𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟏𝟐 | 𝐷𝑜𝑛'𝑡 𝑠𝑎𝑦 𝑚𝑦 𝑛𝑎𝑚𝑒 𝑛𝑜𝑤

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ROSALIA

Je rentre au dortoir vers 18 h, et vois Elyo, devant la porte d'entrée, me regardant noir.

Il a quoi lui ?

— bonsoir...? Je dis

— tu étais ou ? Il dit froidement

OK... j'ai compris, il a ses règles. Même si je pensais que c'étaient uniquement pour les femmes. A moins qu'il soit trans ?

— avec Amaliya, pourquoi ? Je demande

— dépêche toi, on va être en retard. T'as que 1 heure pour te préparer. La robe est sur ton lit. Il me dit en me poussant.

Je rentre dans la chambre, regarde la robe. C'est une blague ? Je vais a un repas de famille. Pas un gala. Je suis sur qu'il a fait exprès.

Je décide alors de prendre des habits de mon armoire, une chemise blanche, un pull sans manche, et un pantalon à path d'eph*. Je prends la tenue, puis par dans la salle de bain pour me doucher.

Une fois ma douche finis, j'enfile mes habits, puis me maquille.

Un léger trait d'liner, du blush, de l'highlighter, du crayon a lèvre marron, ainsi que du gloss.

Pas besoin de trop d'extravagance.

Je sors de la chambre, et retrouve Elyo dans la cuisine, entrain de faire je ne sais quoi sur son tel.

Sûrement entrain de liker des photos de cul

Sûrement

— tu n'as pas mis la robe que je t'ai donner. Il remarque

— j'ai demander a mon frère avant, si ta famille était du genre, roi reine, robe de bal, et il ce trouve qu'elle est exactement du meme style que la notre. Tu ne croyais quand meme pas pouvoir me faire honte avec un robe ? Je demande un sourire aux lèvres.

Il rigole puis se relève, et nous sortons du dortoir.

Je le suis dh mieux que je peux, après tout, courir avec des talons... c'est pas des plus confortable...

Fallait réfléchir toi aussi..

Oui bas je t'ai rien demandé toi

Je manque de trébucher a plusieurs reprise, mais ca, ca n'a pas l'air de déranger monsieur.

— tu peux pas aller moins vite ?

— tu peux pas fermer ta gueule ? Il répond

Mais en plus de ça, il se fout de moi.

— va doucement j'ai pas envie de me retrouver avec un entorse. Je m'énerve

— arrête de te plaindre.

— je te rappelle qu'entre nous deux, c'est moi qui suis en talons.

Il grogne puis se retourne vers moi. Il s'approche rapidement, puis me porte en sac a patate.

Mais je rêve ?

— repose moi !

— t'avais mal non ? Alors ferme ta putain de gueule s'il te plait.

— Elyo ! Putain ! Je m'énerve

Je sens ses épaules se crisper. Quoi ? J'ai fais quoi encore ?

— pas maintenant... il soupir.

Quoi ? Mais qu'est ce qu'il raconte encore ?

— tu parles a moitié dans ta tête ou... ? Je demande

— ne dis pas mon prénom maintenant... il répond

Je comprends toujours pas.

Mais de quoi il parle ?

Je ne force pas plus, et fais comme ci je n'avais rien entendu. Flemme de subir sa colère.

𝐓𝐇𝐄 𝐌𝐀𝐅𝐈𝐀 𝐇𝐎𝐏𝐄 #𝟑 [BIENTOT EN RÉÉCRITURE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant