𝐓𝐇𝐄 𝐌𝐀𝐅𝐈𝐀 𝐇𝐎𝐏𝐄 #𝟑 [BIENTOT EN RÉÉCRITURE]

𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟑𝟒 | 𝐷𝑎𝑑...𝑑𝑒𝑎𝑡ℎ*

ROSALIA

La vie est un lourd fardeau sur lequel on repose... et on ne peut rien y faire. Nous sommes nés pour mourir, quelle triste fin... et aujourd'hui, une personne va mourrir...

Mais qui donc...? Voyons voir... Je dirais... le connard qui me servait autre fois, de père. Plus particulièrement celui qui me battait moi et ma mère. Ça me dégoûte. Pourquoi seulement nous deux ? Je veux dire, je ne veux pas qu'eux aussi se fassent battre, mais pourquoi nous en particulier ? Juliette ? Lorenzo ? Ils n'ont rien eu eux... pourquoi maman ? Pourquoi elle ? J'avais accepté mon sort, mais ps le sien. Jamais je ne le pardonnerais d'avoir tuer la seule personne a qui je tenais tant... Le seul souvenirs que j'ai d'elle c'est mon collier...

Son collier... Julia me l'avais offert... celui de maman, il est magnifique... c'est une rose, une rose car elle s'appelait-

— Rosa combien de fois je vais te dire d'arrêter de te pavaner dans ta chambre à écouter de la musique de dépressif ?! Me cri Mira.

Je ricane puis retire mes écouteurs en me levant de mon bureau sur lequel j'écrivais...

Je me suis trouvé un nouveau passé temps. Étant donné que je ne peux aller chez une psychologue. J'écris alors tout ce qui me passe par la tête pour ne pas trop m'encombrer avec des penser lourde et sombres.

— Mira... ou peut-être que je devrais t'appeler maman ? Je réplique

Elle me lance un faux sourire puis me tire par le bras.

— Mira tu fais quoi la ? Ou tu vas ? Je demande

Mais elle ne répond pas. Elle continue de me tirer par le bras, m'emmenant je ne sais où ?

Nous arrivons enfin devant une salle dont je n'ai jamais eu la connaissance. Depuis quand y a une porte ici ?

Elle ouvre la porte, puis me tire à l'intérieur.

— Comme ça, ici on sera tranquille. Elle prend enfin la parole.

Mais de quoi elle parle putain ?

— Je ne comprends pas Mira. Que ce passe-t-il ? Je demande

Elle ne répond pas et s'assoit derrière un bureau au centre de la pièce. Elle m'invite a m'assoir celui à l'opposé d'elle, c'est à dire, devant elle.

— Toi et moi, on va parler. Elle me dit

Je fronce les sourcils ? Elle pourrait pas plus préciser je suis pas sur de la suivre sur ce coup ?

— D'avant hier. Ta crise. Tout le monde fait comme si il ne s'était rien passer, comme si tu allais parfaitement bien, mais Brooke et moi avons bien remarqué qu'il y a un problème. Tu es malheureuse, et ça ce voit rien qu'à ton regard. Il est vide. Vide d'émotions. Même tes sourires sont faux. Alors je vais te poser une question. Une seule et unique question. Elle reprend

Je l'incite, par mon regard, de continuer. Alors elles l'ont remarqué... ça me touche...

Ou tu t'en bat les reins ?

Mais oh ! Ne déforme pas mes phrases toi !

Conscience de mes-deux.

— A qui tu pensais avant de perdre connaissance à la boîte. Elle demande

Merde... Je suis obligé de répondre ?

— Et ne me dis pas, « personne » ou « ça ne te regarde pas », car si, cela me regarde. Je veux savoir pourquoi ton regard et si vide... qui hante tes nuits lorsque tu cries dans ta chambre. Qui est la source de tes malheurs... à qui tu pense 24h/24. À qui tu parles sur Facebook ?

Donc elle m'a vue parler sur Facebook... merde...

— Amaliya. Ce fut ma seule réponse

— La petite mexicaine... ta meilleure amie...? Sa phrase sonna légèrement faux.

Je fronce les sourcils, confuse, mais hoche quand même la tête.

Elle souffle et se relève. C'est tout ? Elle nous a emmené pour parler deux secondes.

— Quand tu seras prête à nous raconter tout le récit, nous serons là. Elle dit avant de sortir de la salle et claquer la porte.

Quoi..? Bordel c'était quoi ça ?

« quand tu seras prête » ce n'est pas près d'arriver...

« — Oui »

Un simple mot, mais qui pourtant, représente beaucoup pour moi...

Oui...

Oui...

Oui...

Oui...

Oui...

Oui...

Je suis sur que s'il était là en ce moment même il me le répèterait une centaine de fois, tout en le criant haut et fort... car il n'a pas honte... pas honte de m'aimer...

Pourtant... ça me fait mal de l'admettre...

Je reçois une notification qui me coupe dans mes pensées...

Brooke :

Prépare toi, tu vas enfin pouvoir te venger Bella...

Moi :

Ma vengeance ?

Brooke :

un seul et unique mot ; papa

Moi :

Oh... je vais me changer...

Papa...

Tu vas enfin pouvoir me voir...