MidoTaka : La malédiction d'Hanahaki.(2)

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Takao après avoir fais quelques recherches sur internet sur ses symptômes, avait trouvé ce qu'il avait contracté. Effrayé par ce qu'il avait découvert, il avait décidé de s'enfermer dans sa chambre. Lui qui était en vacances, il ne voulait pas risquer de sortir. L'idée de cracher des fleurs en pleine rue et de subir les regards remplis de pitié des gens, l'enchantait guère. Il continuait d'autant plus à broyer du noir, s'isolant de ses amis et même de sa famille, ce qui n'arrangeait pas son état.

Un jour, Kise et Furihata décidèrent d'aller chez lui, tous les deux inquiets que leur ami ne réponde pas aux messages et aux appels. Les parents du noiraud les avaient laissés entrer, ne se doutant pas du tout de ce qu'il se passait et heureusement, car grâce à ça, ils avaient découvert l'état de leur fils en voulant forcer le passage dans sa chambre.

Takao avait été aussitôt pris en charge quand ses proches avaient expliqués ses symptômes. Il avait perdu énormément de poids ainsi que des couleurs. Il avait également des hématomes sur certaines parties de son corps, causé par la faiblesse de ce dernier. La fatigue se liait dans son regard cerné et vide de toute joie de vivre. 

A l'arrivée des secours, les craintes c'était confirmés avec les fleurs ensanglantés sur le sol. Quand il était arrivé à l'hôpital, il n'avait fallu que quelques secondes aux médecins pour comprendre, mais ils ne pouvaient malheureusement, pas faire grand chose.

- Si ce garçon est amoureux de quelqu'un, alors il n'y aura que cette personne qui pourra la sauver. Avait simplement dis le docteur. A notre niveau on peux simplement soulager quelque peu sa douleur.

Kise et Furihata c'étaient regardés, et d'un commun accord, avaient décidés d'appeler Midorima.


Lorsque Takao c'était réveillé, quelques jours après son affiliation à l'hôpital, il avait ressenti des douleurs un peu partout dans son corps. Tout d'abord, le plus imposant était son affreux mal de tête qui lui prenait du devant jusqu'au derrière du crâne, le clouant totalement contre le matelas. Ensuite, il y avait cette douleur lacérante dans sa gorge et son estomac qui était engendré par la plante qui se créait en lui et les rejets de cette dernière. Une quinte de toux soudaine et bruyante le prit et ses yeux se remplirent à nouveau de larmes. Il avait l'impression de pleurer tout le temps dernièrement. 

Alors qu'il était toujours allongé, incapable de ce mettre autrement, il sentit un bras le redresser et il se retrouva collé à un torse. En levant les yeux, il reconnu ces yeux verts qu'il aimait tant, ceux de Midorima Shintaro.

- S-Shin...-chan..

- Chut, économise tes forces Bakao. Souffla le plus grand en lui tendant un verre d'eau. Bois.

Sans réfléchir, Takao obéit, encore incapable de réfléchir et de penser correctement.

- J-Je suis...Content de te...voir...
Sourit sincèrement le noiraud.

Gardant ses yeux dans les siens, Midorima resta silencieux. Il observait l'état de Takao, l'état de son meilleur coéquipier, qui l'alarmait tellement. Il était conscient que le plus petit était pratiquement aux portes de la mort, les médecins lui avait expliqué que son état allait continuer à se détériorer encore et encore s'il ne pouvait pas l'aider. 

-...Je suis désolé Kazunari. Je n'ai jamais souhaité te faire du mal, mais je t'en ai fais énormément au final.

Il caressa la joue du noiraud et le regarda dans les yeux, ces magnifiques yeux bleus et cernés qu'il aimait tant d'habitude. Il pourrait s'y plonger toute sa vie s'il le pouvait. Il sentait ses propres yeux se remplirent de larmes en se rendant compte d'à quel point il était faible entre ses bras. Doucement, il se pencha, venant cueillir ses lèvres dans un baiser doux et sincère.

Les yeux de Takao s'écarquillèrent alors que son Shin-chan l'embrassait avec amour, ses larmes redoublèrent et lorsqu'ils se séparèrent, il s'accrocha désespérément à son col, le suppliant du regard.

- Dis le moi...Je t'en supplie, j'ai besoin de l'entendre...!

Midorima ressera son emprise en déposant un baiser sur son front. 

- Je t'aime Kazunari...Je t'ai toujours aimé, depuis le premier jour.

Le noiraud eut un moment de flottement, assimilant ses paroles, avant qu'un sourire ne naissent sur ses lèvres, cela faisait longtemps qu'il n'avait pas souris, justement. Il se blottit d'avantages dans ses bras. 

A l'intérieur de son torse, la pousse de fleur disparaissait petit à petit et à la place, il ressentait à nouveau des papillons dans son ventre, retombant encore plus amoureux de son coéquipier.
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Omggg je me rend compte que j'ai publié le chapitre de la série d'après 😭😭

Voici donc le bon chapitre, je suis désolé pour cette erreur !! 😭😭

Merci de votre lecture !! 🫡🦁🐶

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