Chapitre 8 : Mon sauveur !

102 8 61
                                    

Voici le chapitre 8, j'espère qu'il vous plaira :3

Pour ceux qui non pas vue le commentaire épinglé, le titre du Chapitre 7 est "Qu'est-ce que j'ai fais pour mérité ça ?"

Alors, bonne lecture :)

/////////////////////////////////////////////////////////////

PDV : Nightmare 

Nous sommes arrivés au château. Enfin, Hate nous a téléporté. J'espère pour Killer qu'il est partit sinon il est mort.  Je ne sais même pas comment il a eu cette photo.... Je le hais.
Je tenais toujours la main de Hate. C'est vrai que je suis petit, la main de Hate est plus grande que la mienne.

J'ai éternué. C'est peut-être vrai ce qu'a dit Hate, j'ai du attraper froid. D'ailleurs il se mit à me regarder. J'ai fait quelque chose de mal ?

Hate : T'as un éternument mignon.

Je pense que je rougi encore.

Moi : Ah bon tu trouves ?

Hate : Oui c'est même bizarre venant du maître de la négativité.

Je renifle un peu, j'ai le nez qui coule.

Hate : Mais après avec ta vrai voix c'est pas choquant. T'as vrai voix n'est pas si grave que ça.

Ce qu'il veut dire part ma vrai voix est juste que,  lors d'un combat par exemple, je laisse la négativité  m'emporter et je modifie ma voix pour en quelque sorte essayer de faire plus peur.
C'est dur à dire mais en fait je n'est pas mué.

Moi : Si tu le dis.

Hate : Bon viens, je vais te réchauffer.

Il m'emmène jusqu'à ma chambre. Il me fait m'assoir sur mon lit et me couvre avec une couverture. Il m'emmitoufle avec, puis il allume ma cheminé. 

Hate : Je reviens je vais te faire du chocolat chaud.

Moi : D'accord. Mais tu sais c'est la peine je vais bien.

Hate : Nightmare, t'es frigorifié.

Il me tend un mouchoir.

Hate : Et mouche toi.

Moi : Merci.

Je le prends puis me mouche. Lui il s'en va. Je regarde la porte, je sens une présence.

Moi : Qui est là ?

L'intru sorti de sa cachette. C'est......

Moi : Killer je t'avais dit de dégager ! 

Je me lève et je sens mes tentacules s'agiter.

Killer : Comment ça va boss tu t'es calmé ?

Il entre et referme la porte, en s'approchant de moi.

Moi : Killer arrêtes ça !

Killer : Arrêter quoi ?

Moi : Bah tout ça ! Pourquoi tu as posté ces photos ? Qu'est-ce que je t'ai fais !?

Killer : C'est simple Nighty, tu as volé mon âme.

Il parlait avec un ton joueur, tout en ricanant. Il continuait de s'approcher de moi tandis que je reculais. Je finis par toucher le rebord du lit et je finis par m'assoir en perdant un peu l'équilibre.
Il arriva juste en face de moi, à moins d'un mètre de moi.

Killer : Tu sais c'était tellement bien ce soir là.

Moi : De quoi tu parles ?

Killer : Tu sais Nightmare, tu bois souvent le soir, et quand tu es soul tu as un comportement très étrange.

Moi : Etrange comment...?

Killer : Mnh étrange comme quand tu te colle à moi. Que tu flirt avec moi. Que tu me câline. Que tu m'embrasse. Et que tu ne te souviens plus de rien après *ricane*. Si tu savais toutes les photos que j'ai pris.

Moi :..........

Killer : Tu es si beau Nightmare !

Il me plaqua soudainement contre le matelas. Sans que je puisse faire quoi que se soit. Il s'est astucieusement placer de tel sorte à se que je ne puisse plus bouger, pas même un tentacule.
Je me mis à paniquer, en tentant de me débattre; 

Moi : K-Killer qu'est-ce que tu fais là..? S-Stop a-arrêtes ça tu... Tu me fais peur !

Je continuais de me débattre, il ne faisait rien à part me maintenir pour l'instant. Il pencha sa tête vers moi et m'embrassa brutalement. Je ne veux pas ça... Je ne l'aime pas... Il rompt enfin le baiser. Je le regarde dans les yeux, effrayé. Lui, me regardait, content. J'en ai assez... Il faut que j'appelle  l'aide...

Moi : Killer arrêtes ça je t'aime pas !

Killer : Mais tu es MA Nighty !

"Ma" ? 

Moi : Stop ! T'es complètement fou ! 

Killer : Mais je t'aime ! Je veux juste te voir encore une fois sous mes ordres, totalement soumis à moi, comme la p*te que tu es !

Je sentis de nouveau les larmes monter.

Moi : C'est faux arrêtes maintenant c'est pas toi ça...

Il se contenta de rire. S'en est trop. J'entendis des bruit de pas depuis le couloir.

Moi : Hate !! 

La porte s'ouvrit violement. 

Hate : Qu'est-ce que-...

Killer se tourna vers lui. Hate s'approcha de lui et l'attrapa part le col. 

Hate : C'est quoi ce bordel qu'est-ce que tu fous encore c*nnard !?

Il le balança dans le mur puis, une fois que Killer fut au sol, Hate lui assena plusieurs dizaines de coups de pieds. Je me redressa peu à peu, toujours en larme. La scène était assez violente. Killer si fit tabassé et rué de coups part Hate qui ne s'arrêtait pas. Il enchaînait les coups ne laissant aucun répit à Killer...

Moi : H-Hate stop.. C'est bon arrêtes, le tue pas s'il te plaît..

Il ne m'écouta pas, il continuait de le frapper. Lorsqu'il s'arrêta enfin après plusieurs minutes.
Il attrapa Killer par le col. Et Killer et Hate souriaient. Si j'aurai été quelqu'un d'autre j'aurai probablement trouvé ça effrayant, mais je préfère admirer le magnifique sourire sadique de Hate.

Après ça, Hate ouvrit la porte et balança Killer dans le couloir. Ensuite il referma la porte et se tourna vers moi. "Ça va ? Qu'est-ce qu'il t'a fait ?" dit-il d'un ton calme. "Oui il m'a juste embrassé. Enfin, 'juste'..." dis-je en essayant moi même de me rassurer.

Il s'approcha et s'assoit à côté de moi. Il me caressa la joue en essuyant mes larmes. Il est si doux avec moi. Je le regarde dans les yeux, lui de même. 

Moi : Tu sais Hate, je sais pas se qu'il m'arrive en se moment, je me sens tellement faible...

Hate : Mais nan, tu n'es pas faible Nightmare.

Moi : Si, regarde, j'ai même pas réussis à me défendre tout seul. 

Hate : Mais si c'est normal, tu es fort Nightmare, juste peut-être pas assez mentalement pour réussir à traverser ça seul.

\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\

Ceci est la fin du chapiter 8 ! J'espère comme d'hab, qu'il vous aura plus :)
Encore désolé pour ce petit retard même si aussi bien j'ai pas fixé d'heure mais bon. 

Et oui, mon Hate est balaise UwU. Disons qu'il faut pas trop l'énerver.

Sur ce, à la revoyure ! :D

(1062 Mots)

Vacances pour le roi de la négativitéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant