𝐓𝐇𝐄 𝐌𝐀𝐅𝐈𝐀 𝐇𝐎𝐏𝐄 #𝟑 [BIENTOT EN RÉÉCRITURE]

𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟏𝟓 | 𝐸𝑧𝑖𝑜 !

ROSALIA

Certains disent que l'alcool n'est pas une solution, d'autre pensent que si, deviner dans quel camp je suis ?

Un petit indice, je suis à une fête au bord de la plage qui se trouve à côté du campus.

Alors ? Bon ok, encore un, mais c'est le dernier.

J'ai un verre à la main, probablement le troisième de la soirée, et je me dandine avec Amaliya à mes côtés.

Vous avez trouver ? Bien joué...

« Mais oublier quoi Rosa ? »

Mes cauchemars qui me hantent. Le gros bouffon qui me sert de colocataire en quelque sorte. Les jumeaux. Mon ancienne vie.

Je ne veux plus survivre. Je veux vivre. Et je vivrai.

Profitant au max de mon état d'ivresse, je renverse mon verre sur ma poitrine, laissant transparaître mon maillot par dessous.

Ma chemise, à tissus fin, devient collante, je décide alors de l'enlever, et me retrouve rapidement en bikini, mais je ne le suis pas complètement étant donné que j'ai un short.

Me voyant faire, Liya fait de même, et nous rigolons a gorge déployée.

Putain, on est vraiment défoncé.

— si Connor nous voit il va nous tuer. Elle me dit

— laisse tomber Connor toi. Si mon frère nous trouve il va nous décapiter ! Je réponds en rigolant.

Elle rigole elle aussi, puis deux hommes en chaleur s'approchent de nous. Un blond pour moi, et un brun pour Ama. Le blond vient se coller à mon dos, plus précisément à mon cul. Et il ondule nos deux corps au rythme de la musique qui résonne sur la plage.

Je me crispe instantanément à son contact, et reste figé sur place. J'essaye de me détacher de sa prise, mais ça n'y fait rien. Au contraire, il se colle encore plus à moi. Enfin, il le colle encore plus.

Son touche me dégoûte. Les hommes comme lui m'écœurent.

— salut ma jolie... moi c'est Jack... et toi ? Il me chuchote

La forte odeur de l'alcool me vient aux narines, et une grande envie de gerber me provient.

— je vois... tu veux faire la mystérieuse... pas de problème... il continue

Sérieux, tu veux pas me laisser ?

Il vient poser une de ses mains qui était sur ma hanche, sur ma poitrine.

Bordel...

Prise d'une euphorie, je me débat, puis cris a l'aide.

— lâchez nous ! Elyo ! Elyo ! Aide nous ! Rune ! Ru-

Je me fais couper par un coup dur sur mon crâne. Je perds l'équilibre, mais avant que je ne m'écrase au sol, les mains crasseuse de Jack viennent me rattraper.

— laissez la partir, prenez moi, mais pas elle !

La dernière phrase ou plutôt, le dernier mot, que je puis dire avant de sombrer dans un lourd sommeil, et en sentant un liquide chaud couler sur mon crâne fut :

— Elyo...

Troue noir*