𝐓𝐇𝐄 𝐌𝐀𝐅𝐈𝐀 𝐇𝐎𝐏𝐄 #𝟑 [BIENTOT EN RÉÉCRITURE]

𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟐𝟏 | 𝑇ℎ𝑒 𝑒𝑛𝑑 (𝑏𝑢𝑡 𝑜𝑓 𝑤ℎ𝑎𝑡 ?)

ROSALIA

Je me réveil en sursaut. Encore.

J'en ai marre. Je fais toujours la même chose. Le même rêve.

J'essaye de me lever, mais en vain. Un poids sur mes hanches m'en empêche.

— Rune. Dégage ton bras. Je m'énerve

Mais rien. Il ne fait rien.

— Rune je te parle la.

J'entends un léger couinement. C'est quoi ça ?

Alors que j'allais me lever, ses bras me tire vers lui, et il me colle à son torse. Il vient nicher sa tête dans mon cou, et fait des mouvements circulaire sur mon ventre avec ses doigts.

— Rune ! Laisse moi sortir ! Je cri

— Tu ferais mieux d'arrêter de crier, cabezon. Me dit-il

Hein ? Quoi ? Ce n'est pas... Elyo...

Oh merde...

Prise de panique, je me lève d'un coup, lui donnant au passage un coup de coude dans la gueule. Ce qui lui arrache un petit grognement.

Cabezon...

Pourquoi j'ai l'impression que...?

Enfin bref.

Je me tourne vers lui, et le regarde paniqué.

J'ai dormi... avec lui ?!

J'ai dormi avec lui ?! Elyo ?! Oh putain !

— reviens ici, j'ai encore sommeil. Il me dit.

— on a dormi ensemble... je souffle.

Il me tire par le bras, et j'atterris sur lui. Putain.

J'essaye de me relever mais monsieur n'est pas du même avis.

— Elyo, laisse moi me lever. Si mon frère nous vois il va-

— rien faire. Il me coupe.

J'essaye encore de me lever, mais il me serre plus fort. Puis, une idée me vient.

Je le regarde mielleusement, puis rapproche mon visage du sien. Je mets une main sur son torse, et je redessiner ses abdos. Je la baisse au fur et à mesure, et arrive à son point sensible.

— je fini toujours par avoir ce que je veux... il me glisse a l'oreille

Et d'un coup, je lui donne un coup dans ses bijoux de famille.

Il se replie sur lui même, et me laisse m'en aller.

— oh non... et tu le sais très bien. Je, fini toujours par avoir ce que je veux. Retiens le. Je dis en le laissant en plan.

Je pars dans la cuisine, me lave les main, et prends un bol ainsi que du lait, un cuillère et des céréales.

Vraiment con celui là.

« — pourquoi tu m'appelles comme ça ? Je demande

— je sais pas, papa appelle toujours maman comme ça quand il est heureux.

— tu es heureux avec moi ?

— bien sûr ! Pourquoi je ne le serais pas ?

— mais ton papa il aime ta maman. Ils sont amoureux c'est normal !

— moi aussi je suis amoureux ! Pas toi ? Il me demande »

Qu'est-ce que... quoi ?