35| llorar

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Alejandro est toujours là assis à côté de mon lit sa fait maintenant plus d'une heure.

Je n'ai toujours pas réussi à dormir à chaque fois que je ferme les yeux j'imagine ma sœur en train de tuer des gens.

Ou je la voit aussi enfermé et ligoter chez Santiago et je sais très bien que les conditions de séquestration sont horribles.

Car avant de m'abandonner dans une forêt et me laisser pour morte j'ai moi même était séquestré dans un de ses entrepôts abominables.

Après vous allez me dire que les conditions de séquestration ne sont pas faites pour être bien, que ce n'est pas un hôtel cinq étoiles je le sais mais là c'est vraiment horrible.

Limite ont a du mal à respirer à cause de toutes la poussière qui s'entasse dans un si petit endroit.

J'entend Alejandro se lever de son fauteuil et j'espère qu'il s'en va de ma chambre je veut être tranquille et ne parler a personne.

Surtout pas à lui ...

- Maria, je sais que tu ne dort pas.

Je lui répond pas, je ne veut pas lui parler.

- Maria je te connais par coeur je sais que tu ne va pas bien tu ne veut pas le montrer mais malheureusement pour toi je le voit que tu va mal .

J'en ai mare de lui je ne veut plus le voir, je ne veut plus l'entendre non plus il m'insuporte.

Je lui lance donc sèchement.

- va t'en.

- Mais Maria...

Il veut pas se taire et partir.

Je me lève d'un bond de mon lit je suis donc debout au pied de mon lit j'avance d'un pats faible vers lui.

Malgré que je suis sorti de réanimation je ne me suis toujours pas totalement rétablie.

- Tu ne comprend pas quoi dans va t'en ? Je ne veut plus te voir dé-ga-ge

Son expression du visage n'a pas changer il me regarde toujours droit dans les yeux sans bouger d'un millimètre.

J'esssaye de m'approcher un peu plus de lui mais j'ai un vertige ma tête tourne c'est horrible.

Depuis que je me suis réveiller de mon coma je ne peut pas rester debout plus de cinq minutes.
sous peine de m'écrouler par terre.

Et c'est ce qui vient de m'arriver.

Je vient tomber juste devant Alejandro je suis donc à genoux devant lui.

Je fais vraiment pitié...

Alejandro se baisse à ma hauteur et me porte jusqu'à mon lit il m'allonge doucement dans mon lit pour ne pas me faire mal.

Je fais vraiment pitié

- Il faut que tu te calme.

Il m'a dit sa d'un tond tellement bas et calme.

Sa se voit vraiment que je lui fait pitié.

- Il va bien falloir que l'on parle au bout d'un moment Maria.

Je me décide enfin à lui répondre.

- Tu veux me dire quoi ?

Il s'approche un peut plus de moi et vient s'asseoir sur le lit juste à côté de la où je suis.

- J'aimerais bien parler de nous, de ce qu'on est, de ce que nous allons devenir.

Un arma al corazonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant