef...

***

Quelques années plus tard

— on a peut-être trouvé une piste chef. Me dit Rolan

— dis moi tout. Je réponds.

— il se trouve qu'elle a été adopté, et qu'elle est chez les *****, elle va au lycée dans 1 an. Il commence

— quel lycée ? Je veux que vous m'y inscrivez.

— Astor School. Il répond

— très bien. J'y vais dès demain.

C'est bon... on l'a peut-être trouvé...

Astor School...

C'est donc là que tu te caches petit coeur...

***

EZIO

Un an plus tard

— y a ma petite sœur qui arrive aujourd'hui. Je ne veux pas que tu l'approches. Je te préviens Ezio !

Il veut pas me laisser tranquille au lieu de me faire chier ? Comme si j'allais écouter ses paroles. S'il croit que j'ai peur de lui...

— écoute Rune, je m'en bat les couilles de ta sœur. OK ? Et je m'en branle complètement de ton avis. Si j'ai envie de la baiser, je le fais. Si j'ai envie de l'embrasser, je le fais. C'est pas toi qui va changer quoique ce soit. et j'en ai rien à foutre de ton avis.

— je te préviens Ezio ! Elle a déjà vécus des choses ! Elle n'a pas besoin de se rappeler de ses mauvais souvenirs !

— tu me casses les couilles, tu le sais ça ? Je dis avant de m'en aller.

Il essaye de faire le frère protecteur alors qu'il est même pas foutu de se protéger lui même.

J'ai la dalle, je vais manger un truc à la cafétéria ce serait mieux...

Et puis c'est quoi cette manie a toujours dicter-

— putain ! Tu pouvais pas faire attention ! Crie une voix douce.

Je relève la tête et vois une fille rousse, le teeshirt trempé par son cappuccino

— c'est à toi que je devrais dire ça ! Regarde où tu marches ! Je lui reproche

— mais je rêve ! C'est toi qui marches avec un tel à la main et qui regarde pas son chemin ! Testa di cazzo ! Elle jure

— c'est moi que tu traites de trou du cul ? Je demande menaçant

— qui d'autre a part toi il y a ici ? Elle réplique

— Rosa c'est bon vie-

— non Liya, je m'enrai pas tant que j'ai pas mis ce coglione à sa place ! Elle la coupe

— je rêve ! En plus elle continue ! Tu veux vraiment que je te nique ! M'énerve

— Oula, non merci, tu ne m'intéresses pas... elle répond avant de partir à une table.

Rosa...

Je la regarde une dernière fois, ses cheveux auburn lui cachent la vue, ses yeux bleu son canaliser par son amie, sa peau blanche comme un cul fait ressortir la couleur de ses beaux yeux...

C'est vraiment comme ça que tu te fais appeler...
Enfin bref... j'ai même plus faim...

A peine vient-elle d'arriver qu'elle me casse déjà les couilles.

J'ai le torse trempé maintenant ! C'est malin ! Argh !

Je dois me changer maintenant ! Et j'ai beaucoup trop la flemme d'aller dans ma chambre...

C'est décidé, je la déteste. Son frère a dit que je ne devait pas l'animer, alors là, c'est sûr que c'est pas près d'arriver !

Avec la gueule d'ange qu'elle elle a un caractère de diablesse...

Elle cache bien son jeu...

Et voilà que je me mets à penser à elle ! C'est super bien parti cette rentrée dites donc !
Je sors de mes pensées et je remarque que je suis toujours entrain de la regarder. Sa pote pleure à chaude larme comme un ourson en guimauve.
Pathétique...

Ça fait vraiment pitié, personne la prend au sérieux, ça va être compliqué pour elle cette année, tout les mec seront à sa poursuite.. Enfin bref, je vais me changer ce serait mieux pour moi...